'Plus' dans la Bible

Combien qui disent à mon sujet: Plus de salut pour lui auprès de Dieu! -Pause.

Tu mets dans mon coeur plus de joie qu'ils n'en ont Quand abondent leur froment et leur moût.

Car celui qui meurt n'a plus ton souvenir; Qui te louera dans le séjour des morts?

Plus d'ennemis! Des ruines éternelles! Des villes que tu as renversées! Leur souvenir est anéanti.

Il me délivra de mon adversaire puissant, De mes ennemis qui étaient plus forts que moi.

Ils sont plus précieux que l'or, que beaucoup d'or fin; Ils sont plus doux que le miel, que celui qui coule des rayons.

Car nuit et jour ta main s'appesantissait sur moi, Ma vigueur n'était plus que sécheresse, comme celle de l'été. -Pause.

Tous mes os diront: Éternel! qui peut, comme toi, Délivrer le malheureux d'un plus fort que lui, Le malheureux et le pauvre de celui qui le dépouille?

Encore un peu de temps, et le méchant n'est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.

Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l'Éternel, comme les plus beaux pâturages; Ils s'évanouissent, ils s'évanouissent en fumée.

Il a passé, et voici, il n'est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.

Il n'y a rien de sain dans ma chair à cause de ta colère, Il n'y a plus de vigueur dans mes os à cause de mon péché.

Mon coeur est agité, ma force m'abandonne, Et la lumière de mes yeux n'est plus même avec moi.

Tu châties l'homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu'il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle. -Pause.

Détourne de moi le regard, et laisse-moi respirer, Avant que je m'en aille et que ne sois plus!

Car des maux sans nombre m'environnent; Les châtiments de mes iniquités m'atteignent, Et je ne puis en supporter la vue; Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Et mon courage m'abandonne.

Cependant tu nous repousses, tu nous couvres de honte, Tu ne sors plus avec nos armées;

Tu es le plus beau des fils de l'homme, La grâce est répandue sur tes lèvres: C'est pourquoi Dieu t'a béni pour toujours.

Et, avec des présents, la fille de Tyr, Les plus riches du peuple rechercheront ta faveur.

Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur; Lave-moi, et je serai plus blanc que la neige.

Je m'échapperais en toute hâte, Plus rapide que le vent impétueux, que la tempête.

Sa bouche est plus douce que la crème, Mais la guerre est dans son coeur; Ses paroles sont plus onctueuses que l'huile, Mais ce sont des épées nues.

Qui n'entend pas la voix des enchanteurs, Du magicien le plus habile.

Détruis-les, dans ta fureur, détruis-les, et qu'ils ne soient plus! Qu'ils sachent que Dieu règne sur Jacob, Jusqu'aux extrémités de la terre! -Pause.

N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?

Oui, vanité, les fils de l'homme! Mensonge, les fils de l'homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu'un souffle.

Là sont Benjamin, le plus jeune, qui domine sur eux, Les chefs de Juda et leur troupe, Les chefs de Zabulon, les chefs de Nephthali.

Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Ceux qui me haïssent sans cause; Ils sont puissants, ceux qui veulent me perdre, Qui sont à tort mes ennemis. Ce que je n'ai pas dérobé, il faut que je le restitue.

Retire-moi de la boue, et que je n'enfonce plus! Que je sois délivré de mes ennemis et du gouffre!

Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi!

Que leurs yeux s'obscurcissent et ne voient plus, Et fais continuellement chanceler leurs reins!

Que leur demeure soit dévastée, Qu'il n'y ait plus d'habitants dans leurs tentes!

Cela est agréable à l'Éternel, plus qu'un taureau Avec des cornes et des sabots.

Et moi, j'espérerai toujours, Je te louerai de plus en plus.

En ses jours le juste fleurira, Et la paix sera grande jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de lune.

Nous ne voyons plus nos signes; Il n'y a plus de prophète, Et personne parmi nous qui sache jusqu'à quand...

Tu es plus majestueux, plus puissant Que les montagnes des ravisseurs.

Le Seigneur rejettera-t-il pour toujours? Ne sera-t-il plus favorable?

Je dis: Ce qui fait ma souffrance, C'est que la droite du Très Haut n'est plus la même...

Tu te frayas un chemin par la mer, Un sentier par les grandes eaux, Et tes traces ne furent plus reconnues.

Lorsque la colère de Dieu s'éleva contre eux; Il frappa de mort les plus vigoureux, Il abattit les jeunes hommes d'Israël.

Ne te souviens plus de nos iniquités passées! Que tes compassions viennent en hâte au-devant de nous! Car nous sommes bien malheureux.

Et nous ne nous éloignerons plus de toi. Fais-nous revivre, et nous invoquerons ton nom.

Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, Et qu'on ne se souvienne plus du nom d'Israël!

L'Éternel aime les portes de Sion Plus que toutes les demeures de Jacob.

Je suis mis au rang de ceux qui descendent dans la fosse, Je suis comme un homme qui n'a plus de force.

Je suis étendu parmi les morts, Semblable à ceux qui sont tués et couchés dans le sépulcre, A ceux dont tu n'as plus le souvenir, Et qui sont séparés de ta main.

Et moi, je ferai de lui le premier-né, Le plus élevé des rois de la terre.

Car mille ans sont, à tes yeux, Comme le jour d'hier, quand il n'est plus, Et comme une veille de la nuit.

Les jours de nos années s'élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l'orgueil qu'ils en tirent n'est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons.

Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L'Éternel est puissant dans les lieux célestes.

Je n'ai plus de sommeil, et je suis Comme l'oiseau solitaire sur un toit.

Lorsqu'un vent passe sur elle, elle n'est plus, Et le lieu qu'elle occupait ne la reconnaît plus.

Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu'elles ne reviennent plus couvrir la terre.

Le vin qui réjouit le coeur de l'homme, Et fait plus que l'huile resplendir son visage, Et le pain qui soutient le coeur de l'homme.

Que les pécheurs disparaissent de la terre, Et que les méchants ne soient plus! Mon âme, bénis l'Éternel! Louez l'Éternel! 

Il rendit son peuple très fécond, Et plus puissant que ses adversaires.

N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?

Tes commandements me rendent plus sage que mes ennemis, Car je les ai toujours avec moi.

Je suis plus instruit que tous mes maîtres, Car tes préceptes sont l'objet de ma méditation.

J'ai plus d'intelligence que les vieillards, Car j'observe tes ordonnances.

Que tes paroles sont douces à mon palais, Plus que le miel à ma bouche!

C'est pourquoi j'aime tes commandements, Plus que l'or et que l'or fin;

Tu fondes tes préceptes sur la justice Et sur la plus grande fidélité.

Mon âme compte sur le Seigneur, Plus que les gardes ne comptent sur le matin, Que les gardes ne comptent sur le matin.

Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m'éveille, et je suis encore avec toi.

Que des charbons ardents soient jetés sur eux! Qu'il les précipite dans le feu, Dans des abîmes, d'où ils ne se relèvent plus!

Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.