4072 occurences en traduction 1

'Ce' dans la Bible

Où ton coeur t'entraîne-t-il, Et que signifie ce roulement de tes yeux?

Je vais te parler, écoute-moi! Je raconterai ce que j'ai vu,

Ce que les sages ont fait connaître, Ce qu'ils ont révélé, l'ayant appris de leurs pères.

Ses fils seront assaillis par les pauvres, Et ses mains restitueront ce qu'il a pris par violence.

Il rendra ce qu'il a gagné, et n'en profitera plus; Il restituera tout ce qu'il a pris, et n'en jouira plus.

Son avidité n'a point connu de bornes; Mais il ne sauvera pas ce qu'il avait de plus cher.

Toutes les calamités sont réservées à ses trésors; Il sera consumé par un feu que n'allumera point l'homme, Et ce qui restera dans sa tente en deviendra la pâture.

Est-ce contre un homme que se dirige ma plainte? Et pourquoi mon âme ne serait-elle pas impatiente?

Qu'est-ce que le Tout Puissant, pour que nous le servions? Que gagnerions-nous à lui adresser nos prières?

Est-ce pour les fils que Dieu réserve le châtiment du père? Mais c'est lui que Dieu devrait punir, pour qu'il le sente;

Est-ce à Dieu qu'on donnera de la science, A lui qui gouverne les esprits célestes?

Mais quoi! n'avez-vous point interrogé les voyageurs, Et voulez-vous méconnaître ce qu'ils prouvent?

Qui lui reproche en face sa conduite? Qui lui rend ce qu'il a fait?

Pourquoi donc m'offrir de vaines consolations? Ce qui reste de vos réponses n'est que perfidie.

Si tu es juste, est-ce à l'avantage du Tout Puissant? Si tu es intègre dans tes voies, qu'y gagne-t-il?

Est-ce par crainte de toi qu'il te châtie, Qu'il entre en jugement avec toi?

Et tu dis: Qu'est-ce que Dieu sait? Peut-il juger à travers l'obscurité?

Je connaîtrais ce qu'il peut avoir à répondre, Je verrais ce qu'il peut avoir à me dire.

Ce serait un homme droit qui plaiderait avec lui, Et je serais pour toujours absous par mon juge.

Car ce ne sont pas les ténèbres qui m'anéantissent, Ce n'est pas l'obscurité dont je suis couvert.

A qui s'adressent tes paroles? Et qui est-ce qui t'inspire?

Est-ce que Dieu écoute ses cris, Quand l'angoisse vient l'assaillir?

Il ouvre des tranchées dans les rochers, Et son oeil contemple tout ce qu'il y a de précieux;

Il arrête l'écoulement des eaux, Et il produit à la lumière ce qui est caché.

Comme ils étaient plus âgés que lui, Élihu avait attendu jusqu'à ce moment pour parler à Job.

Ne dites pas cependant: En lui nous avons trouvé la sagesse; C'est Dieu qui peut le confondre, ce n'est pas un homme!

A mon tour, je veux répondre aussi, Je veux dire aussi ce que je pense.

Voilà tout ce que Dieu fait, Deux fois, trois fois, avec l'homme,

Choisissons ce qui est juste, Voyons entre nous ce qui est bon.

Montre-moi ce que je ne vois pas; Si j'ai commis des injustices, je n'en commettrai plus?

Est-ce d'après toi que Dieu rendra la justice? C'est toi qui rejettes, qui choisis, mais non pas moi; Ce que tu sais, dis-le donc!

Mais, parce que sa colère ne sévit point encore, Ce n'est pas à dire qu'il ait peu souci du crime.

Leurs évolutions varient selon ses desseins, Pour l'accomplissement de tout ce qu'il leur ordonne, Sur la face de la terre habitée;

Fais-nous connaître ce que nous devons lui dire; Nous sommes trop ignorants pour nous adresser à lui.

Il parcourt les montagnes pour trouver sa pâture, Il est à la recherche de tout ce qui est vert.

Te fies-tu à lui pour la rentrée de ta récolte? Est-ce lui qui doit l'amasser dans ton aire?

Est-ce toi qui donnes la vigueur au cheval, Et qui revêts son cou d'une crinière flottante?

Est-ce par ton intelligence que l'épervier prend son vol, Et qu'il étend ses ailes vers le midi?

Est-ce par ton ordre que l'aigle s'élève, Et qu'il place son nid sur les hauteurs?

Est-ce à force ouverte qu'on pourra le saisir? Est-ce au moyen de filets qu'on lui percera le nez?

Ce sont des frères qui s'embrassent, Se saisissent, demeurent inséparables.

Il regarde avec dédain tout ce qui est élevé, Il est le roi des plus fiers animaux. 

Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.

Si tu sondes mon coeur, si tu le visites la nuit, Si tu m'éprouves, tu ne trouveras rien: Ma pensée n'est pas autre que ce qui sort de ma bouche.

Délivre-moi des hommes par ta main, Éternel, des hommes de ce monde! Leur part est dans la vie, Et tu remplis leur ventre de tes biens; Leurs enfants sont rassasiés, Et ils laissent leur superflu à leurs petits-enfants.

Quand des méchants s'avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.

Qu'ils ne disent pas dans leur coeur: Ah! voilà ce que nous voulions! Qu'ils ne disent pas: Nous l'avons englouti!

Toi, Éternel, aie pitié de moi et rétablis-moi! Et je leur rendrai ce qui leur est dû.

Car ce n'est point par leur épée qu'ils se sont emparés du pays, Ce n'est point leur bras qui les a sauvés; Mais c'est ta droite, c'est ton bras, c'est la lumière de ta face, Parce que tu les aimais.

Ce que nous avions entendu dire, nous l'avons vu Dans la ville de l'Éternel des armées, Dans la ville de notre Dieu: Dieu la fera subsister à toujours. -Pause.

Ce n'est pas pour tes sacrifices que je te fais des reproches; Tes holocaustes sont constamment devant moi.

Est-ce que je mange la chair des taureaux? Est-ce que je bois le sang des boucs?

Voilà ce que tu as fait, et je me suis tu. Tu t'es imaginé que je te ressemblais; Mais je vais te reprendre, et tout mettre sous tes yeux.

J'ai péché contre toi seul, Et j'ai fait ce qui est mal à tes yeux, En sorte que tu seras juste dans ta sentence, Sans reproche dans ton jugement.

Ce n'est pas un ennemi qui m'outrage, je le supporterais; Ce n'est pas mon adversaire qui s'élève contre moi, Je me cacherais devant lui.

Sa bouche est plus douce que la crème, Mais la guerre est dans son coeur; Ses paroles sont plus onctueuses que l'huile, Mais ce sont des épées nues.

Au chef des chantres. Hymne de David. Lorsqu'il se réfugia dans la caverne, poursuivi par Saül. Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi! Car en toi mon âme cherche un refuge; Je cherche un refuge à l'ombre de tes ailes, Jusqu'à ce que les calamités soient passées.

Au chef des chantres. Hymne de David. Est-ce donc en vous taisant que vous rendez la justice? Est-ce ainsi que vous jugez avec droiture, fils de l'homme?

Voici, de leur bouche ils font jaillir le mal, Des glaives sont sur leurs lèvres; Car, qui est-ce qui entend?

N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?

Tous les hommes sont saisis de crainte, Ils publient ce que Dieu fait, Et prennent garde à son oeuvre.

Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu, et je raconterai Ce qu'il a fait à mon âme.

Je verse des larmes et je jeûne, Et c'est ce qui m'attire l'opprobre;

Mais je t'adresse ma prière, ô Éternel! Que ce soit le temps favorable, ô Dieu, par ta grande bonté! Réponds-moi, en m'assurant ton secours!

Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.

Je dis: Ce qui fait ma souffrance, C'est que la droite du Très Haut n'est plus la même...

Ils mangèrent et se rassasièrent abondamment: Dieu leur donna ce qu'ils avaient désiré.

Protège ce que ta droite a planté, Et le fils que tu t'es choisi!...

J'écouterai ce que dit Dieu, l'Éternel; Car il parle de paix à son peuple et à ses fidèles, Pourvu qu'ils ne retombent pas dans la folie.

Est-ce pour les morts que tu fais des miracles? Les morts se lèvent-ils pour te louer? Pause.

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