'Ou' dans la Bible
- 1.Genèse 2:11-Exode 21:19
- 2.Exode 21:20-Lévitique 15:33
- 3.Lévitique 17:3-Nombres 21:16
- 4.Nombres 22:26-Deutéronome 31:20
- 5.Deutéronome 32:37-1 Samuel 20:12
- 6.1 Samuel 20:13-1 Rois 21:19
- 7.1 Rois 22:6-Esdras 6:5
- 8.Esdras 7:26-Psaumes 140:10
- 9.Psaumes 142:3-Jérémie 13:7
- 10.Jérémie 13:20-Ézéchiel 14:7
- 11.Ézéchiel 14:15-Amos 9:13
- 12.Abdias 1:11-Marc 2:4
- 13.Marc 2:9-Luc 19:44
- 14.Luc 20:2-Actes 4:31
- 15.Actes 4:34-1 Corinthiens 14:29
- 16.1 Corinthiens 14:36-Apocalypse 20:10
Quiconque n'observera pas ponctuellement la loi de ton Dieu et la loi du roi sera condamné à la mort, au bannissement, à une amende, ou à la prison.
Mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie, et il n'est pas possible de rester dehors; d'ailleurs, ce n'est pas l'oeuvre d'un jour ou deux, car il y en a beaucoup parmi nous qui ont péché dans cette affaire.
Parmi les Lévites: Jozabad, Schimeï, Kélaja ou Kelitha, Pethachja, Juda et Éliézer.
et je répondis au roi: Que le roi vive éternellement! Comment n'aurais-je pas mauvais visage, lorsque la ville où sont les sépulcres de mes pères est détruite et que ses portes sont consumées par le feu?
Je passai près de la porte de la source et de l'étang du roi, et il n'y avait point de place par où pût passer la bête qui était sous moi.
Les magistrats ignoraient où j'étais allé, et ce que je faisais. Jusqu'à ce moment, je n'avais rien dit aux Juifs, ni aux sacrificateurs, ni aux grands, ni aux magistrats, ni à aucun de ceux qui s'occupaient des affaires.
Je leur dis alors: Vous voyez le malheureux état où nous sommes! Jérusalem est détruite, et ses portes sont consumées par le feu! Venez, rebâtissons la muraille de Jérusalem, et nous ne serons plus dans l'opprobre.
Écoute, ô notre Dieu, comme nous sommes méprisés! Fais retomber leurs insultes sur leur tête, et livre-les au pillage sur une terre où ils soient captifs.
Or les Juifs qui habitaient près d'eux vinrent dix fois nous avertir, de tous les lieux d'où ils se rendaient vers nous.
Ceux qui bâtissaient la muraille, et ceux qui portaient ou chargeaient les fardeaux, travaillaient d'une main et tenaient une arme de l'autre;
Au son de la trompette, rassemblez-vous auprès de nous, vers le lieu d'où vous l'entendrez; notre Dieu combattra pour nous.
Dès le jour où le roi m'établit leur gouverneur dans le pays de Juda, depuis la vingtième année jusqu'à la trente-deuxième année du roi Artaxerxès, pendant douze ans, ni moi ni mes frères n'avons vécu des revenus du gouverneur.
de ne rien acheter, le jour du sabbat et les jours de fête, des peuples du pays qui apporteraient à vendre, le jour du sabbat, des marchandises ou denrées quelconques; et de faire relâche la septième année, en n'exigeant le paiement d'aucune dette.
avait disposé pour lui une grande chambre où l'on mettait auparavant les offrandes, l'encens, les ustensiles, la dîme du blé, du moût et de l'huile, ce qui était ordonné pour les Lévites, les chantres et les portiers, et ce qui était prélevé pour les sacrificateurs.
A cette époque, je vis en Juda des hommes fouler au pressoir pendant le sabbat, rentrer des gerbes, charger sur des ânes même du vin, des raisins et des figues, et toutes sortes de choses, et les amener à Jérusalem le jour du sabbat; et je leur donnai des avertissements le jour où ils vendaient leurs denrées.
Alors les marchands et les vendeurs de toutes sortes de choses passèrent une ou deux fois la nuit hors de Jérusalem.
La moitié de leurs fils parlaient l'asdodien, et ne savaient pas parler le juif; ils ne connaissaient que la langue de tel ou tel peuple.
Esther n'avait fait connaître ni sa naissance ni son peuple, car Mardochée le lui avait défendu, et elle suivait les ordres de Mardochée aussi fidèlement qu'à l'époque où elle était sous sa tutelle.
Dans chaque province, partout où arrivaient l'ordre du roi et son édit, il y eut une grande désolation parmi les Juifs; ils jeûnaient, pleuraient et se lamentaient, et beaucoup se couchaient sur le sac et la cendre.
Alors Esther appela Hathac, l'un des eunuques que le roi avait placés auprès d'elle, et elle le chargea d'aller demander à Mardochée ce que c'était et d'où cela venait.
Tous les serviteurs du roi et le peuple des provinces du roi savent qu'il existe une loi portant peine de mort contre quiconque, homme ou femme, entre chez le roi, dans la cour intérieure, sans avoir été appelé; celui-là seul a la vie sauve, à qui le roi tend le sceptre d'or. Et moi, je n'ai point été appelée auprès du roi depuis trente jours.
Le roi Assuérus prit la parole et dit à la reine Esther: Qui est-il et où est-il celui qui se propose d'agir ainsi?
Dans chaque province et dans chaque ville, partout où arrivaient l'ordre du roi et son édit, il y eut parmi les Juifs de la joie et de l'allégresse, des festins et des fêtes. Et beaucoup de gens d'entre les peuples du pays se firent Juifs, car la crainte des Juifs les avait saisis.
Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s'exécuter l'ordre et l'édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis.
C'est pourquoi les Juifs de la campagne, qui habitent des villes sans murailles, font du quatorzième jour du mois d'Adar un jour de joie, de festin et de fête, où l'on s'envoie des portions les uns aux autres.
comme les jours où ils avaient obtenu du repos en se délivrant de leurs ennemis, de célébrer le mois où leur tristesse avait été changée en joie et leur désolation en jour de fête, et de faire de ces jours des jours de festin et de joie où l'on s'envoie des portions les uns aux autres et où l'on distribue des dons aux indigents.
L'Éternel dit à Satan: D'où viens-tu? Et Satan répondit à l'Éternel: De parcourir la terre et de m'y promener.
L'Éternel dit à Satan: D'où viens-tu? Et Satan répondit à l'Éternel: De parcourir la terre et de m'y promener.
Périsse le jour où je suis né, Et la nuit qui dit: Un enfant mâle est conçu!
Ou je n'existerais pas, je serais comme un avorton caché, Comme des enfants qui n'ont pas vu la lumière.
A l'homme qui ne sait où aller, Et que Dieu cerne de toutes parts?
Au moment où les visions de la nuit agitent la pensée, Quand les hommes sont livrés à un profond sommeil,
Suis-je une mer, ou un monstre marin, Pour que tu établisses des gardes autour de moi?
Pays d'une obscurité profonde, Où règnent l'ombre de la mort et la confusion, Et où la lumière est semblable aux ténèbres.
Il possède la force et la prudence; Il maîtrise celui qui s'égare ou fait égarer les autres.
S'il vous sonde, vous approuvera-t-il? Ou le tromperez-vous comme on trompe un homme?
Mais l'homme meurt, et il perd sa force; L'homme expire, et où est-il?
Où ton coeur t'entraîne-t-il, Et que signifie ce roulement de tes yeux?
Car le nombre de mes années touche à son terme, Et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.
Mon espérance, où donc est-elle? Mon espérance, qui peut la voir?
Il est arraché de sa tente où il se croyait en sûreté, Il se traîne vers le roi des épouvantements.
Il périra pour toujours comme son ordure, Et ceux qui le voyaient diront: Où est-il?
Vous dites: Où est la maison de l'homme puissant? Où est la tente qu'habitaient les impies?
Oh! si je savais où le trouver, Si je pouvais arriver jusqu'à son trône,
Il y a pour l'argent une mine d'où on le fait sortir, Et pour l'or un lieu d'où on l'extrait pour l'affiner;
La terre, d'où sort le pain, Est bouleversée dans ses entrailles comme par le feu.
Mais la sagesse, où se trouve-t-elle? Où est la demeure de l'intelligence?
D'où vient donc la sagesse? Où est la demeure de l'intelligence?
Oh! que ne puis-je être comme aux mois du passé, Comme aux jours où Dieu me gardait,
Que ne suis-je comme aux jours de ma vigueur, Où Dieu veillait en ami sur ma tente,
Si j'ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante Lorsqu'ils étaient en contestation avec moi,
Si les gens de ma tente ne disaient pas: Où est celui qui n'a pas été rassasié de sa viande?
Il n'y a ni ténèbres ni ombre de la mort, Où puissent se cacher ceux qui commettent l'iniquité.
Mais nul ne dit: Où est Dieu, mon créateur, Qui inspire des chants d'allégresse pendant la nuit,
Par son souffle Dieu produit la glace, Il réduit l'espace où se répandaient les eaux.
C'est comme une verge dont il frappe sa terre, Ou comme un signe de son amour, qu'il les fait apparaître.
Où étais-tu quand je fondais la terre? Dis-le, si tu as de l'intelligence.
Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu? Ou qui a étendu sur elle le cordeau?
Sur quoi ses bases sont-elles appuyées? Ou qui en a posé la pierre angulaire,
Où est le chemin qui conduit au séjour de la lumière? Et les ténèbres, où ont-elles leur demeure?
Pour que la pluie tombe sur une terre sans habitants, Sur un désert où il n'y a point d'hommes;
Noues-tu les liens des Pléiades, Ou détaches-tu les cordages de l'Orion?
Qui a mis la sagesse dans le coeur, Ou qui a donné l'intelligence à l'esprit?
Comptes-tu les mois pendant lesquels elles portent, Et connais-tu l'époque où elles enfantent?
Ses petits boivent le sang; Et là où sont des cadavres, l'aigle se trouve.
Il trouve sa pâture dans les montagnes, Où se jouent toutes les bêtes des champs.
Aie pitié de moi, Éternel! Vois la misère où me réduisent mes ennemis, Enlève-moi des portes de la mort,
Éternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur! Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri! Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite!
Leur retentissement parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde, Où il a dressé une tente pour le soleil.
Tu les rendras tels qu'une fournaise ardente, Le jour où tu te montreras; L'Éternel les anéantira dans sa colère, Et le feu les dévorera.
Éternel! j'aime le séjour de ta maison, Le lieu où ta gloire habite.
Incline vers moi ton oreille, hâte-toi de me secourir! Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut!
Ne soyez pas comme un cheval ou un mulet sans intelligence; On les bride avec un frein et un mors, dont on les pare, Afin qu'ils ne s'approchent point de toi.
Encore un peu de temps, et le méchant n'est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.
Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, Pendant qu'on me dit sans cesse: Où est ton Dieu?
Mes os se brisent quand mes persécuteurs m'outragent, En me disant sans cesse: Où est ton Dieu?
Mes ennemis reculent, au jour où je crie; Je sais que Dieu est pour moi.
Avant que vos chaudières sentent l'épine, Verte ou enflammée, le tourbillon l'emportera.
Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Édom; Pays des Philistins, pousse à mon sujet des cris de joie! -
Sois pour moi un rocher qui me serve d'asile, Où je puisse toujours me retirer! Tu as résolu de me sauver, Car tu es mon rocher et ma forteresse.
Souviens-toi de ton peuple que tu as acquis autrefois, Que tu as racheté comme la tribu de ton héritage! Souviens-toi de la montagne de Sion, où tu faisais ta résidence;
Il y a dans la main de l'Éternel une coupe, Où fermente un vin plein de mélange, Et il en verse: Tous les méchants de la terre sucent, boivent jusqu'à la lie.
Voici, il a frappé le rocher, et des eaux ont coulé, Et des torrents se sont répandus; Pourra-t-il aussi donner du pain, Ou fournir de la viande à son peuple?
Ils ne se souvinrent pas de sa puissance, Du jour où il les délivra de l'ennemi,
Il abandonna la demeure de Silo, La tente où il habitait parmi les hommes;
Pourquoi les nations diraient-elles: Où est leur Dieu? Qu'on sache, en notre présence, parmi les nations, Que tu venges le sang de tes serviteurs, le sang répandu!
Le passereau même trouve une maison, Et l'hirondelle un nid où elle dépose ses petits... Tes autels, Éternel des armées! Mon roi et mon Dieu!
Où sont, Seigneur! tes bontés premières, Que tu juras à David dans ta fidélité?
Où vos pères me tentèrent, M'éprouvèrent, quoiqu'ils vissent mes oeuvres.
Jusqu'au temps où arriva ce qu'il avait annoncé, Et où la parole de l'Éternel l'éprouva.
Ils erraient dans le désert, ils marchaient dans la solitude, Sans trouver une ville où ils pussent habiter.
Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Édom; Je pousse des cris de joie sur le pays des Philistins!
Pourquoi les nations diraient-elles: Où donc est leur Dieu?
Tes statuts sont le sujet de mes cantiques, Dans la maison où je suis étranger.
Cantique des degrés. Je lève mes yeux vers les montagnes... D'où me viendra le secours?
Je n'entrerai pas dans la tente où j'habite, Je ne monterai pas sur le lit où je repose,
Le jour où je t'ai invoqué, tu m'as exaucé, Tu m'as rassuré, tu as fortifié mon âme.
Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?
Que des charbons ardents soient jetés sur eux! Qu'il les précipite dans le feu, Dans des abîmes, d'où ils ne se relèvent plus!
La Recherche de Résultats Continue…
- 1.Genèse 2:11-Exode 21:19
- 2.Exode 21:20-Lévitique 15:33
- 3.Lévitique 17:3-Nombres 21:16
- 4.Nombres 22:26-Deutéronome 31:20
- 5.Deutéronome 32:37-1 Samuel 20:12
- 6.1 Samuel 20:13-1 Rois 21:19
- 7.1 Rois 22:6-Esdras 6:5
- 8.Esdras 7:26-Psaumes 140:10
- 9.Psaumes 142:3-Jérémie 13:7
- 10.Jérémie 13:20-Ézéchiel 14:7
- 11.Ézéchiel 14:15-Amos 9:13
- 12.Abdias 1:11-Marc 2:4
- 13.Marc 2:9-Luc 19:44
- 14.Luc 20:2-Actes 4:31
- 15.Actes 4:34-1 Corinthiens 14:29
- 16.1 Corinthiens 14:36-Apocalypse 20:10