'Mes' dans la Bible
- 1.Genèse 2:23-Deutéronome 32:23
- 2.Deutéronome 32:34-2 Rois 21:15
- 3.1 Chroniques 4:10-Job 31:7
- 4.Job 31:8-Psaumes 38:19
- 5.Psaumes 38:20-Psaumes 119:37
- 6.Psaumes 119:47-Ésaïe 38:13
- 7.Ésaïe 38:14-Jérémie 44:29
- 8.Jérémie 50:21-Michée 2:7
- 9.Michée 6:7-1 Corinthiens 10:14
- 10.1 Corinthiens 11:1-Apocalypse 11:3
Jaebets invoqua le Dieu d'Israël, en disant: Si tu me bénis et que tu étendes mes limites, si ta main est avec moi, et si tu me préserves du malheur, en sorte que je ne sois pas dans la souffrance!... Et Dieu accorda ce qu'il avait demandé.
David sortit au-devant d'eux, et leur adressa la parole, en disant: Si vous venez à moi dans de bonnes intentions pour me secourir, mon coeur s'unira à vous; mais si c'est pour me tromper au profit de mes ennemis, quand je ne commets aucune violence, que le Dieu de nos pères le voie et qu'il fasse justice!
David consulta Dieu, en disant: Monterai-je contre les Philistins, et les livreras-tu entre mes mains? Et l'Éternel lui dit: Monte, et je les livrerai entre tes mains.
Ils montèrent à Baal Peratsim, où David les battit. Puis il dit: Dieu a dispersé mes ennemis par ma main, comme des eaux qui s'écoulent. C'est pourquoi l'on a donné à ce lieu le nom de Baal Peratsim.
Ne touchez pas à mes oints, Et ne faites pas de mal à mes prophètes!
Voici, par mes efforts, j'ai préparé pour la maison de l'Éternel cent mille talents d'or, un million de talents d'argent, et une quantité d'airain et de fer qu'il n'est pas possible de peser, car il y en a en abondance; j'ai aussi préparé du bois et des pierres, et tu en ajouteras encore.
L'Éternel, votre Dieu, n'est-il pas avec vous, et ne vous a-t-il pas donné du repos de tous côtés? Car il a livré entre mes mains les habitants du pays, et le pays est assujetti devant l'Éternel et devant son peuple.
Le roi David se leva sur ses pieds, et dit: Écoutez-moi, mes frères et mon peuple! J'avais l'intention de bâtir une maison de repos pour l'arche de l'alliance de l'Éternel et pour le marchepied de notre Dieu, et je me préparais à bâtir.
Entre tous mes fils-car l'Éternel m'a donné beaucoup de fils-il a choisi mon fils Salomon pour le faire asseoir sur le trône du royaume de l'Éternel, sur Israël.
Il m'a dit: Salomon, ton fils, bâtira ma maison et mes parvis; car je l'ai choisi pour mon fils, et je serai pour lui un père.
J'affermirai pour toujours son royaume, s'il reste attaché comme aujourd'hui à la pratique de mes commandements et de mes ordonnances.
J'ai mis toutes mes forces à préparer pour la maison de mon Dieu de l'or pour ce qui doit être d'or, de l'argent pour ce qui doit être d'argent, de l'airain pour ce qui doit être d'airain, du fer pour ce qui doit être de fer, et du bois pour ce qui doit être de bois, des pierres d'onyx et des pierres à enchâsser, des pierres brillantes et de diverses couleurs, toutes sortes de pierres précieuses, et du marbre blanc en quantité.
Envoie-moi aussi du Liban des bois de cèdre, de cyprès et de santal; car je sais que tes serviteurs s'entendent à couper les bois du Liban. Voici, mes serviteurs seront avec les tiens.
Mes yeux seront ouverts désormais, et mes oreilles seront attentives à la prière faite en ce lieu.
Maintenant, je choisis et je sanctifie cette maison pour que mon nom y réside à jamais, et j'aurai toujours là mes yeux et mon coeur.
Et toi, si tu marches en ma présence comme a marché David, ton père, faisant tout ce que je t'ai commandé, et si tu observes mes lois et mes ordonnances,
Mais si vous vous détournez, si vous abandonnez mes lois et mes commandements que je vous ai prescrits, et si vous allez servir d'autres dieux et vous prosterner devant eux,
Je ne croyais pas ce qu'on en disait, avant d'être venue et d'avoir vu de mes yeux. Et voici, on ne m'a pas raconté la moitié de la grandeur de ta sagesse. Tu surpasses ce que la renommée m'a fait connaître.
Maintenant, mes fils, cessez d'être négligents; car vous avez été choisis par l'Éternel pour vous tenir à son service devant lui, pour être ses serviteurs, et pour lui offrir des parfums.
Ne savez-vous pas ce que nous avons fait, moi et mes pères, à tous les peuples des autres pays? Les dieux des nations de ces pays ont-ils pu délivrer leurs pays de ma main?
Parmi tous les dieux de ces nations que mes pères ont exterminées, quel est celui qui a pu délivrer son peuple de ma main, pour que votre Dieu puisse vous délivrer de ma main?
Qu'Ézéchias ne vous séduise donc point et qu'il ne vous abuse point ainsi; ne vous fiez pas à lui! Car aucun dieu d'aucune nation ni d'aucun royaume n'a pu délivrer son peuple de ma main et de la main de mes pères: combien moins votre Dieu vous délivrera-t-il de ma main?
Lorsque j'entendis cela, je déchirai mes vêtements et mon manteau, je m'arrachai les cheveux de la tête et les poils de la barbe, et je m'assis désolé.
Puis, au moment de l'offrande du soir, je me levai du sein de mon humiliation, avec mes vêtements et mon manteau déchirés, je tombai à genoux, j'étendis les mains vers l'Éternel, mon Dieu,
Hanani, l'un de mes frères, et quelques hommes arrivèrent de Juda. Je les questionnai au sujet des Juifs réchappés qui étaient restés de la captivité, et au sujet de Jérusalem.
mais si vous revenez à moi, et si vous observez mes commandements et les mettez en pratique, alors, quand vous seriez exilés à l'extrémité du ciel, de là je vous rassemblerai et je vous ramènerai dans le lieu que j'ai choisi pour y faire résider mon nom.
et je répondis au roi: Que le roi vive éternellement! Comment n'aurais-je pas mauvais visage, lorsque la ville où sont les sépulcres de mes pères est détruite et que ses portes sont consumées par le feu?
et je répondis au roi: Si le roi le trouve bon, et si ton serviteur lui est agréable, envoie-moi en Juda, vers la ville des sépulcres de mes pères, pour que je la rebâtisse.
Depuis ce jour, la moitié de mes serviteurs travaillait, et l'autre moitié était armée de lances, de boucliers, d'arcs et de cuirasses. Les chefs étaient derrière toute la maison de Juda.
Et nous ne quittions point nos vêtements, ni moi, ni mes frères, ni mes serviteurs, ni les hommes de garde qui me suivaient; chacun n'avait que ses armes et de l'eau.
Moi aussi, et mes frères et mes serviteurs, nous leur avons prêté de l'argent et du blé. Abandonnons ce qu'ils nous doivent!
Dès le jour où le roi m'établit leur gouverneur dans le pays de Juda, depuis la vingtième année jusqu'à la trente-deuxième année du roi Artaxerxès, pendant douze ans, ni moi ni mes frères n'avons vécu des revenus du gouverneur.
Bien plus, j'ai travaillé à la réparation de cette muraille, et nous n'avons acheté aucun champ, et mes serviteurs tous ensemble étaient à l'ouvrage.
Ils disaient même du bien de lui en ma présence, et ils lui rapportaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres pour m'effrayer.
Je donnai mes ordres à Hanani, mon frère, et à Hanania, chef de la citadelle de Jérusalem, homme supérieur au grand nombre par sa fidélité et par sa crainte de Dieu.
Souviens-toi de moi, ô mon Dieu, à cause de cela, et n'oublie pas mes actes de piété à l'égard de la maison de mon Dieu et des choses qui doivent être observées!
Puis j'ordonnai qu'on fermât les portes de Jérusalem avant le sabbat, dès qu'elles seraient dans l'ombre, et qu'on ne les ouvrît qu'après le sabbat. Et je plaçai quelques-uns de mes serviteurs aux portes, pour empêcher l'entrée des fardeaux le jour du sabbat.
Va, rassemble tous les Juifs qui se trouvent à Suse, et jeûnez pour moi, sans manger ni boire pendant trois jours, ni la nuit ni le jour. Moi aussi, je jeûnerai de même avec mes servantes, puis j'entrerai chez le roi, malgré la loi; et si je dois périr, je périrai.
Et quand les jours de festin étaient passés, Job appelait et sanctifiait ses fils, puis il se levait de bon matin et offrait pour chacun d'eux un holocauste; car Job disait: Peut-être mes fils ont-ils péché et ont-ils offensé Dieu dans leur coeur. C'est ainsi que Job avait coutume d'agir.
Car elle n'a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards.
Mes soupirs sont ma nourriture, Et mes cris se répandent comme l'eau.
Je fus saisi de frayeur et d'épouvante, Et tous mes os tremblèrent.
Un esprit passa près de moi... Tous mes cheveux se hérissèrent...
Une figure d'un aspect inconnu était devant mes yeux, Et j'entendis une voix qui murmurait doucement:
Oh! s'il était possible de peser ma douleur, Et si toutes mes calamités étaient sur la balance,
Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer; Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu'à la folie!
Mes frères sont perfides comme un torrent, Comme le lit des torrents qui disparaissent.
Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, Ils s'évanouissent: plus d'espérance!
Souviens-toi que ma vie est un souffle! Mes yeux ne reverront pas le bonheur.
Quand je dis: Mon lit me soulagera, Ma couche calmera mes douleurs,
Lui qui m'assaille comme par une tempête, Qui multiplie sans raison mes blessures,
Mes jours sont plus rapides qu'un courrier; Ils fuient sans avoir vu le bonheur;
Si je dis: Je veux oublier mes souffrances, Laisser ma tristesse, reprendre courage,
Je suis effrayé de toutes mes douleurs. Je sais que tu ne me tiendras pas pour innocent.
Quand je me laverais dans la neige, Quand je purifierais mes mains avec du savon,
Tu me plongerais dans la fange, Et mes vêtements m'auraient en horreur.
Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre? Qu'il me laisse, Qu'il se retire de moi, et que je respire un peu,
Je suis pour mes amis un objet de raillerie, Quand j'implore le secours de Dieu; Le juste, l'innocent, un objet de raillerie!
Écoutez, je vous prie, ma défense, Et soyez attentifs à la réplique de mes lèvres.
Écoutez, écoutez mes paroles, Prêtez l'oreille à ce que je vais dire.
Quel est le nombre de mes iniquités et de mes péchés? Fais-moi connaître mes transgressions et mes péchés.
Pourquoi mettre mes pieds dans les ceps, Surveiller tous mes mouvements, Tracer une limite à mes pas,
Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.
Mais aujourd'hui tu comptes mes pas, Tu as l'oeil sur mes péchés;
Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge.
Si je parle, mes souffrances ne seront point calmées, Si je me tais, en quoi seront-elles moindres?
Les pleurs ont altéré mon visage; L'ombre de la mort est sur mes paupières.
O terre, ne couvre point mon sang, Et que mes cris prennent librement leur essor!
Car le nombre de mes années touche à son terme, Et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.
Mon souffle se perd, Mes jours s'éteignent, Le sépulcre m'attend.
Mon oeil est obscurci par la douleur; Tous mes membres sont comme une ombre.
Quoi! mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, Les projets qui remplissaient mon coeur...
Il m'a fermé toute issue, et je ne puis passer; Il a répandu des ténèbres sur mes sentiers.
Il a éloigné de moi mes frères, Et mes amis se sont détournés de moi;
Je suis abandonné de mes proches, Je suis oublié de mes intimes.
Je suis un étranger pour mes serviteurs et mes servantes, Je ne suis plus à leurs yeux qu'un inconnu.
Mon humeur est à charge à ma femme, Et ma plainte aux fils de mes entrailles.
Mes os sont attachés à ma peau et à ma chair; Il ne me reste que la peau des dents.
Ayez pitié, ayez pitié de moi, vous, mes amis! Car la main de Dieu m'a frappé.
Oh! je voudrais que mes paroles fussent écrites, Qu'elles fussent écrites dans un livre;
Je le verrai, et il me sera favorable; Mes yeux le verront, et non ceux d'un autre; Mon âme languit d'attente au dedans de moi.
Mes pensées me forcent à répondre, Et mon agitation ne peut se contenir.
Écoutez, écoutez mes paroles, Donnez-moi seulement cette consolation.
Maintenant encore ma plainte est une révolte, Mais la souffrance étouffe mes soupirs.
S'il n'en est pas ainsi, qui me démentira, Qui réduira mes paroles à néant?
Aussi longtemps que j'aurai ma respiration, Et que le souffle de Dieu sera dans mes narines,
Mes lèvres ne prononceront rien d'injuste, Ma langue ne dira rien de faux.
Je tiens à me justifier, et je ne faiblirai pas; Mon coeur ne me fait de reproche sur aucun de mes jours.
Quand le Tout Puissant était encore avec moi, Et que mes enfants m'entouraient;
Quand mes pieds se baignaient dans la crème Et que le rocher répandait près de moi des ruisseaux d'huile!
Alors je disais: Je mourrai dans mon nid, Mes jours seront abondants comme le sable;
L'eau pénétrera dans mes racines, La rosée passera la nuit sur mes branches;
On m'écoutait et l'on restait dans l'attente, On gardait le silence devant mes conseils.
Après mes discours, nul ne répliquait, Et ma parole était pour tous une bienfaisante rosée;
Mes entrailles bouillonnent sans relâche, Les jours de la calamité m'ont surpris.
Ma peau noircit et tombe, Mes os brûlent et se dessèchent.
J'avais fait un pacte avec mes yeux, Et je n'aurais pas arrêté mes regards sur une vierge.
Dieu n'a-t-il pas connu mes voies? N'a-t-il pas compté tous mes pas?
Si mon pas s'est détourné du droit chemin, Si mon coeur a suivi mes yeux, Si quelque souillure s'est attachée à mes mains,
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- 1.Genèse 2:23-Deutéronome 32:23
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- 4.Job 31:8-Psaumes 38:19
- 5.Psaumes 38:20-Psaumes 119:37
- 6.Psaumes 119:47-Ésaïe 38:13
- 7.Ésaïe 38:14-Jérémie 44:29
- 8.Jérémie 50:21-Michée 2:7
- 9.Michée 6:7-1 Corinthiens 10:14
- 10.1 Corinthiens 11:1-Apocalypse 11:3