'Une' dans la Bible
Et la fille de Sion est restée Comme une cabane dans une vigne, Comme une hutte dans un champ de concombres, Comme une ville épargnée.
Quoi donc! la cité fidèle est devenue une prostituée! Elle était remplie d'équité, la justice y habitait, Et maintenant il y a des assassins!
L'homme fort sera comme de l'étoupe, Et son oeuvre comme une étincelle; Ils brûleront l'un et l'autre ensemble, Et il n'y aura personne pour éteindre.
Il sera le juge des nations, L'arbitre d'un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, Et l'on n'apprendra plus la guerre.
Au lieu de parfum, il y aura de l'infection; Au lieu de ceinture, une corde; Au lieu de cheveux bouclés, une tête chauve; Au lieu d'un large manteau, un sac étroit; Une marque flétrissante, au lieu de beauté.
L'Éternel établira, sur toute l'étendue de la montagne de Sion Et sur ses lieux d'assemblées, Une nuée fumante pendant le jour, Et un feu de flammes éclatantes pendant la nuit; Car tout ce qui est glorieux sera mis à couvert.
Je chanterai à mon bien-aimé Le cantique de mon bien-aimé sur sa vigne. Mon bien-aimé avait une vigne, Sur un coteau fertile.
Il en remua le sol, ôta les pierres, et y mit un plant délicieux; Il bâtit une tour au milieu d'elle, Et il y creusa aussi une cuve. Puis il espéra qu'elle produirait de bons raisins, Mais elle en a produit de mauvais.
C'est pourquoi, comme une langue de feu dévore le chaume, Et comme la flamme consume l'herbe sèche, Ainsi leur racine sera comme de la pourriture, Et leur fleur se dissipera comme de la poussière; Car ils ont dédaigné la loi de l'Éternel des armées, Et ils ont méprisé la parole du Saint d'Israël.
Il élève une bannière pour les peuples lointains, Et il en siffle un des extrémités de la terre: Et voici, il arrive avec promptitude et légèreté.
Son rugissement est comme celui d'une lionne; Il rugit comme des lionceaux, il gronde, et saisit la proie, Il l'emporte, et personne ne vient au secours.
En ce jour, il y aura près de lui un mugissement, Comme celui d'une tempête sur mer; En regardant la terre, on ne verra que ténèbres, Avec des alternatives d'angoisse et d'espérance; Au ciel, l'obscurité régnera.
Mais l'un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu'il avait prise sur l'autel avec des pincettes.
Et s'il y reste encore un dixième des habitants, Ils seront à leur tour anéantis. Mais, comme le térébinthe et le chêne Conservent leur tronc quand ils sont abattus, Une sainte postérité renaîtra de ce peuple.
En ce jour-là, Chacun entretiendra une jeune vache et deux brebis;
Et il y aura une telle abondance de lait Qu'on mangera de la crème, Car c'est de crème et de miel que se nourriront Tous ceux qui seront restés dans le pays.
L'Éternel me dit: Prends une grande table, et écris dessus, d'une manière intelligible: Qu'on se hâte de piller, qu'on se précipite sur le butin.
Et il sera un sanctuaire, Mais aussi une pierre d'achoppement, Un rocher de scandale pour les deux maisons d'Israël, Un filet et un piège Pour les habitants de Jérusalem.
Le peuple qui marchait dans les ténèbres Voit une grande lumière; Sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort Une lumière resplendit.
Donner à l'empire de l'accroissement, Et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, L'affermir et le soutenir par le droit et par la justice, Dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le zèle de l'Éternel des armées.
Le Seigneur envoie une parole à Jacob: Elle tombe sur Israël.
Je l'ai lâché contre une nation impie, Je l'ai fait marcher contre le peuple de mon courroux, Pour qu'il se livre au pillage et fasse du butin, Pour qu'il le foule aux pieds comme la boue des rues.
La lumière d'Israël deviendra un feu, Et son Saint une flamme, Qui consumera et dévorera ses épines et ses ronces, En un seul jour;
Mais il jugera les pauvres avec équité, Et il prononcera avec droiture sur les malheureux de la terre; Il frappera la terre de sa parole comme d'une verge, Et du souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant.
En ce jour, le rejeton d'Isaï Sera là comme une bannière pour les peuples; Les nations se tourneront vers lui, Et la gloire sera sa demeure.
Dans ce même temps, le Seigneur étendra une seconde fois sa main, Pour racheter le reste de son peuple, Dispersé en Assyrie et en Égypte, A Pathros et en Éthiopie, A Élam, à Schinear et à Hamath, Et dans les îles de la mer.
Il élèvera une bannière pour les nations, Il rassemblera les exilés d'Israël, Et il recueillera les dispersés de Juda, Des quatre extrémités de la terre.
Et il y aura une route pour le reste de son peuple, Qui sera échappé de l'Assyrie, Comme il y en eut une pour Israël, Le jour où il sortit du pays d'Égypte.
Sur une montagne nue dressez une bannière, Élevez la voix vers eux, Faites des signes avec la main, Et qu'ils franchissent les portes des tyrans!
On entend une rumeur sur les montagnes, Comme celle d'un peuple nombreux; On entend un tumulte de royaumes, de nations rassemblées: L'Éternel des armées passe en revue l'armée qui va combattre.
Ils sont frappés d'épouvante; Les spasmes et les douleurs les saisissent; Ils se tordent comme une femme en travail; Ils se regardent les uns les autres avec stupeur; Leurs visages sont enflammés.
Alors, comme une gazelle effarouchée, Comme un troupeau sans berger, Chacun se tournera vers son peuple, Chacun fuira vers son pays;
Ta magnificence est descendue dans le séjour des morts, Avec le son de tes luths; Sous toi est une couche de vers, Et les vers sont ta couverture.
Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, Comme un rameau qu'on dédaigne, Comme une dépouille de gens tués à coups d'épée, Et précipités sur les pierres d'une fosse, Comme un cadavre foulé aux pieds.
Porte, gémis! ville, lamente-toi! Tremble, pays tout entier des Philistins! Car du nord vient une fumée, Et les rangs de l'ennemi sont serrés. -
Tel un oiseau fugitif, telle une nichée effarouchée, Telles seront les filles de Moab, au passage de l'Arnon. -
Aussi mes entrailles frémissent sur Moab, comme une harpe, Et mon coeur sur Kir Harès.
Oracle sur Damas. Voici, Damas ne sera plus une ville, Elle ne sera qu'un monceau de ruines.
Lorsque tu les plantas, tu les entouras d'une haie, Et bientôt tu les fis venir en fleurs. Mais la récolte a fui, au moment de la jouissance: Et la douleur est sans remède.
Quand vient le soir, voici, c'est une ruine soudaine; Avant le matin, ils ne sont plus! Voilà le partage de ceux qui nous dépouillent, Le sort de ceux qui nous pillent.
Oracle sur l'Égypte. Voici, l'Éternel est monté sur une nuée rapide, il vient en Égypte; Et les idoles de l'Égypte tremblent devant lui, Et le coeur des Égyptiens tombe en défaillance.
En ce temps-là, il y aura cinq villes au pays d'Égypte, Qui parleront la langue de Canaan, Et qui jureront par l'Éternel des armées: L'une d'elles sera appelée ville de la destruction.
En ce même temps, il y aura une route d'Égypte en Assyrie: Les Assyriens iront en Égypte, et les Égyptiens en Assyrie, Et les Égyptiens avec les Assyriens serviront l'Éternel.
En ce même temps, Israël sera, lui troisième, Uni à l'Égypte et à l'Assyrie, Et ces pays seront l'objet d'une bénédiction.
Une vision terrible m'a été révélée. L'oppresseur opprime, le dévastateur dévaste. -Monte, Élam! Assiège, Médie! Je fais cesser tous les soupirs. -
C'est pourquoi mes reins sont remplis d'angoisses; Des douleurs me saisissent, Comme les douleurs d'une femme en travail; Les spasmes m'empêchent d'entendre, Le tremblement m'empêche de voir.
Mon coeur est troublé, La terreur s'empare de moi; La nuit de mes plaisirs devient une nuit d'épouvante.
Car ainsi m'a parlé le Seigneur: Encore une année, comme les années d'un mercenaire, Et c'en est fait de toute la gloire de Kédar.
Qu'y a-t-il à toi ici, et qui as-tu ici, Que tu creuses ici un sépulcre? Il se creuse un sépulcre sur la hauteur, Il se taille une demeure dans le roc!
Voici, l'Éternel te lancera d'un jet vigoureux; Il t'enveloppera comme une pelote,
Il te fera rouler, rouler comme une balle, Sur une terre spacieuse; Là tu mourras, là seront tes chars magnifiques, O toi, l'opprobre de la maison de ton maître!
Est-ce là votre ville joyeuse? Elle avait une origine antique, Et ses pieds la mènent séjourner au loin.
Mais son gain et son salaire impur seront consacrés à l'Éternel, Ils ne seront ni entassés ni conservés; Car son gain fournira pour ceux qui habitent devant l'Éternel Une nourriture abondante et des vêtements magnifiques.
La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.
Ils seront assemblés captifs dans une prison, Ils seront enfermés dans des cachots, Et, après un grand nombre de jours, ils seront châtiés.
Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.
Comme tu domptes la chaleur dans une terre brûlante, Tu as dompté le tumulte des barbares; Comme la chaleur est étouffée par l'ombre d'un nuage, Ainsi ont été étouffés les chants de triomphe des tyrans.
Car la main de l'Éternel repose sur cette montagne; Et Moab est foulé sur place, Comme la paille est foulée dans une mare à fumier.
En ce jour, on chantera ce cantique dans le pays de Juda: Nous avons une ville forte; Il nous donne le salut pour murailles et pour rempart.
Comme une femme enceinte, sur le point d'accoucher, Se tord et crie au milieu de ses douleurs, Ainsi avons-nous été, loin de ta face, ô Éternel!
Que tes morts revivent! Que mes cadavres se relèvent! -Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière! Car ta rosée est une rosée vivifiante, Et la terre redonnera le jour aux ombres.
Car la ville forte est solitaire, C'est une demeure délaissée et abandonnée comme le désert; Là pâture le veau, il s'y couche, et broute les branches.
Voici venir, de la part du Seigneur, un homme fort et puissant, Comme un orage de grêle, un ouragan destructeur, Comme une tempête qui précipite des torrents d'eaux: Il la fait tomber en terre avec violence.
Et la fleur fanée, qui fait l'éclat de sa parure, Sur la cime de la fertile vallée, Sera comme une figue hâtive qu'on aperçoit avant la récolte, Et qui, à peine dans la main, est aussitôt avalée.
En ce jour, l'Éternel des armées sera Une couronne éclatante et une parure magnifique Pour le reste de son peuple,
Un esprit de justice pour celui qui est assis au siège de la justice, Et une force pour ceux qui repoussent l'ennemi jusqu'à ses portes.
Vous dites: Nous avons fait une alliance avec la mort, Nous avons fait un pacte avec le séjour des morts; Quand le fléau débordé passera, il ne nous atteindra pas, Car nous avons la fausseté pour refuge et le mensonge pour abri.
C'est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Voici, j'ai mis pour fondement en Sion une pierre, Une pierre éprouvée, une pierre angulaire de prix, solidement posée; Celui qui la prendra pour appui n'aura point hâte de fuir.
Je ferai de la droiture une règle, Et de la justice un niveau; Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, Et les eaux inonderont l'abri du mensonge.
N'est-ce pas après en avoir aplani la surface Qu'il répand de la nielle et sème du cumin; Qu'il met le froment par rangées, L'orge à une place marquée, Et l'épeautre sur les bords?
La multitude de tes ennemis sera comme une fine poussière, Cette multitude de guerriers sera comme la balle qui vole, Et cela tout à coup, en un instant.
Et, comme il en est d'un songe, d'une vision nocturne, Ainsi en sera-t-il de la multitude des nations qui combattront Ariel, De tous ceux qui l'attaqueront, elle et sa forteresse, Et qui la serreront de près.
Encore un peu de temps, Et le Liban se changera en verger, Et le verger sera considéré comme une forêt.
La protection de Pharaon sera pour vous une honte, Et l'abri sous l'ombre de l'Égypte une ignominie.
Sentence des bêtes du midi: A travers une contrée de détresse et d'angoisse, D'où viennent la lionne et le lion, La vipère et le dragon volant, Ils portent à dos d'ânes leurs richesses, Et sur la bosse des chameaux leurs trésors, A un peuple qui ne leur sera point utile.
Va maintenant, écris ces choses devant eux sur une table, Et grave-les dans un livre, Afin qu'elles subsistent dans les temps à venir, Éternellement et à perpétuité.
Ce crime sera pour vous Comme une partie crevassée qui menace ruine Et fait saillie dans un mur élevé, Dont l'écroulement arrive tout à coup, en un instant:
Vous tiendrez pour souillés l'argent qui recouvre vos idoles, Et l'or dont elles sont revêtues; Tu en disperseras les débris comme une impureté: Hors d'ici! leur diras-tu.
Chacun sera comme un abri contre le vent, Et un refuge contre la tempête, Comme des courants d'eau dans un lieu desséché, Comme l'ombre d'un grand rocher dans une terre altérée.
Jusqu'à ce que l'esprit soit répandu d'en haut sur nous, Et que le désert se change en verger, Et que le verger soit considéré comme une forêt.
Tes jours seront en sûreté; La sagesse et l'intelligence sont une source de salut; La crainte de l'Éternel, C'est là le trésor de Sion.
Car c'est un jour de vengeance pour l'Éternel, Une année de représailles pour la cause de Sion.
Il y aura là un chemin frayé, une route, Qu'on appellera la voie sainte; Nul impur n'y passera; elle sera pour eux seuls; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s'égarer.
Les rachetés de l'Éternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête; L'allégresse et la joie s'approcheront, La douleur et les gémissements s'enfuiront.
Et le roi d'Assyrie envoya de Lakis à Jérusalem, vers le roi Ézéchias, Rabschaké avec une puissante armée. Rabschaké s'arrêta à l'aqueduc de l'étang supérieur, sur le chemin du champ du foulon.
Maintenant, fais une convention avec mon maître, le roi d'Assyrie, et je te donnerai deux mille chevaux, si tu peux fournir des cavaliers pour les monter.
Peut-être l'Éternel, ton Dieu, a-t-il entendu les paroles de Rabschaké, que le roi d'Assyrie, son maître, a envoyé pour insulter le Dieu vivant, et peut-être l'Éternel, ton Dieu, exercera-t-il ses châtiments à cause des paroles qu'il a entendues. Fais donc monter une prière pour le reste qui subsiste encore.
Je vais mettre en lui un esprit tel que, sur une nouvelle qu'il recevra, il retournera dans son pays; et je le ferai tomber par l'épée dans son pays.
Alors le roi d'Assyrie reçut une nouvelle au sujet de Tirhaka, roi d'Éthiopie; on lui dit: Il s'est mis en marche pour te faire la guerre. Dès qu'il eut entendu cela, il envoya des messagers à Ézéchias, en disant:
Que ceci soit un signe pour toi: On a mangé une année le produit du grain tombé, et une seconde année ce qui croît de soi-même; mais la troisième année, vous sèmerez, vous moissonnerez, vous planterez des vignes, et vous en mangerez le fruit.
Ma demeure est enlevée et transportée loin de moi, Comme une tente de berger; Je sens le fil de ma vie coupé comme par un tisserand Qui me retrancherait de sa trame. Du jour à la nuit tu m'auras achevé!
Je poussais des cris comme une hirondelle en voltigeant, Je gémissais comme la colombe; Mes yeux s'élevaient languissants vers le ciel: O Éternel! je suis dans l'angoisse, secours-moi!
Ésaïe avait dit: Qu'on apporte une masse de figues, et qu'on les étende sur l'ulcère; et Ézéchias vivra.
En ce même temps, Merodac Baladan, fils de Baladan, roi de Babylone, envoya une lettre et un présent à Ézéchias, parce qu'il avait appris sa maladie et son rétablissement.
Une voix crie: Préparez au désert le chemin de l'Éternel, Aplanissez dans les lieux arides Une route pour notre Dieu.
Une voix dit: Crie! -Et il répond: Que crierai-je? Toute chair est comme l'herbe, Et tout son éclat comme la fleur des champs.
Monte sur une haute montagne, Sion, pour publier la bonne nouvelle; Élève avec force ta voix, Jérusalem, pour publier la bonne nouvelle; Élève ta voix, ne crains point, Dis aux villes de Juda: Voici votre Dieu!
Voici, les nations sont comme une goutte d'un seau, Elles sont comme de la poussière sur une balance; Voici, les îles sont comme une fine poussière qui s'envole.
Celui que la pauvreté oblige à donner peu Choisit un bois qui résiste à la vermoulure; Il se procure un ouvrier capable, Pour faire une idole qui ne branle pas.
C'est lui qui est assis au-dessus du cercle de la terre, Et ceux qui l'habitent sont comme des sauterelles; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure.
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