'Était' dans la Bible
Le cinquième jour du mois, c'était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin, -
Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d'un veau, ils étincelaient comme de l'airain poli.
L'aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c'était comme l'aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs.
Ils allaient où l'esprit les poussait à aller; et les roues s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était dans les roues.
Quand ils marchaient, elles marchaient; quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; quand ils s'élevaient de terre, les roues s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était dans les roues.
J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.
Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d'homme placé dessus en haut.
Je vis encore comme de l'airain poli, comme du feu, au dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour; depuis la forme de ses reins jusqu'en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu'en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné.
Tel l'aspect de l'arc qui est dans la nue en un jour de pluie, ainsi était l'aspect de cette lumière éclatante, qui l'entourait: c'était une image de la gloire de l'Éternel. A cette vue, je tombai sur ma face, et j'entendis la voix de quelqu'un qui parlait.
Je regardai, et voici, une main était étendue vers moi, et elle tenait un livre en rouleau.
Il le déploya devant moi, et il était écrit en dedans et en dehors; des lamentations, des plaintes et des gémissements y étaient écrits.
Je regardai, et voici, c'était une figure ayant l'aspect d'un homme; depuis ses reins en bas, c'était du feu, et depuis ses reins en haut, c'était quelque chose d'éclatant, comme de l'airain poli.
Il étendit une forme de main, et me saisit par les cheveux de la tête. L'esprit m'enleva entre la terre et le ciel, et me transporta, dans des visions divines, à Jérusalem, à l'entrée de la porte intérieure, du côté du septentrion, où était l'idole de la jalousie, qui excite la jalousie de l'Éternel.
Et voici, la gloire du Dieu d'Israël était là, telle que je l'avais vue en vision dans la vallée.
Il me dit: Fils de l'homme, lève les yeux du côté du septentrion! Je levai les yeux du côté du septentrion; et voici, cette idole de la jalousie était au septentrion de la porte de l'autel, à l'entrée.
Soixante-dix hommes des anciens de la maison d'Israël, au milieu desquels était Jaazania, fils de Schaphan, se tenaient devant ces idoles, chacun l'encensoir à la main, et il s'élevait une épaisse nuée d'encens.
La gloire du Dieu d'Israël s'éleva du chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; et il appela l'homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture.
Je regardai, et voici, sur le ciel qui était au-dessus de la tête des chérubins, il y avait comme une pierre de saphir; on voyait au-dessus d'eux quelque chose de semblable à une forme de trône.
Alors un chérubin étendit la main entre les chérubins vers le feu qui était entre les chérubins; il en prit, et le mit dans les mains de l'homme vêtu de lin. Et cet homme le prit, et sortit.
Chacun avait quatre faces; la face du premier était une face de chérubin, la face du second une face d'homme, celle du troisième une face de lion, et celle du quatrième une face d'aigle.
Quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient, et quand ils s'élevaient, elles s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était en elles.
Les chérubins déployèrent leurs ailes, et s'élevèrent de terre sous mes yeux quand ils partirent, accompagnés des roues. Ils s'arrêtèrent à l'entrée de la porte de la maison de l'Éternel vers l'orient; et la gloire du Dieu d'Israël était sur eux, en haut.
Chacun avait quatre faces, chacun avait quatre ailes, et une forme de main d'homme était sous leurs ailes.
Leurs faces étaient semblables à celles que j'avais vues près du fleuve du Kebar; c'était le même aspect, c'était eux-mêmes. Chacun marchait droit devant soi.
Les chérubins déployèrent leurs ailes, accompagnés des roues; et la gloire du Dieu d'Israël était sur eux, en haut.
Voici, lorsqu'il était entier, on n'en faisait aucun ouvrage; Combien moins, lorsque le feu l'a consumé et qu'il est brûlé, En pourra-t-on faire quelque ouvrage?
Tu diras: Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel, à Jérusalem: Par ton origine et ta naissance tu es du pays de Canaan; ton père était un Amoréen, et ta mère une Héthienne.
Je passai près de toi, je te regardai, et voici, ton temps était là, le temps des amours. J'étendis sur toi le pan de ma robe, je couvris ta nudité, je te jurai fidélité, je fis alliance avec toi, dit le Seigneur, l'Éternel, et tu fus à moi.
Je te lavai dans l'eau, je fis disparaître le sang qui était sur toi, et je t'oignis avec de l'huile.
Et ta renommée se répandit parmi les nations, à cause de ta beauté; car elle était parfaite, grâce à l'éclat dont je t'avais ornée, dit le Seigneur, l'Éternel.
Tu as pris de tes vêtements, tu t'es fait des hauts lieux que tu as garnis d'étoffes de toutes couleurs, et tu t'y es prostituée: rien de semblable n'était arrivé et n'arrivera jamais.
Tu as pris tes fils et tes filles, que tu m'avais enfantés, et tu les leur as sacrifiés pour qu'ils leur servent d'aliment: n'était-ce pas assez de tes prostitutions?
Tu es la fille de ta mère, qui a repoussé son mari et ses enfants; tu es la soeur de tes soeurs, qui ont repoussé leur mari et leurs enfants. Votre mère était une Héthienne, et votre père un Amoréen.
Tu n'as pas seulement marché dans leurs voies, commis les mêmes abominations, c'était trop peu; tu as été plus corrompue qu'elles dans toutes tes voies.
Il y avait un autre aigle, grand, aux longues ailes, au plumage épais. Et voici, du parterre où elle était plantée, cette vigne étendit avec avidité ses racines de son côté et dirigea ses rameaux vers lui, afin qu'il l'arrosât.
Elle était plantée dans un bon terrain, près d'une eau abondante, de manière à produire des branches et à porter du fruit, à devenir une vigne magnifique.
Et tous les arbres des champs sauront que moi, l'Éternel, j'ai abaissé l'arbre qui s'élevait et élevé l'arbre qui était abaissé, que j'ai desséché l'arbre vert et fait verdir l'arbre sec. Moi, l'Éternel, j'ai parlé, et j'agirai.
et dis: Ta mère, qu'était-ce? Une lionne. Elle était couchée parmi les lions; C'est au milieu des lionceaux Qu'elle a élevé ses petits.
Quand la lionne vit qu'elle attendait en vain, Qu'elle était trompée dans son espérance, Elle prit un autre de ses petits, Et en fit un jeune lion.
Ta mère était, comme toi, semblable à une vigne, Plantée près des eaux. Elle était féconde et chargée de branches, A cause de l'abondance des eaux.
Elle s'est prostituée à eux, A toute l'élite des enfants de l'Assyrie; Elle s'est souillée avec tous ceux pour lesquels elle s'était enflammée, Elle s'est souillée avec toutes leurs idoles.
C'est pourquoi je l'ai livrée entre les mains de ses amants, Entre les mains des enfants de l'Assyrie, Pour lesquels elle s'était enflammée.
Je vis qu'elle s'était souillée, Que l'une et l'autre avaient suivi la même voie.
Elle a mis à nu son impudicité, Elle a découvert sa nudité; Et mon coeur s'est détaché d'elle, Comme mon coeur s'était détaché de sa soeur.
Elle s'est enflammée pour des impudiques, Dont la chair était comme celle des ânes, Et l'approche comme celle des chevaux.
Tu t'es assise sur un lit magnifique, Devant lequel une table était dressée, Et tu as placé sur cette table mon encens et mon huile.
Tu diras aux enfants d'Ammon: Écoutez la parole du Seigneur, de l'Éternel! Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Parce que tu as dit: Ah! ah! Sur mon sanctuaire qui était profané, Sur la terre d'Israël qui était dévastée, Et sur la maison de Juda qui allait en captivité,
Dans leur douleur, ils diront une complainte sur toi, Ils se lamenteront sur toi: Qui était comme Tyr, Comme cette ville détruite au milieu de la mer?
Voici, l'Assyrie était un cèdre du Liban; Ses branches étaient belles, Son feuillage était touffu, sa tige élevée, Et sa cime s'élançait au milieu d'épais rameaux.
Les eaux l'avaient fait croître, L'abîme l'avait fait pousser en hauteur; Des fleuves coulaient autour du lieu où il était planté, Et envoyaient leurs canaux à tous les arbres des champs.
Il était beau par sa grandeur, par l'étendue de ses branches, Car ses racines plongeaient dans des eaux abondantes.
Les cèdres du jardin de Dieu ne le surpassaient point, Les cyprès n'égalaient point ses branches, Et les platanes n'étaient point comme ses rameaux; Aucun arbre du jardin de Dieu ne lui était comparable en beauté.
C'est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Parce qu'il avait une tige élevée, Parce qu'il lançait sa cime au milieu d'épais rameaux, Et que son coeur était fier de sa hauteur,
La douzième année, le cinquième jour du dixième mois de notre captivité, un homme qui s'était échappé de Jérusalem vint à moi et dit: La ville a été prise!
La main de l'Éternel avait été sur moi le soir avant l'arrivée du fugitif, et l'Éternel m'avait ouvert la bouche lorsqu'il vint auprès de moi le matin. Ma bouche était ouverte, et je n'étais plus muet.
Fils de l'homme, ceux qui habitent ces ruines dans le pays d'Israël disent: Abraham était seul, et il a hérité le pays; à nous qui sommes nombreux, le pays est donné en possession.
Vous avez mangé la graisse, vous vous êtes vêtus avec la laine, vous avez tué ce qui était gras, vous n'avez point fait paître les brebis.
Vous n'avez pas fortifié celles qui étaient faibles, guéri celle qui était malade, pansé celle qui était blessée; vous n'avez pas ramené celle qui s'égarait, cherché celle qui était perdue; mais vous les avez dominées avec violence et avec dureté.
Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée, je panserai celle qui est blessée, et je fortifierai celle qui est malade. Mais je détruirai celles qui sont grasses et vigoureuses. Je veux les paître avec justice.
Parce que tu avais une haine éternelle, Parce que tu as précipité par le glaive les enfants d'Israël, Au jour de leur détresse, Au temps où l'iniquité était à son terme,
Parce que tu as dit: Les deux nations, les deux pays seront à moi, Et nous en prendrons possession, Quand même l'Éternel était là,
A cause de la joie que tu as éprouvée Parce que l'héritage de la maison d'Israël était dévasté, Je te traiterai de la même manière; Tu deviendras une solitude, montagne de Séir, Toi, et Édom tout entier. Et ils sauront que je suis l'Éternel.
Alors vous vous souviendrez de votre conduite qui était mauvaise, et de vos actions qui n'étaient pas bonnes; vous vous prendrez vous-mêmes en dégoût, à cause de vos iniquités et de vos abominations.
la terre dévastée sera cultivée, tandis qu'elle était déserte aux yeux de tous les passants;
Et les nations qui resteront autour de vous sauront que moi, l'Éternel, j'ai rebâti ce qui était abattu, et planté ce qui était dévasté. Moi, l'Éternel, j'ai parlé, et j'agirai.
Je prophétisai, selon l'ordre qu'il m'avait donné. Et l'esprit entra en eux, et ils reprirent vie, et ils se tinrent sur leurs pieds: c'était une armée nombreuse, très nombreuse.
Il me conduisit là; et voici, il y avait un homme dont l'aspect était comme l'aspect de l'airain; il avait dans la main un cordeau de lin et une canne pour mesurer, et il se tenait à la porte.
Voici, un mur extérieur entourait la maison de tous côtés. Dans la main de l'homme était une canne de six coudées pour mesurer, chaque coudée ayant un palme de plus que la coudée ordinaire. Il mesura la largeur du mur, qui était d'une canne, et la hauteur, qui était d'une canne.
Chaque chambre était longue d'une canne, et large d'une canne. Il y avait entre les chambres un espace de cinq coudées. Le seuil de la porte, près du vestibule de la porte, à l'intérieur, avait une canne.
Il mesura le vestibule de la porte; il avait huit coudées, et ses poteaux en avaient deux; le vestibule de la porte était en dedans.
Il mesura la largeur de l'ouverture de la porte, qui était de dix coudées, et la hauteur de la porte, qui était de treize coudées.
Il compta soixante coudées pour les poteaux, près desquels était une cour, autour de la porte.
L'espace entre la porte d'entrée et le vestibule de la porte intérieure était de cinquante coudées.
Le pavé était au côté des portes, et répondait à la longueur des portes; c'était le pavé inférieur.
Ses fenêtres, son vestibule, ses palmes, avaient la même mesure que la porte orientale; on y montait par sept degrés, devant lesquels était son vestibule.
On y montait par sept degrés, devant lesquels était son vestibule; il y avait de chaque côté des palmes sur ses poteaux.
En dehors de la porte intérieure il y avait des chambres pour les chantres, dans le parvis intérieur: l'une était à côté de la porte septentrionale et avait la face au midi, l'autre était à côté de la porte orientale et avait la face au septentrion.
Il mesura le parvis, qui avait cent coudées de longueur et cent coudées de largeur, en carré. L'autel était devant la maison.
Il me conduisit dans le vestibule de la maison. Il mesura les poteaux du vestibule, et trouva cinq coudées d'un côté et cinq coudées de l'autre. La largeur de la porte était de trois coudées d'un côté et de trois coudées de l'autre.
La largeur de la porte était de dix coudées; il y avait cinq coudées d'un côté de la porte, et cinq coudées de l'autre. Il mesura la longueur du temple, quarante coudées, et la largeur, vingt coudées.
L'entrée des chambres latérales donnait sur l'espace libre, une entrée au septentrion, et une entrée au midi; et la largeur de l'espace libre était de cinq coudées tout autour.
Le bâtiment qui était devant la place vide, du côté de l'occident, avait une largeur de soixante-dix coudées, un mur de cinq coudées d'épaisseur tout autour, et une longueur de quatre-vingt-dix coudées.
La largeur de la face de la maison et de la place vide, du côté de l'orient, était de cent coudées.
jusqu'au-dessus de la porte, le dedans de la maison, le dehors, toute la muraille du pourtour, à l'intérieur et à l'extérieur, tout était d'après la mesure,
une face d'homme tournée d'un côté vers la palme, et une face de lion tournée de l'autre côté vers l'autre palme; il en était ainsi tout autour de la maison.
L'autel était de bois, haut de trois coudées, et long de deux coudées. Ses angles, ses pieds, et ses côtés étaient de bois. L'homme me dit: C'est ici la table qui est devant l'Éternel.
Des chérubins et des palmes étaient sculptés sur les portes du temple, comme sur les murs. Un entablement en bois était sur le front du vestibule en dehors.
Sur la face, où se trouvait la porte septentrionale, il y avait une longueur de cent coudées; et la largeur était de cinquante coudées.
C'était vis-à-vis des vingt coudées du parvis intérieur, et vis-à-vis du pavé du parvis extérieur, là où se trouvaient les galeries des trois étages.
car la longueur des chambres du côté du parvis extérieur était de cinquante coudées. Mais sur la face du temple il y avait cent coudées.
Au bas de ces chambres était l'entrée de l'orient, quand on y venait du parvis extérieur.
Il en était de même pour les portes des chambres du côté du midi. Il y avait une porte à la tête de l'allée, de l'allée qui se trouvait droit devant le mur du côté de l'orient, par où l'on y entrait.
Lorsqu'il eut achevé de mesurer la maison intérieure, il me fit sortir par la porte qui était du côté de l'orient, et il mesura l'enceinte tout autour.
Il mesura des quatre côtés le mur formant l'enceinte de la maison; la longueur était de cinq cents cannes, et la largeur de cinq cents cannes; ce mur marquait la séparation entre le saint et le profane.
Il me conduisit à la porte, à la porte qui était du côté de l'orient.
Et voici, la gloire du Dieu d'Israël s'avançait de l'orient. Sa voix était pareille au bruit des grandes eaux, et la terre resplendissait de sa gloire.
Cette vision était semblable à celle que j'avais eue lorsque j'étais venu pour détruire la ville; et ces visions étaient semblables à celle que j'avais eue près du fleuve du Kebar. Et je tombai sur ma face.
La gloire de l'Éternel entra dans la maison par la porte qui était du côté de l'orient.
Voici les mesures de l'autel, d'après les coudées dont chacune était d'un palme plus longue que la coudée ordinaire. La base avait une coudée de hauteur, et une coudée de largeur; et le rebord qui terminait son contour avait un empan de largeur; c'était le support de l'autel.
Il me ramena vers la porte extérieure du sanctuaire, du côté de l'orient. Mais elle était fermée.
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