'Eaux' dans la Bible
Les fleuves de Damas, l'Abana et le Parpar, ne valent-ils pas mieux que toutes les eaux d'Israël? Ne pourrais-je pas m'y laver et devenir pur? Et il s'en retournait et partait avec fureur.
J'ai creusé, et j'ai bu des eaux étrangères, Et je tarirai avec la plante de mes pieds Tous les fleuves de l'Égypte.
Le reste des actions d'Ézéchias, tous ses exploits, et comment il fit l'étang et l'aqueduc, et amena les eaux dans la ville, cela n'est-il pas écrit dans le livre des Chroniques des rois de Juda?
Ils montèrent à Baal Peratsim, où David les battit. Puis il dit: Dieu a dispersé mes ennemis par ma main, comme des eaux qui s'écoulent. C'est pourquoi l'on a donné à ce lieu le nom de Baal Peratsim.
Une foule de gens se rassemblèrent, et ils bouchèrent toutes les sources et le ruisseau qui coule au milieu de la contrée. Pourquoi, disaient-ils, les rois d'Assyrie trouveraient-ils à leur arrivée des eaux en abondance?
Ce fut aussi lui, Ézéchias, qui boucha l'issue supérieure des eaux de Guihon, et les conduisit en bas vers l'occident de la cité de David. Ézéchias réussit dans toutes ses entreprises.
Les Néthiniens demeurant sur la colline travaillèrent jusque vis-à-vis de la porte des eaux, à l'orient, et de la tour en saillie.
Alors tout le peuple s'assembla comme un seul homme sur la place qui est devant la porte des eaux. Ils dirent à Esdras, le scribe, d'apporter le livre de la loi de Moïse, prescrite par l'Éternel à Israël.
Esdras lut dans le livre depuis le matin jusqu'au milieu du jour, sur la place qui est devant la porte des eaux, en présence des hommes et des femmes et de ceux qui étaient capables de l'entendre. Tout le peuple fut attentif à la lecture du livre de la loi.
Alors le peuple alla chercher des rameaux, et ils se firent des tentes sur le toit de leurs maisons, dans leurs cours, dans les parvis de la maison de Dieu, sur la place de la porte des eaux et sur la place de la porte d'Éphraïm.
Tu fendis la mer devant eux, et ils passèrent à sec au milieu de la mer; mais tu précipitas dans l'abîme, comme une pierre au fond des eaux, ceux qui marchaient à leur poursuite.
A la porte de la source, ils montèrent vis-à-vis d'eux les degrés de la cité de David par la montée de la muraille, au-dessus de la maison de David, jusqu'à la porte des eaux, vers l'orient.
Tu oublieras tes souffrances, Tu t'en souviendras comme des eaux écoulées.
Il retient les eaux et tout se dessèche; Il les lâche, et la terre en est dévastée.
Les eaux des lacs s'évanouissent, Les fleuves tarissent et se dessèchent;
La pierre est broyée par les eaux, Et la terre emportée par leur courant; Ainsi tu détruis l'espérance de l'homme.
Ne vois-tu donc pas ces ténèbres, Ces eaux débordées qui t'envahissent?
Eh quoi! l'impie est d'un poids léger sur la face des eaux, Il n'a sur la terre qu'une part maudite, Il ne prend jamais le chemin des vignes!
Comme la sécheresse et la chaleur absorbent les eaux de la neige, Ainsi le séjour des morts engloutit ceux qui pèchent!
Devant Dieu les ombres tremblent Au-dessous des eaux et de leurs habitants;
Il renferme les eaux dans ses nuages, Et les nuages n'éclatent pas sous leur poids.
Il a tracé un cercle à la surface des eaux, Comme limite entre la lumière et les ténèbres.
Les terreurs le surprennent comme des eaux; Un tourbillon l'enlève au milieu de la nuit.
Il arrête l'écoulement des eaux, Et il produit à la lumière ce qui est caché.
Quand il régla le poids du vent, Et qu'il fixa la mesure des eaux,
Par son souffle Dieu produit la glace, Il réduit l'espace où se répandaient les eaux.
Pour que les eaux se cachent comme une pierre, Et que la surface de l'abîme soit enchaînée?
Élèves-tu la voix jusqu'aux nuées, Pour appeler à toi des torrents d'eaux?
Il faisait des ténèbres sa retraite, sa tente autour de lui, Il était enveloppé des eaux obscures et de sombres nuages.
Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel! Par le bruit du souffle de tes narines.
Il étendit sa main d'en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux;
Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.
La voix de l'Éternel retentit sur les eaux, Le Dieu de gloire fait gronder le tonnerre; L'Éternel est sur les grandes eaux.
Qu'ainsi tout homme pieux te prie au temps convenable! Si de grandes eaux débordent, elles ne l'atteindront nullement.
Il amoncelle en un tas les eaux de la mer, Il met dans des réservoirs les abîmes.
Qu'ils se dissipent comme des eaux qui s'écoulent! Qu'ils ne lancent que des traits émoussés!
Sauve-moi, ô Dieu! Car les eaux menacent ma vie.
J'enfonce dans la boue, sans pouvoir me tenir; Je suis tombé dans un gouffre, et les eaux m'inondent.
Tu as fendu la mer par ta puissance, Tu as brisé les têtes des monstres sur les eaux;
Les eaux t'ont vu, ô Dieu! Les eaux t'ont vu, elles ont tremblé; Les abîmes se sont émus.
Tu te frayas un chemin par la mer, Un sentier par les grandes eaux, Et tes traces ne furent plus reconnues.
Il fendit la mer et leur ouvrit un passage, Il fit dresser les eaux comme une muraille.
Du rocher il fit jaillir des sources, Et couler des eaux comme des fleuves.
Voici, il a frappé le rocher, et des eaux ont coulé, Et des torrents se sont répandus; Pourra-t-il aussi donner du pain, Ou fournir de la viande à son peuple?
Il changea leurs fleuves en sang, Et ils ne purent en boire les eaux.
Tu as crié dans la détresse, et je t'ai délivré; Je t'ai répondu dans la retraite du tonnerre; Je t'ai éprouvé près des eaux de Meriba. Pause.
Elles m'environnent tout le jour comme des eaux, Elles m'enveloppent toutes à la fois.
Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L'Éternel est puissant dans les lieux célestes.
Il forme avec les eaux le faîte de sa demeure; Il prend les nuées pour son char, Il s'avance sur les ailes du vent.
Tu l'avais couverte de l'abîme comme d'un vêtement, Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes;
Tu as posé une limite que les eaux ne doivent point franchir, Afin qu'elles ne reviennent plus couvrir la terre.
Il changea leurs eaux en sang, Et fit périr leurs poissons.
Il ouvrit le rocher, et des eaux coulèrent; Elles se répandirent comme un fleuve dans les lieux arides.
Les eaux couvrirent leurs adversaires: Il n'en resta pas un seul.
Ils irritèrent l'Éternel près des eaux de Meriba; Et Moïse fut puni à cause d'eux,
Ceux qui étaient descendus sur la mer dans des navires, Et qui travaillaient sur les grandes eaux,
Il change les fleuves en désert, Et les sources d'eaux en terre desséchée,
Il change le désert en étang, Et la terre aride en sources d'eaux,
Qui change le rocher en étang, Le roc en source d'eaux.
Mes yeux répandent des torrents d'eaux, Parce qu'on n'observe point ta loi.
Alors les eaux nous auraient submergés, Les torrents auraient passé sur notre âme;
Celui qui a étendu la terre sur les eaux, Car sa miséricorde dure à toujours!
Étends tes mains d'en haut; Délivre-moi et sauve-moi des grandes eaux, De la main des fils de l'étranger,
Il envoie sa parole, et il les fond; Il fait souffler son vent, et les eaux coulent.
Louez-le, cieux des cieux, Et vous, eaux qui êtes au-dessus des cieux!
Bois les eaux de ta citerne, Les eaux qui sortent de ton puits.
Je fus enfantée quand il n'y avait point d'abîmes, Point de sources chargées d'eaux;
Lorsqu'il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n'en franchissent pas les bords, Lorsqu'il posa les fondements de la terre,
Les eaux dérobées sont douces, Et le pain du mystère est agréable!
Les paroles de la bouche d'un homme sont des eaux profondes; La source de la sagesse est un torrent qui jaillit.
Les desseins dans le coeur de l'homme sont des eaux profondes, Mais l'homme intelligent sait y puiser.
Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?
Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras;
Une fontaine des jardins, Une source d'eaux vives, Des ruisseaux du Liban.
Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris.
Parce que ce peuple a méprisé les eaux de Siloé qui coulent doucement Et qu'il s'est réjoui au sujet de Retsin et du fils de Remalia, Voici, le Seigneur va faire monter
contre eux Les puissantes et grandes eaux du fleuve (Le roi d'Assyrie et toute sa gloire); Il s'élèvera partout au-dessus de son lit, Et il se répandra sur toutes ses rives;
Il ne se fera ni tort ni dommage Sur toute ma montagne sainte; Car la terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, Comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent.
Car les eaux de Nimrim sont ravagées, L'herbe est desséchée, le gazon est détruit, La verdure a disparu.
Les eaux de Dimon sont pleines de sang, Et j'enverrai sur Dimon de nouveaux malheurs, Un lion contre les réchappés de Moab, Contre le reste du pays.
Oh! quelle rumeur de peuples nombreux! Ils mugissent comme mugit la mer. Quel tumulte de nations! Elles grondent comme grondent les eaux puissantes.
Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.
Toi qui envoies sur mer des messagers, Dans des navires de jonc voguant à la surface des eaux! Allez, messagers rapides, vers la nation forte et vigoureuse, Vers ce peuple redoutable depuis qu'il existe, Nation puissante et qui écrase tout, Et dont le pays est coupé par des fleuves.
Les eaux de la mer tariront, Le fleuve deviendra sec et aride;
Les pêcheurs gémiront, Tous ceux qui jettent l'hameçon dans le fleuve se lamenteront, Et ceux qui étendent des filets sur les eaux seront désolés.
Vous regardez les brèches nombreuses faites à la ville de David, Et vous retenez les eaux de l'étang inférieur.
Vous faites un réservoir entre les deux murs, Pour les eaux de l'ancien étang. Mais vous ne regardez pas vers celui qui a voulu ces choses, Vous ne voyez pas celui qui les a préparées de loin.
A travers les vastes eaux, le blé du Nil, La moisson du fleuve, était pour elle un revenu; Elle était le marché des nations.
Voici venir, de la part du Seigneur, un homme fort et puissant, Comme un orage de grêle, un ouragan destructeur, Comme une tempête qui précipite des torrents d'eaux: Il la fait tomber en terre avec violence.
Je ferai de la droiture une règle, Et de la justice un niveau; Et la grêle emportera le refuge de la fausseté, Et les eaux inonderont l'abri du mensonge.
Heureux vous qui partout semez le long des eaux, Et qui laissez sans entraves le pied du boeuf et de l'âne!
Alors le boiteux sautera comme un cerf, Et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert, Et des ruisseaux dans la solitude;
Le mirage se changera en étang Et la terre desséchée en sources d'eaux; Dans le repaire qui servait de gîte aux chacals, Croîtront des roseaux et des joncs.
J'ai ouvert des sources, et j'en ai bu les eaux, Et je tarirai avec la plante de mes pieds Tous les fleuves de l'Égypte.
Qui a mesuré les eaux dans le creux de sa main, Pris les dimensions des cieux avec la paume, Et ramassé la poussière de la terre dans un tiers de mesure? Qui a pesé les montagnes au crochet, Et les collines à la balance?
Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas.
Ainsi parle l'Éternel, Qui fraya dans la mer un chemin, Et dans les eaux puissantes un sentier,
Les bêtes des champs me glorifieront, Les chacals et les autruches, Parce que j'aurai mis des eaux dans le désert, Des fleuves dans la solitude, Pour abreuver mon peuple, mon élu.
Car je répandrai des eaux sur le sol altéré, Et des ruisseaux sur la terre desséchée; Je répandrai mon esprit sur ta race, Et ma bénédiction sur tes rejetons.
Écoutez ceci, maison de Jacob, Vous qui portez le nom d'Israël, Et qui êtes sortis des eaux de Juda; Vous qui jurez par le nom de l'Éternel, Et qui invoquez le Dieu d'Israël, Mais sans vérité ni droiture!
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