8474 occurences en traduction 1

'Les' dans la Bible

Car soudain leur ruine surgira, Et qui connaît les châtiments des uns et des autres?

Voici encore ce qui vient des sages: Il n'est pas bon, dans les jugements, d'avoir égard aux personnes.

Celui qui dit au méchant: Tu es juste! Les peuples le maudissent, les nations le maudissent.

Et voici, les épines y croissaient partout, Les ronces en couvraient la face, Et le mur de pierres était écroulé.

Les cieux dans leur hauteur, la terre dans sa profondeur, Et le coeur des rois, sont impénétrables.

Il se coupe les pieds, il boit l'injustice, Celui qui donne des messages à un insensé.

Comme les jambes du boiteux sont faibles, Ainsi est une sentence dans la bouche des insensés.

Comme un archer qui blesse tout le monde, Ainsi est celui qui prend à gage les insensés et les premiers venus.

Les paroles du rapporteur sont comme des friandises, Elles descendent jusqu'au fond des entrailles.

Le foin s'enlève, la verdure paraît, Et les herbes des montagnes sont recueillies.

Les agneaux sont pour te vêtir, Et les boucs pour payer le champ;

Quand un pays est en révolte, les chefs sont nombreux; Mais avec un homme qui a de l'intelligence et de la science, Le règne se prolonge.

Un homme pauvre qui opprime les misérables Est une pluie violente qui fait manquer le pain.

Les hommes livrés au mal ne comprennent pas ce qui est juste, Mais ceux qui cherchent l'Éternel comprennent tout.

Celui qui égare les hommes droits dans la mauvaise voie Tombe dans la fosse qu'il a creusée; Mais les hommes intègres héritent le bonheur.

Quand les justes triomphent, c'est une grande gloire; Quand les méchants s'élèvent, chacun se cache.

Un prince sans intelligence multiplie les actes d'oppression, Mais celui qui est ennemi de la cupidité prolonge ses jours.

Quand les méchants s'élèvent, chacun se cache; Et quand ils périssent, les justes se multiplient.

Les hommes de sang haïssent l'homme intègre, Mais les hommes droits protègent sa vie.

Le pauvre et l'oppresseur se rencontrent; C'est l'Éternel qui éclaire les yeux de l'un et de l'autre.

Quand les méchants se multiplient, le péché s'accroît; Mais les justes contempleront leur chute.

Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?

Je te demande deux choses: Ne me les refuse pas, avant que je meure!

Il est une race dont les yeux sont hautains, Et les paupières élevées.

Il est une race dont les dents sont des glaives Et les mâchoires des couteaux, Pour dévorer le malheureux sur la terre Et les indigents parmi les hommes.

Les sauterelles n'ont point de roi, Et elles sortent toutes par divisions;

De peur qu'en buvant ils n'oublient la loi, Et ne méconnaissent les droits de tous les malheureux.

Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.

Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.

J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.

Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m'attacher à la folie jusqu'à ce que je visse ce qu'il est bon pour les fils de l'homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.

je me créai des étangs, pour arroser la forêt où croissaient les arbres.

Je m'amassai de l'argent et de l'or, et les richesses des rois et des provinces. Je me procurai des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils de l'homme, des femmes en grand nombre.

Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue.

Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil.

Et j'ai vu que la sagesse a de l'avantage sur la folie, comme la lumière a de l'avantage sur les ténèbres;

le sage a ses yeux à la tête, et l'insensé marche dans les ténèbres. Mais j'ai reconnu aussi qu'ils ont l'un et l'autre un même sort.

Car la mémoire du sage n'est pas plus éternelle que celle de l'insensé, puisque déjà les jours qui suivent, tout est oublié. Eh quoi! le sage meurt aussi bien que l'insensé!

J'ai dit en mon coeur, au sujet des fils de l'homme, que Dieu les éprouverait, et qu'eux-mêmes verraient qu'ils ne sont que des bêtes.

J'ai considéré ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et personne qui les console! ils sont en butte à la violence de leurs oppresseurs, et personne qui les console!

Et j'ai trouvé les morts qui sont déjà morts plus heureux que les vivants qui sont encore vivants,

et plus heureux que les uns et les autres celui qui n'a point encore existé et qui n'a pas vu les mauvaises actions qui se commettent sous le soleil.

L'insensé se croise les mains, et mange sa propre chair.

Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux peuvent lui résister; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement.

J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil entourer l'enfant qui devait succéder au roi et régner à sa place.

Il est un mal grave que j'ai vu sous le soleil: des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède.

De plus, toute sa vie il mange dans les ténèbres, et il a beaucoup de chagrin, de maux et d'irritation.

Il est un mal que j'ai vu sous le soleil, et qui est fréquent parmi les hommes.

Car il est venu en vain, il s'en va dans les ténèbres, et son nom reste couvert de ténèbres;

Ce que les yeux voient est préférable à l'agitation des désirs: c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.

Ne dis pas: D'où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes cela.

J'ai vu tout cela pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge son existence dans sa méchanceté.

Ne fais donc pas attention à toutes les paroles qu'on dit, de peur que tu n'entendes ton serviteur te maudire;

car ton coeur a senti bien des fois que tu as toi-même maudit les autres.

Et j'ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le coeur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle.

Voici ce que j'ai trouvé, dit l'Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison;

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