4072 occurences en traduction 1

'Ce' dans la Bible

Que les cieux se réjouissent, et que la terre soit dans l'allégresse, Que la mer retentisse avec tout ce qu'elle contient,

Que la campagne s'égaie avec tout ce qu'elle renferme, Que tous les arbres des forêts poussent des cris de joie,

Que la mer retentisse avec tout ce qu'elle contient, Que le monde et ceux qui l'habitent éclatent d'allégresse,

Jusqu'au temps où arriva ce qu'il avait annoncé, Et où la parole de l'Éternel l'éprouva.

Il leur accorda ce qu'ils demandaient; Puis il envoya le dépérissement dans leur corps.

Ils se réjouirent de ce qu'elles s'étaient apaisées, Et l'Éternel les conduisit au port désiré.

N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?

Que le créancier s'empare de tout ce qui est à lui, Et que les étrangers pillent le fruit de son travail!

Son coeur est affermi; il n'a point de crainte, Jusqu'à ce qu'il mette son plaisir à regarder ses adversaires.

Ce ne sont pas les morts qui célèbrent l'Éternel, Ce n'est aucun de ceux qui descendent dans le lieu du silence;

Voici, comme les yeux des serviteurs sont fixés sur la main de leurs maîtres, Et les yeux de la servante sur la main de sa maîtresse, Ainsi nos yeux se tournent vers l'Éternel, notre Dieu, Jusqu'à ce qu'il ait pitié de nous.

Il jura à l'Éternel, Il fit ce voeu au puissant de Jacob:

Jusqu'à ce que j'aie trouvé un lieu pour l'Éternel, Une demeure pour le puissant de Jacob.

Tout ce que l'Éternel veut, il le fait, Dans les cieux et sur la terre, Dans les mers et dans tous les abîmes.

Si on le trouve, il fera une restitution au septuple, Il donnera tout ce qu'il a dans sa maison.

Jusqu'à ce qu'une flèche lui perce le foie, Comme l'oiseau qui se précipite dans le filet, Sans savoir que c'est au prix de sa vie.

Écoutez, car j'ai de grandes choses à dire, Et mes lèvres s'ouvrent pour enseigner ce qui est droit.

Ce que redoute le méchant, c'est ce qui lui arrive; Et ce que désirent les justes leur est accordé.

Le méchant convoite ce que prennent les méchants, Mais la racine des justes donne du fruit.

L'homme simple croit tout ce qu'on dit, Mais l'homme prudent est attentif à ses pas.

Celui qui se tient à l'écart cherche ce qui lui plaît, Il s'irrite contre tout ce qui est sage.

Ce qui fait le charme d'un homme, c'est sa bonté; Et mieux vaut un pauvre qu'un menteur.

La violence des méchants les emporte, Parce qu'ils refusent de faire ce qui est juste.

Si tu es à table avec un grand, Fais attention à ce qui est devant toi;

Mes entrailles seront émues d'allégresse, Quand tes lèvres diront ce qui est droit.

Voici encore ce qui vient des sages: Il n'est pas bon, dans les jugements, d'avoir égard aux personnes.

J'ai regardé attentivement, Et j'ai tiré instruction de ce que j'ai vu.

Si tu trouves du miel, n'en mange que ce qui te suffit, De peur que tu n'en sois rassasié et que tu ne le vomisses.

Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, Mais celui qui a faim trouve doux tout ce qui est amer.

Les hommes livrés au mal ne comprennent pas ce qui est juste, Mais ceux qui cherchent l'Éternel comprennent tout.

Ce n'est pas par des paroles qu'on châtie un esclave; Même s'il comprend, il n'obéit pas.

Le lion, le héros des animaux, Ne reculant devant qui que ce soit;

Ce n'est point aux rois, Lemuel, Ce n'est point aux rois de boire du vin, Ni aux princes de rechercher des liqueurs fortes,

Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire; l'oeil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre.

On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.

Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.

Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.

Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue.

Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil.

Alors j'ai tourné mes regards vers la sagesse, et vers la sottise et la folie. -Car que fera l'homme qui succédera au roi? Ce qu'on a déjà fait.

Et j'ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m'a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent.

J'ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu'il n'y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu'on le craigne.

Et j'ai vu qu'il n'y a rien de mieux pour l'homme que de se réjouir de ses oeuvres: c'est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui?

Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise.

Il n'y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.

Voici ce que j'ai vu: c'est pour l'homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu'il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés; car c'est là sa part.

Il y a tel homme à qui Dieu a donné des richesses, des biens, et de la gloire, et qui ne manque pour son âme de rien de ce qu'il désire, mais que Dieu ne laisse pas maître d'en jouir, car c'est un étranger qui en jouira. C'est là une vanité et un mal grave.

Ce que les yeux voient est préférable à l'agitation des désirs: c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.

Ce qui existe a déjà été appelé par son nom; et l'on sait que celui qui est homme ne peut contester avec un plus fort que lui.

Car qui sait ce qui est bon pour l'homme dans la vie, pendant le nombre des jours de sa vie de vanité, qu'il passe comme une ombre? Et qui peut dire à l'homme ce qui sera après lui sous le soleil?

Ne dis pas: D'où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes cela.

Regarde l'oeuvre de Dieu: qui pourra redresser ce qu'il a courbé?

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