8474 occurences en traduction 1

'Les' dans la Bible

La flèche ne le met pas en fuite, Les pierres de la fronde sont pour lui du chaume.

Quel est celui qui a la folie d'obscurcir mes desseins? -Oui, j'ai parlé, sans les comprendre, De merveilles qui me dépassent et que je ne conçois pas.

Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or.

Pendant ses dernières années, Job reçut de l'Éternel plus de bénédictions qu'il n'en avait reçu dans les premières. Il posséda quatorze mille brebis, six mille chameaux, mille paires de boeufs, et mille ânesses.

Il n'y avait pas dans tout le pays d'aussi belles femmes que les filles de Job. Leur père leur accorda une part d'héritage parmi leurs frères.

Job vécut après cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'à la quatrième génération.

C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, Ni les pécheurs dans l'assemblée des justes;

Frappe-les comme des coupables, ô Dieu! Que leurs desseins amènent leur chute! Précipite-les au milieu de leurs péchés sans nombre! Car ils se révoltent contre toi.

Alors tous ceux qui se confient en toi se réjouiront, Ils auront de l'allégresse à toujours, et tu les protégeras; Tu seras un sujet de joie Pour ceux qui aiment ton nom.

Que l'assemblée des peuples t'environne! Monte au-dessus d'elle vers les lieux élevés!

L'Éternel juge les peuples: Rends-moi justice, ô Éternel! Selon mon droit et selon mon innocence!

Les brebis comme les boeufs, Et les animaux des champs,

Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.

Tu châties les nations, tu détruis le méchant, Tu effaces leur nom pour toujours et à perpétuité.

Afin que je publie toutes tes louanges, Dans les portes de la fille de Sion, Et que je me réjouisse de ton salut.

Lève-toi, ô Éternel! Que l'homme ne triomphe pas! Que les nations soient jugées devant ta face!

Frappe-les d'épouvante, ô Éternel! Que les peuples sachent qu'ils sont des hommes! -Pause.

Il se courbe, il se baisse, Et les misérables tombent dans ses griffes.

Car voici, les méchants bandent l'arc, Ils ajustent leur flèche sur la corde, Pour tirer dans l'ombre sur ceux dont le coeur est droit.

Que l'Éternel extermine toutes les lèvres flatteuses, La langue qui discourt avec arrogance,

Les méchants se promènent de toutes parts, Quand la bassesse règne parmi les fils de l'homme.

L'Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l'homme, Pour voir s'il y a quelqu'un qui soit intelligent, Qui cherche Dieu.

Oh! qui fera partir de Sion la délivrance d'Israël? Quand l'Éternel ramènera les captifs de son peuple, Jacob sera dans l'allégresse, Israël se réjouira.

On multiplie les idoles, on court après les dieux étrangers: Je ne répands pas leurs libations de sang, Je ne mets pas leurs noms sur mes lèvres.

Signale ta bonté, toi qui sauves ceux qui cherchent un refuge, Et qui par ta droite les délivres de leurs adversaires!

Contre les méchants qui me persécutent, Contre mes ennemis acharnés qui m'enveloppent.

Les liens du sépulcre m'avaient entouré, Les filets de la mort m'avaient surpris.

La terre fut ébranlée et trembla, Les fondements des montagnes frémirent, Et ils furent ébranlés, parce qu'il était irrité.

Il abaissa les cieux, et il descendit: Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds.

De la splendeur qui le précédait s'échappaient les nuées, Lançant de la grêle et des charbons de feu.

L'Éternel tonna dans les cieux, Le Très Haut fit retentir sa voix, Avec la grêle et les charbons de feu.

Il lança ses flèches et dispersa mes ennemis, Il multiplia les coups de la foudre et les mit en déroute.

Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel! Par le bruit du souffle de tes narines.

Car j'ai observé les voies de l'Éternel, Et je n'ai point été coupable envers mon Dieu.

Je poursuis mes ennemis, je les atteins, Et je ne reviens pas avant de les avoir anéantis.

Je les brise, et ils ne peuvent se relever; Ils tombent sous mes pieds.

Ils crient, et personne pour les sauver! Ils crient à l'Éternel, et il ne leur répond pas!

Je les broie comme la poussière qu'emporte le vent, Je les foule comme la boue des rues.

Le Dieu qui est mon vengeur, Qui m'assujettit les peuples,

Car tu l'as prévenu par les bénédictions de ta grâce, Tu as mis sur sa tête une couronne d'or pur.

Tu les rendras tels qu'une fournaise ardente, Le jour où tu te montreras; L'Éternel les anéantira dans sa colère, Et le feu les dévorera.

En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais.

Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.

Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi; Devant lui s'inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie.

Portes, élevez vos linteaux; Élevez-les, portes éternelles! Que le roi de gloire fasse son entrée! -

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