'On' dans la Bible
Je rétablirai tes juges tels qu'ils étaient autrefois, Et tes conseillers tels qu'ils étaient au commencement. Après cela, on t'appellera ville de la justice, Cité fidèle.
On aura honte à cause des térébinthes auxquels vous prenez plaisir, Et vous rougirez à cause des jardins dont vous faites vos délices;
Il sera le juge des nations, L'arbitre d'un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, Et l'on n'apprendra plus la guerre.
On entrera dans les cavernes des rochers Et dans les profondeurs de la poussière, Pour éviter la terreur de l'Éternel et l'éclat de sa majesté, Quand il se lèvera pour effrayer la terre.
On ira jusqu'à saisir son frère dans la maison paternelle: Tu as un habit, sois notre chef! Prends ces ruines sous ta main! -
En ce jour, il y aura près de lui un mugissement, Comme celui d'une tempête sur mer; En regardant la terre, on ne verra que ténèbres, Avec des alternatives d'angoisse et d'espérance; Au ciel, l'obscurité régnera.
On vint dire à la maison de David: Les Syriens sont campés en Éphraïm. Et le coeur d'Achaz et le coeur de son peuple furent agités, comme les arbres de la forêt sont agités par le vent.
Et il y aura une telle abondance de lait Qu'on mangera de la crème, Car c'est de crème et de miel que se nourriront Tous ceux qui seront restés dans le pays.
On y entrera avec les flèches et avec l'arc, Car tout le pays ne sera que ronces et épines.
Et toutes les montagnes que l'on cultivait avec la bêche Ne seront plus fréquentées, par crainte des ronces et des épines: On y lâchera le boeuf, et la brebis en foulera le sol.
L'Éternel me dit: Prends une grande table, et écris dessus, d'une manière intelligible: Qu'on se hâte de piller, qu'on se précipite sur le butin.
Car, avant que l'enfant sache dire: Mon père! ma mère! on emportera devant le roi d'Assyrie les richesses de Damas et le butin de Samarie.
Si l'on vous dit: Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, Qui poussent des sifflements et des soupirs, Répondez: Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants?
A la loi et au témoignage! Si l'on ne parle pas ainsi, Il n'y aura point d'aurore pour le peuple.
Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d'allégresse au partage du butin.
Car toute chaussure qu'on porte dans la mêlée, Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang, Seront livrés aux flammes, Pour être dévorés par le feu.
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
On pille à droite, et l'on a faim; On dévore à gauche, et l'on n'est pas rassasié; Chacun dévore la chair de son bras.
J'ai mis la main sur les richesses des peuples, comme sur un nid, Et, comme on ramasse des oeufs abandonnés, J'ai ramassé toute la terre: Nul n'a remué l'aile, Ni ouvert le bec, ni poussé un cri. -
Le loup habitera avec l'agneau, Et la panthère se couchera avec le chevreau; Le veau, le lionceau, et le bétail qu'on engraisse, seront ensemble, Et un petit enfant les conduira.
L'Éternel desséchera la langue de la mer d'Égypte, Et il lèvera sa main sur le fleuve, en soufflant avec violence: Il le partagera en sept canaux, Et on le traversera avec des souliers.
On entend une rumeur sur les montagnes, Comme celle d'un peuple nombreux; On entend un tumulte de royaumes, de nations rassemblées: L'Éternel des armées passe en revue l'armée qui va combattre.
Tous ceux qu'on trouvera seront percés, Et tous ceux qu'on saisira tomberont par l'épée.
Toute la terre jouit du repos et de la paix; On éclate en chants d'allégresse,
Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, Comme un rameau qu'on dédaigne, Comme une dépouille de gens tués à coups d'épée, Et précipités sur les pierres d'une fosse, Comme un cadavre foulé aux pieds.
Tu n'es pas réuni à eux dans le sépulcre, Car tu as détruit ton pays, tu as fait périr ton peuple: On ne parlera plus jamais de la race des méchants.
Et que répondra-t-on aux envoyés du peuple? -Que l'Éternel a fondé Sion, Et que les malheureux de son peuple y trouvent un refuge.
On monte au temple et à Dibon, Sur les hauts lieux, pour pleurer; Moab est en lamentations, sur Nebo et sur Médeba: Toutes les têtes sont rasées, Toutes les barbes sont coupées.
Hesbon et Élealé poussent des cris, On entend leur voix jusqu'à Jahats; Même les guerriers de Moab se lamentent, Ils ont l'effroi dans l'âme.
Donne conseil, fais justice, Couvre-nous en plein midi de ton ombre comme de la nuit, Cache ceux que l'on poursuit, Ne trahis pas le fugitif!
Et le trône s'affermira par la clémence; Et l'on y verra siéger fidèlement, dans la maison de David, Un juge ami du droit et zélé pour la justice. -
On voit Moab, qui se fatigue sur les hauts lieux; Il entre dans son sanctuaire pour prier, et il ne peut rien obtenir.
Il en sera comme quand le moissonneur récolte les blés, Et que son bras coupe les épis; Comme quand on ramasse les épis, Dans la vallée de Rephaïm.
Il en restera un grappillage, comme quand on secoue l'olivier, Deux, trois olives, au haut de la cime, Quatre, cinq, dans ses branches à fruits, Dit l'Éternel, le Dieu d'Israël.
J'armerai l'Égyptien contre l'Égyptien, Et l'on se battra frère contre frère, ami contre ami, Ville contre ville, royaume contre royaume.
L'esprit de l'Égypte disparaîtra du milieu d'elle, Et j'anéantirai son conseil; On consultera les idoles et les enchanteurs, Ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir.
Où sont-ils donc tes sages? Qu'ils te fassent des révélations, Et qu'on apprenne ce que l'Éternel des armées a résolu contre l'Égypte.
Et le pays de Juda sera pour l'Égypte un objet d'effroi: Dès qu'on lui en parlera, elle sera dans l'épouvante, A cause de la résolution prise contre elle par l'Éternel des armées.
Alors on sera dans l'effroi et dans la confusion, à cause de l'Éthiopie en qui l'on avait mis sa confiance, et de l'Égypte dont on se glorifiait.
On dresse la table, la garde veille, on mange, on boit... Debout, princes! oignez le bouclier!
Oracle sur Duma. On me crie de Séir: Sentinelle, que dis-tu de la nuit? Sentinelle, que dis-tu de la nuit?
Car c'est un jour de trouble, d'écrasement et de confusion, Envoyé par le Seigneur, l'Éternel des armées, Dans la vallée des visions. On démolit les murailles, Et les cris de détresse retentissent vers la montagne.
Et voici de la gaîté et de la joie! On égorge des boeufs et l'on tue des brebis, On mange de la viande et l'on boit du vin: Mangeons et buvons, car demain nous mourrons! -
Prends la harpe, parcours la ville, Prostituée qu'on oublie! Joue bien, répète tes chants, Pour qu'on se souvienne de toi! -
On ne boit plus de vin en chantant; Les liqueurs fortes sont amères au buveur.
La ville déserte est en ruines; Toutes les maisons sont fermées, on n'y entre plus.
On crie dans les rues, parce que le vin manque; Toute réjouissance a disparu, L'allégresse est bannie du pays.
Car il en est dans le pays, au milieu des peuples, Comme quand on secoue l'olivier, Comme quand on grappille après la vendange.
En ce jour l'on dira: Voici, c'est notre Dieu, en qui nous avons confiance, Et c'est lui qui nous sauve; C'est l'Éternel, en qui nous avons confiance; Soyons dans l'allégresse, et réjouissons-nous de son salut!
En ce jour, on chantera ce cantique dans le pays de Juda: Nous avons une ville forte; Il nous donne le salut pour murailles et pour rempart.
Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.
Moi l'Éternel, j'en suis le gardien, Je l'arrose à chaque instant; De peur qu'on ne l'attaque, Nuit et jour je la garde.
A moins qu'on ne me prenne pour refuge, Qu'on ne fasse la paix avec moi, qu'on ne fasse la paix avec moi.
Quand les rameaux sèchent, on les brise; Des femmes viennent, pour les brûler. C'était un peuple sans intelligence: Aussi celui qui l'a fait n'a point eu pitié de lui, Celui qui l'a formé ne lui a point fait grâce.
En ce jour, on sonnera de la grande trompette, Et alors reviendront ceux qui étaient exilés au pays d'Assyrie Ou fugitifs au pays d'Égypte; Et ils se prosterneront devant l'Éternel, Sur la montagne sainte, à Jérusalem.
Et la fleur fanée, qui fait l'éclat de sa parure, Sur la cime de la fertile vallée, Sera comme une figue hâtive qu'on aperçoit avant la récolte, Et qui, à peine dans la main, est aussitôt avalée.
A qui veut-on enseigner la sagesse? A qui veut-on donner des leçons? Est-ce à des enfants qui viennent d'être sevrés, Qui viennent de quitter la mamelle?
On ne foule pas la nielle avec le traîneau, Et la roue du chariot ne passe pas sur le cumin; Mais on bat la nielle avec le bâton, Et le cumin avec la verge.
On bat le blé, Mais on ne le bat pas toujours; On y pousse la roue du chariot et les chevaux, Mais on ne l'écrase pas.
Toute la révélation est pour vous comme les mots d'un livre cacheté Que l'on donne à un homme qui sait lire, en disant: Lis donc cela! Et qui répond: Je ne le puis, Car il est cacheté;
Ou comme un livre que l'on donne A un homme qui ne sait pas lire, en disant: Lis donc cela! Et qui répond: Je ne sais pas lire.
Il se brise comme se brise un vase de terre, Que l'on casse sans ménagement, Et dont les débris ne laissent pas un morceau Pour prendre du feu au foyer, Ou pour puiser de l'eau à la citerne.
Les boeufs et les ânes, qui labourent la terre, Mangeront un fourrage salé, Qu'on aura vanné avec la pelle et le van.
Vous chanterez comme la nuit où l'on célèbre la fête, Vous aurez le coeur joyeux comme celui qui marche au son de la flûte, Pour aller à la montagne de l'Éternel, vers le rocher d'Israël.
A chaque coup de la verge qui lui est destinée, Et que l'Éternel fera tomber sur lui, On entendra les tambourins et les harpes; L'Éternel combattra contre lui à main levée.
Revenez à celui dont on s'est profondément détourné, Enfants d'Israël!
On ne donnera plus à l'insensé le nom de noble, Ni au fourbe celui de magnanime.
On se frappe le sein, Au souvenir de la beauté des champs Et de la fécondité des vignes.
Malheur à toi qui ravages, et qui n'as pas été ravagé! Qui pilles, et qu'on n'a pas encore pillé! Quand tu auras fini de ravager, tu seras ravagé; Quand tu auras achevé de piller, on te pillera.
On moissonne votre butin, Comme moissonne la sauterelle; On se précipite dessus, Comme se précipitent les sauterelles.
Les routes sont désertes; On ne passe plus dans les chemins. Il a rompu l'alliance, il méprise les villes, Il n'a de respect pour personne.
Tu ne verras plus le peuple audacieux, Le peuple au langage obscur qu'on n'entend pas, A la langue barbare qu'on ne comprend pas.
Tes cordages sont relâchés; Ils ne serrent plus le pied du mât et ne tendent plus les voiles. Alors on partage la dépouille d'un immense butin; Les boiteux même prennent part au pillage:
Le pélican et le hérisson la posséderont, La chouette et le corbeau l'habiteront. On y étendra le cordeau de la désolation, Et le niveau de la destruction.
Il y aura là un chemin frayé, une route, Qu'on appellera la voie sainte; Nul impur n'y passera; elle sera pour eux seuls; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s'égarer.
Alors le roi d'Assyrie reçut une nouvelle au sujet de Tirhaka, roi d'Éthiopie; on lui dit: Il s'est mis en marche pour te faire la guerre. Dès qu'il eut entendu cela, il envoya des messagers à Ézéchias, en disant:
Que ceci soit un signe pour toi: On a mangé une année le produit du grain tombé, et une seconde année ce qui croît de soi-même; mais la troisième année, vous sèmerez, vous moissonnerez, vous planterez des vignes, et vous en mangerez le fruit.
L'ange de l'Éternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c'étaient tous des corps morts.
Seigneur, c'est par tes bontés qu'on jouit de la vie, C'est par elles que je respire encore; Tu me rétablis, tu me rends à la vie.
Ésaïe avait dit: Qu'on apporte une masse de figues, et qu'on les étende sur l'ulcère; et Ézéchias vivra.
Voici, les temps viendront où l'on emportera à Babylone tout ce qui est dans ta maison et ce que tes pères ont amassé jusqu'à ce jour; il n'en restera rien, dit l'Éternel.
Et l'on prendra de tes fils, qui seront sortis de toi, que tu auras engendrés, pour en faire des eunuques dans le palais du roi de Babylone.
Ne le savez-vous pas? ne l'avez-vous pas appris? Ne vous l'a-t-on pas fait connaître dès le commencement? N'avez-vous jamais réfléchi à la fondation de la terre?
Ne le sais-tu pas? ne l'as-tu pas appris? C'est le Dieu d'éternité, l'Éternel, Qui a créé les extrémités de la terre; Il ne se fatigue point, il ne se lasse point; On ne peut sonder son intelligence.
Qu'on rende gloire à l'Éternel, Et que dans les îles on publie ses louanges!
Tu as vu beaucoup de choses, mais tu n'y as point pris garde; On a ouvert les oreilles, mais on n'a point entendu.
Et c'est un peuple pillé et dépouillé! On les a tous enchaînés dans des cavernes, Plongés dans des cachots; Ils ont été mis au pillage, et personne qui les délivre! Dépouillés, et personne qui dise: Restitue!
Qu'on fasse sortir le peuple aveugle, qui a des yeux, Et les sourds, qui ont des oreilles.
Que toutes les nations se rassemblent, Et que les peuples se réunissent. Qui d'entre eux a annoncé ces choses? Lesquels nous ont fait entendre les premières prédictions? Qu'ils produisent leurs témoins et établissent leur droit; Qu'on écoute et qu'on dise: C'est vrai!
Ils n'ont ni intelligence, ni entendement, Car on leur a fermé les yeux pour qu'ils ne voient point, Et le coeur pour qu'ils ne comprennent point.
C'est afin que l'on sache, du soleil levant au soleil couchant, Que hors moi il n'y a point de Dieu: Je suis l'Éternel, et il n'y en a point d'autre.
Ainsi parle l'Éternel, le Saint d'Israël, et son créateur: Veut-on me questionner sur l'avenir, Me donner des ordres sur mes enfants et sur l'oeuvre de mes mains?
En l'Éternel seul, me dira-t-on, résident la justice et la force; A lui viendront, pour être confondus, Tous ceux qui étaient irrités contre lui.
Bel s'écroule, Nebo tombe; On met leurs idoles sur des animaux, sur des bêtes; Vous les portiez, et les voilà chargées, Devenues un fardeau pour l'animal fatigué!
Ils le portent, ils le chargent sur l'épaule, Ils le mettent en place, et il y reste; Il ne bouge pas de sa place; Puis on crie vers lui, mais il ne répond pas, Il ne sauve pas de la détresse.
Descends, et assieds-toi dans la poussière, Vierge, fille de Babylone! Assieds-toi à terre, sans trône, Fille des Chaldéens! On ne t'appellera plus délicate et voluptueuse.
Assieds-toi en silence, et va dans les ténèbres, Fille des Chaldéens! On ne t'appellera plus la souveraine des royaumes.
Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, Ils ne sauveront pas leur vie des flammes: Ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, Ni un feu auprès duquel on s'assied.
Ainsi parle l'Éternel, le rédempteur, le Saint d'Israël, A celui qu'on méprise, qui est en horreur au peuple, A l'esclave des puissants: Des rois le verront, et ils se lèveront, Des princes, et ils se prosterneront, A cause de l'Éternel, qui est fidèle, Du Saint d'Israël, qui t'a choisi.
Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
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