4181 occurences en traduction 1

'Ils' dans la Bible

Que ses enfants soient vagabonds et qu'ils mendient, Qu'ils cherchent du pain loin de leur demeure en ruines!

Qu'ils soient toujours présents devant l'Éternel, Et qu'il retranche de la terre leur mémoire,

Et qu'ils sachent que c'est ta main, Que c'est toi, Éternel, qui l'as fait!

Que mes adversaires revêtent l'ignominie, Qu'ils se couvrent de leur honte comme d'un manteau!

Qu'ils soient confondus, les orgueilleux qui m'oppriment sans cause! Moi, je médite sur tes ordonnances.

Qu'ils reviennent à moi, ceux qui te craignent, Et ceux qui connaissent tes préceptes!

Ils ont failli me terrasser et m'anéantir; Et moi, je n'abandonne point tes ordonnances.

Ils s'approchent, ceux qui poursuivent le crime, Ils s'éloignent de la loi.

Ils nous auraient engloutis tout vivants, Quand leur colère s'enflamma contre nous;

Cantique des degrés. Ils m'ont assez opprimé dès ma jeunesse, Qu'Israël le dise!

Des laboureurs ont labouré mon dos, Ils y ont tracé de longs sillons.

Qu'ils soient comme l'herbe des toits, Qui sèche avant qu'on l'arrache!

Ils leur ressemblent, ceux qui les fabriquent, Tous ceux qui se confient en elles.

Ils célébreront les voies de l'Éternel, Car la gloire de l'Éternel est grande.

Ils parlent de toi d'une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

Des orgueilleux me tendent un piège et des filets, Ils placent des rets le long du chemin, Ils me dressent des embûches. Pause.

Que des charbons ardents soient jetés sur eux! Qu'il les précipite dans le feu, Dans des abîmes, d'où ils ne se relèvent plus!

Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m'ont tendu un piège.

Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

Ils diront la gloire de ton règne, Et ils proclameront ta puissance,

Qu'ils louent le nom de l'Éternel! Car il a commandé, et ils ont été créés.

Qu'ils louent le nom de l'Éternel! Car son nom seul est élevé; Sa majesté est au-dessus de la terre et des cieux.

Que les fidèles triomphent dans la gloire, Qu'ils poussent des cris de joie sur leur couche!

S'ils disent: Viens avec nous! dressons des embûches, versons du sang, Tendons des pièges à celui qui se repose en vain sur son innocence,

Et eux, c'est contre leur propre sang qu'ils dressent des embûches, C'est à leur âme qu'ils tendent des pièges.

Parce qu'ils n'ont point aimé mes conseils, Et qu'ils ont dédaigné toutes mes réprimandes,

Qu'ils ne s'éloignent pas de tes yeux; Garde-les dans le fond de ton coeur;

Tes sources doivent-elles se répandre au dehors? Tes ruisseaux doivent ils couler sur les places publiques?

Ils te dirigeront dans ta marche, Ils te garderont sur ta couche, Ils te parleront à ton réveil.

Car elle a fait tomber beaucoup de victimes, Et ils sont nombreux, tous ceux qu'elle a tués.

Les lèvres justes gagnent la faveur des rois, Et ils aiment celui qui parle avec droiture.

Les présents sont une pierre précieuse aux yeux de qui en reçoit; De quelque côté qu'ils se tournes, ils ont du succès.

La violence des méchants les emporte, Parce qu'ils refusent de faire ce qui est juste.

Le sacrifice des méchants est quelque chose d'abominable; Combien plus quand ils l'offrent avec des pensées criminelles!

Quand les méchants s'élèvent, chacun se cache; Et quand ils périssent, les justes se multiplient.

De peur qu'en buvant ils n'oublient la loi, Et ne méconnaissent les droits de tous les malheureux.

Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

le sage a ses yeux à la tête, et l'insensé marche dans les ténèbres. Mais j'ai reconnu aussi qu'ils ont l'un et l'autre un même sort.

J'ai dit en mon coeur, au sujet des fils de l'homme, que Dieu les éprouverait, et qu'eux-mêmes verraient qu'ils ne sont que des bêtes.

Car le sort des fils de l'homme et celui de la bête sont pour eux un même sort; comme meurt l'un, ainsi meurt l'autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l'homme sur la bête est nulle; car tout est vanité.

J'ai considéré ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et personne qui les console! ils sont en butte à la violence de leurs oppresseurs, et personne qui les console!

Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever!

Prends garde à ton pied, lorsque tu entres dans la maison de Dieu; approche-toi pour écouter, plutôt que pour offrir le sacrifice des insensés, car ils ne savent pas qu'ils font mal.

Seulement, voici ce que j'ai trouvé, c'est que Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours.

Cependant, quoique le pécheur fasse cent fois le mal et qu'il y persévère longtemps, je sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu'ils ont de la crainte devant lui.

Ceci est un mal parmi tout ce qui se fait sous le soleil, c'est qu'il y a pour tous un même sort; aussi le coeur des fils de l'homme est-il plein de méchanceté, et la folie est dans leur coeur pendant leur vie; après quoi, ils vont chez les morts. Car, qui est excepté?

Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée.

Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil.

Quand les nuages sont pleins de pluie, ils la répandent sur la terre; et si un arbre tombe, au midi ou au nord, il reste à la place où il est tombé.

Ne prenez pas garde à mon teint noir: C'est le soleil qui m'a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi, Ils m'ont faite gardienne des vignes. Ma vigne, à moi, je ne l'ai pas gardée.

Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée; Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée; Ils m'ont enlevé mon voile, les gardes des murs.

Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad.

Cieux, écoutez! terre, prête l'oreille! Car l'Éternel parle. J'ai nourri et élevé des enfants, Mais ils se sont révoltés contre moi.

Malheur à la nation pécheresse, au peuple chargé d'iniquités, A la race des méchants, aux enfants corrompus! Ils ont abandonné l'Éternel, ils ont méprisé le Saint d'Israël. Ils se sont retirés en arrière...

Votre pays est dévasté, Vos villes sont consumées par le feu, Des étrangers dévorent vos campagnes sous vos yeux, Ils ravagent et détruisent, comme des barbares.

Je rétablirai tes juges tels qu'ils étaient autrefois, Et tes conseillers tels qu'ils étaient au commencement. Après cela, on t'appellera ville de la justice, Cité fidèle.

L'homme fort sera comme de l'étoupe, Et son oeuvre comme une étincelle; Ils brûleront l'un et l'autre ensemble, Et il n'y aura personne pour éteindre. 

Il sera le juge des nations, L'arbitre d'un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, Et l'on n'apprendra plus la guerre.

Car tu as abandonné ton peuple, la maison de Jacob, Parce qu'ils sont pleins de l'Orient, Et adonnés à la magie comme les Philistins, Et parce qu'ils s'allient aux fils des étrangers. Le pays est rempli d'argent et d'or,

Le pays est rempli d'idoles; Ils se prosternent devant l'ouvrage de leurs mains, Devant ce que leurs doigts ont fabriqué.

En ce jour, les hommes jetteront Leurs idoles d'argent et leurs idoles d'or, Qu'ils s'étaient faites pour les adorer, Aux rats et aux chauves-souris;

Et ils entreront dans les fentes des rochers Et dans les creux des pierres, Pour éviter la terreur de l'Éternel et l'éclat de sa majesté, Quand il se lèvera pour effrayer la terre.

L'aspect de leur visage témoigne contre eux, Et, comme Sodome, ils publient leur crime, sans dissimuler. Malheur à leur âme! Car ils se préparent des maux.

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