8474 occurences en traduction 1

'Les' dans la Bible

Les gens de la ville dirent à Élisée: Voici, le séjour de la ville est bon, comme le voit mon seigneur; mais les eaux sont mauvaises, et le pays est stérile.

Et les eaux furent assainies, jusqu'à ce jour, selon la parole qu'Élisée avait prononcée.

Il se retourna pour les regarder, et il les maudit au nom de l'Éternel. Alors deux ours sortirent de la forêt, et déchirèrent quarante-deux de ces enfants.

Il fit ce qui est mal aux yeux de l'Éternel, non pas toutefois comme son père et sa mère. Il renversa les statues de Baal que son père avait faites;

Le roi d'Israël, le roi de Juda et le roi d'Édom, partirent; et après une marche de sept jours, ils manquèrent d'eau pour l'armée et pour les bêtes qui la suivaient.

Alors le roi d'Israël dit: Hélas! l'Éternel a appelé ces trois rois pour les livrer entre les mains de Moab.

Mais Josaphat dit: N'y a-t-il ici aucun prophète de l'Éternel, par qui nous puissions consulter l'Éternel? L'un des serviteurs du roi d'Israël répondit: Il y a ici Élisée, fils de Schaphath, qui versait l'eau sur les mains d'Élie.

Élisée dit au roi d'Israël: Qu'y a-t-il entre moi et toi? Va vers les prophètes de ton père et vers les prophètes de ta mère. Et le roi d'Israël lui dit: Non! car l'Éternel a appelé ces trois rois pour les livrer entre les mains de Moab.

vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes d'élite, vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les sources d'eau, et vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs champs.

Cependant, tous les Moabites ayant appris que les rois montaient pour les attaquer, on convoqua tous ceux en âge de porter les armes et même au-dessus, et ils se tinrent sur la frontière.

Ils se levèrent de bon matin, et quand le soleil brilla sur les eaux, les Moabites virent en face d'eux les eaux rouges comme du sang.

Ils dirent: C'est du sang! les rois ont tiré l'épée entre eux, ils se sont frappés les uns les autres; maintenant, Moabites, au pillage!

Ils renversèrent les villes, ils jetèrent chacun des pierres dans tous les meilleurs champs et les en remplirent, ils bouchèrent toutes les sources d'eau, et ils abattirent tous les bons arbres; et les frondeurs enveloppèrent et battirent Kir Haréseth, dont on ne laissa que les pierres.

Alors elle le quitta. Elle ferma la porte sur elle et sur ses enfants; ils lui présentaient les vases, et elle versait.

Lorsque les vases furent pleins, elle dit à son fils: Présente-moi encore un vase. Mais il lui répondit: Il n'y a plus de vase. Et l'huile s'arrêta.

Un jour Élisée passait par Sunem. Il y avait là une femme de distinction, qui le pressa d'accepter à manger. Et toutes les fois qu'il passait, il se rendait chez elle pour manger.

L'enfant grandit. Et un jour qu'il était allé trouver son père vers les moissonneurs,

Le serviteur l'emporta et l'amena à sa mère. Et l'enfant resta sur les genoux de sa mère jusqu'à midi, puis il mourut.

Guéhazi les avait devancés, et il avait mis le bâton sur le visage de l'enfant; mais il n'y eut ni voix ni signe d'attention. Il s'en retourna à la rencontre d'Élisée, et lui rapporta la chose, en disant: L'enfant ne s'est pas réveillé.

Élisée s'éloigna, alla çà et là par la maison, puis remonta et s'étendit sur l'enfant. Et l'enfant éternua sept fois, et il ouvrit les yeux.

Élisée revint à Guilgal, et il y avait une famine dans le pays. Comme les fils des prophètes étaient assis devant lui, il dit à son serviteur: Mets le grand pot, et fais cuire un potage pour les fils des prophètes.

L'un d'eux sortit dans les champs pour cueillir des herbes; il trouva de la vigne sauvage et il y cueillit des coloquintes sauvages, plein son vêtement. Quand il rentra, il les coupa en morceaux dans le pot où était le potage, car on ne les connaissait pas.

Il mit alors les pains devant eux; et ils mangèrent et en eurent de reste, selon la parole de l'Éternel.

Naaman, chef de l'armée du roi de Syrie, jouissait de la faveur de son maître et d'une grande considération; car c'était par lui que l'Éternel avait délivré les Syriens. Mais cet homme fort et vaillant était lépreux.

Or les Syriens étaient sortis par troupes, et ils avaient emmené captive une petite fille du pays d'Israël, qui était au service de la femme de Naaman.

Les fleuves de Damas, l'Abana et le Parpar, ne valent-ils pas mieux que toutes les eaux d'Israël? Ne pourrais-je pas m'y laver et devenir pur? Et il s'en retournait et partait avec fureur.

Il répondit: Tout va bien. Mon maître m'envoie te dire: Voici, il vient d'arriver chez moi deux jeunes gens de la montagne d'Éphraïm, d'entre les fils des prophètes; donne pour eux, je te prie, un talent d'argent et deux vêtements de rechange.

Naaman dit: Consens à prendre deux talents. Il le pressa, et il serra deux talents d'argent dans deux sacs, donna deux habits de rechange, et les fit porter devant Guéhazi par deux de ses serviteurs.

Arrivé à la colline, Guéhazi les prit de leurs mains et les déposa dans la maison, et il renvoya ces gens qui partirent.

Les fils des prophètes dirent à Élisée: Voici, le lieu où nous sommes assis devant toi est trop étroit pour nous.

Mais l'homme de Dieu fit dire au roi d'Israël: Garde-toi de passer dans ce lieu, car les Syriens y descendent.

L'un de ses serviteurs répondit: Personne! ô roi mon seigneur; mais Élisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d'Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.

Élisée pria, et dit: Éternel, ouvre ses yeux, pour qu'il voie. Et l'Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d'Élisée.

Les Syriens descendirent vers Élisée. Il adressa alors cette prière à l'Éternel: Daigne frapper d'aveuglement cette nation! Et l'Éternel les frappa d'aveuglement, selon la parole d'Élisée.

Élisée leur dit: Ce n'est pas ici le chemin, et ce n'est pas ici la ville; suivez-moi, et je vous conduirai vers l'homme que vous cherchez. Et il les conduisit à Samarie.

Lorsqu'ils furent entrés dans Samarie, Élisée dit: Éternel, ouvre les yeux de ces gens, pour qu'ils voient! Et l'Éternel ouvrit leurs yeux, et ils virent qu'ils étaient au milieu de Samarie.

Le roi d'Israël, en les voyant, dit à Élisée: Frapperai-je, frapperai-je, mon père?

Le roi d'Israël leur fit servir un grand repas, et ils mangèrent et burent; puis il les renvoya, et ils s'en allèrent vers leur maître. Et les troupes des Syriens ne revinrent plus sur le territoire d'Israël.

Lorsque le roi entendit les paroles de cette femme, il déchira ses vêtements, en passant sur la muraille; et le peuple vit qu'il avait en dedans un sac sur son corps.

Or Élisée était dans sa maison, et les anciens étaient assis auprès de lui. Le roi envoya quelqu'un devant lui. Mais avant que le messager soit arrivé, Élisée dit aux anciens: Voyez-vous que ce fils d'assassin envoie quelqu'un pour m'ôter la tête? Écoutez! quand le messager viendra, fermez la porte, et repoussez-le avec la porte: le bruit des pas de son maître ne se fait-il pas entendre derrière lui?

Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Égyptiens pour venir nous attaquer.

Les lépreux, étant arrivés à l'entrée du camp, pénétrèrent dans une tente, mangèrent et burent, et en emportèrent de l'argent, de l'or, et des vêtements, qu'ils allèrent cacher. Ils revinrent, pénétrèrent dans une autre tente, et en emportèrent des objets qu'ils allèrent cacher.

Ils partirent, et ils appelèrent les gardes de la porte de la ville, auxquels ils firent ce rapport: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voici, il n'y a personne, on n'y entend aucune voix d'homme; il n'y a que des chevaux attachés et des ânes attachés, et les tentes comme elles étaient.

Les gardes de la porte crièrent, et ils transmirent ce rapport à l'intérieur de la maison du roi.

Le roi se leva de nuit, et il dit à ses serviteurs: Je veux vous communiquer ce que nous font les Syriens. Comme ils savent que nous sommes affamés, ils ont quitté le camp pour se cacher dans les champs, et ils se sont dit: Quand ils sortiront de la ville, nous les saisirons vivants, et nous entrerons dans la ville.

On prit deux chars avec les chevaux, et le roi envoya des messagers sur les traces de l'armée des Syriens, en disant: Allez et voyez.

Ils allèrent après eux jusqu'au Jourdain; et voici, toute la route était pleine de vêtements et d'objets que les Syriens avaient jetés dans leur précipitation. Les messagers revinrent, et le rapportèrent au roi.

Le roi s'entretenait avec Guéhazi, serviteur de l'homme de Dieu, et il disait: Raconte-moi, je te prie, toutes les grandes choses qu'Élisée a faites.

Le roi interrogea la femme, et elle lui fit le récit. Puis le roi lui donna un eunuque, auquel il dit: Fais restituer tout ce qui appartient à cette femme, avec tous les revenus du champ, depuis le jour où elle a quitté le pays jusqu'à maintenant.

Joram passa à Tsaïr, avec tous ses chars; s'étant levé de nuit, il battit les Édomites, qui l'entouraient et les chefs des chars, et le peuple s'enfuit dans ses tentes.

Il alla avec Joram, fils d'Achab, à la guerre contre Hazaël, roi de Syrie, à Ramoth en Galaad. Et les Syriens blessèrent Joram.

Le roi Joram s'en retourna pour se faire guérir à Jizreel des blessures que les Syriens lui avaient faites à Rama, lorsqu'il se battait contre Hazaël, roi de Syrie. Achazia, fils de Joram, roi de Juda, descendit pour voir Joram, fils d'Achab, à Jizreel, parce qu'il était malade.

Quand il arriva, voici, les chefs de l'armée étaient assis. Il dit: Chef, j'ai un mot à te dire. Et Jéhu dit: Auquel de nous tous? Il répondit: A toi, chef.

Tu frapperas la maison d'Achab, ton maître, et je vengerai sur Jézabel le sang de mes serviteurs les prophètes et le sang de tous les serviteurs de l'Éternel.

Les chiens mangeront Jézabel dans le champ de Jizreel, et il n'y aura personne pour l'enterrer. Puis le jeune homme ouvrit la porte, et s'enfuit.

Lorsque Jéhu sortit pour rejoindre les serviteurs de son maître, on lui dit: Tout va-t-il bien? Pourquoi ce fou est-il venu vers toi? Jéhu leur répondit: Vous connaissez bien l'homme et ce qu'il peut dire.

mais le roi Joram s'en était retourné pour se faire guérir à Jizreel des blessures que les Syriens lui avaient faites, lorsqu'il se battait contre Hazaël, roi de Syrie. -Jéhu dit: Si c'est votre volonté, personne ne s'échappera de la ville pour aller porter la nouvelle à Jizreel.

Dès que Joram vit Jéhu, il dit: Est-ce la paix, Jéhu? Jéhu répondit: Quoi, la paix! tant que durent les prostitutions de Jézabel, ta mère, et la multitude de ses sortilèges!

Mais Jéhu saisit son arc, et il frappa Joram entre les épaules: la flèche sortit par le coeur, et Joram s'affaissa dans son char.

Il dit: Jetez-la en bas! Ils la jetèrent, et il rejaillit de son sang sur la muraille et sur les chevaux. Jéhu la foula aux pieds;

Ils allèrent pour l'enterrer; mais ils ne trouvèrent d'elle que le crâne, les pieds et les paumes des mains.

Ils retournèrent l'annoncer à Jéhu, qui dit: C'est ce qu'avait déclaré l'Éternel par son serviteur Élie, le Thischbite, en disant: Les chiens mangeront la chair de Jézabel dans le camp de Jizreel;

Maintenant, quand cette lettre vous sera parvenue, -puisque vous avez avec vous les fils de votre maître, avec vous les chars et les chevaux, une ville forte et les armes, -

Et le chef de la maison, le chef de la ville, les anciens, et les gouverneurs des enfants, envoyèrent dire à Jéhu: Nous sommes tes serviteurs, et nous ferons tout ce que tu nous diras; nous n'établirons personne roi, fais ce qui te semble bon.

Jéhu leur écrivit une seconde lettre où il était dit: Si vous êtes à moi et si vous obéissez à ma voix, prenez les têtes de ces hommes, fils de votre maître, et venez auprès de moi demain à cette heure, à Jizreel. Or les soixante-dix fils du roi étaient chez les grands de la ville, qui les élevaient.

Quand la lettre leur fut parvenue, ils prirent les fils du roi, et ils égorgèrent ces soixante-dix hommes; puis ils mirent leurs têtes dans des corbeilles, et les envoyèrent à Jéhu, à Jizreel.

Le messager vint l'en informer, en disant: Ils ont apporté les têtes des fils du roi. Et il dit: Mettez-les en deux tas à l'entrée de la porte, jusqu'au matin.

Jéhu trouva les frères d'Achazia, roi de Juda, et il dit: Qui êtes-vous? Ils répondirent: Nous sommes les frères d'Achazia, et nous descendons pour saluer les fils du roi et les fils de la reine.

Jéhu dit: Saisissez-les vivants. Et ils les saisirent vivants, et les égorgèrent au nombre de quarante-deux, à la citerne de la maison de réunion; Jéhu n'en laissa échapper aucun.

Lorsque Jéhu fut arrivé à Samarie, il frappa tous ceux qui restaient d'Achab à Samarie, et il les détruisit entièrement, selon la parole que l'Éternel avait dite à Élie.

Maintenant convoquez auprès de moi tous les prophètes de Baal, tous ses serviteurs et tous ses prêtres, sans qu'il en manque un seul, car je veux offrir un grand sacrifice à Baal: quiconque manquera ne vivra pas. Jéhu agissait avec ruse, pour faire périr les serviteurs de Baal.

Il envoya des messagers dans tout Israël; et tous les serviteurs de Baal arrivèrent, il n'y en eut pas un qui ne vînt; ils entrèrent dans la maison de Baal, et la maison de Baal fut remplie d'un bout à l'autre.

Jéhu dit à celui qui avait la garde du vestiaire: Sors des vêtements pour tous les serviteurs de Baal. Et cet homme sortit des vêtements pour eux.

Lorsqu'on eut achevé d'offrir les holocaustes, Jéhu dit aux coureurs et aux officiers: Entrez, frappez-les, que pas un ne sorte. Et ils les frappèrent du tranchant de l'épée. Les coureurs et les officiers les jetèrent là, et ils allèrent jusqu'à la ville de la maison de Baal.

Ils tirèrent dehors les statues de la maison de Baal, et les brûlèrent.

mais il ne se détourna point des péchés de Jéroboam, fils de Nebath, qui avait fait pécher Israël, il n'abandonna point les veaux d'or qui étaient à Béthel et à Dan.

Dans ce temps-là, l'Éternel commença à entamer le territoire d'Israël; et Hazaël les battit sur toute la frontière d'Israël.

Depuis le Jourdain, vers le soleil levant, il battit tout le pays de Galaad, les Gadites, les Rubénites et les Manassites, depuis Aroër sur le torrent de l'Arnon jusqu'à Galaad et à Basan.

Mais Joschéba, fille du roi Joram, soeur d'Achazia, prit Joas, fils d'Achazia, et l'enleva du milieu des fils du roi, quand on les fit mourir: elle le mit avec sa nourrice dans la chambre des lits. Il fut ainsi dérobé aux regards d'Athalie, et ne fut point mis à mort.

La septième année, Jehojada envoya chercher les chefs de centaines des Kéréthiens et des coureurs, et il les fit venir auprès de lui dans la maison de l'Éternel. Il traita alliance avec eux et les fit jurer dans la maison de l'Éternel, et il leur montra le fils du roi.

un tiers à la porte de Sur, et un tiers à la porte derrière les coureurs: vous veillerez à la garde de la maison, de manière à en empêcher l'entrée.

vous entourerez le roi de toutes parts, chacun les armes à la main, et l'on donnera la mort à quiconque s'avancera dans les rangs; vous serez près du roi quand il sortira et quand il entrera.

Les chefs de centaines exécutèrent tous les ordres qu'avait donnés le sacrificateur Jehojada. Ils prirent chacun leurs gens, ceux qui entraient en service et ceux qui sortaient de service le jour du sabbat, et ils se rendirent vers le sacrificateur Jehojada.

Le sacrificateur remit aux chefs de centaines les lances et les boucliers qui provenaient du roi David, et qui se trouvaient dans la maison de l'Éternel.

Les coureurs, chacun les armes à la main, entourèrent le roi, en se plaçant depuis le côté droit jusqu'au côté gauche de la maison, près de l'autel et près de la maison.

Elle regarda. Et voici, le roi se tenait sur l'estrade, selon l'usage; les chefs et les trompettes étaient près du roi: tout le peuple du pays était dans la joie, et l'on sonnait des trompettes. Athalie déchira ses vêtements, et cria: Conspiration! conspiration!

Tout le peuple du pays entra dans la maison de Baal, et ils la démolirent; ils brisèrent entièrement ses autels et ses images, et ils tuèrent devant les autels Matthan, prêtre de Baal. Le sacrificateur Jehojada mit des surveillants dans la maison de l'Éternel.

Il prit les chefs de centaines, les Kéréthiens et les coureurs, et tout le peuple du pays; et ils firent descendre le roi de la maison de l'Éternel, et ils entrèrent dans la maison du roi par le chemin de la porte des coureurs. Et Joas s'assit sur le trône des rois.

Seulement, les hauts lieux ne disparurent point; le peuple offrait encore des sacrifices et des parfums sur les hauts lieux.

que les sacrificateurs le prennent chacun de la part des gens de sa connaissance, et qu'ils l'emploient à réparer la maison partout où il se trouvera quelque chose à réparer.

Mais il arriva que, la vingt-troisième année du roi Joas, les sacrificateurs n'avaient point réparé ce qui était à réparer à la maison.

Le roi Joas appela le sacrificateur Jehojada et les autres sacrificateurs, et leur dit: Pourquoi n'avez-vous pas réparé ce qui est à réparer à la maison? Maintenant, vous ne prendrez plus l'argent de vos connaissances, mais vous le livrerez pour les réparations de la maison.

Les sacrificateurs convinrent de ne pas prendre l'argent du peuple, et de n'être chargés des réparations de la maison.

Alors le sacrificateur Jehojada prit un coffre, perça un trou dans son couvercle, et le plaça à côté de l'autel, à droite, sur le passage par lequel on entrait à la maison de l'Éternel. Les sacrificateurs qui avaient la garde du seuil y mettaient tout l'argent qu'on apportait dans la maison de l'Éternel.

Ils remettaient l'argent pesé entre les mains de ceux qui étaient chargés de faire exécuter l'ouvrage dans la maison de l'Éternel. Et l'on employait cet argent pour les charpentiers et pour les ouvriers qui travaillaient à la maison de l'Éternel,

pour les maçons et les tailleurs de pierres, pour les achats de bois et de pierres de taille nécessaires aux réparations de la maison de l'Éternel, et pour toutes les dépenses concernant les réparations de la maison.

On ne demandait pas de compte aux hommes entre les mains desquels on remettait l'argent pour qu'ils le donnassent à ceux qui faisaient l'ouvrage, car ils agissaient avec probité.

L'argent des sacrifices de culpabilité et des sacrifices d'expiation n'était point apporté dans la maison de l'Éternel: il était pour les sacrificateurs.

Public Domain