89 occurences en traduction 1

'Ils' dans la Bible

Ses fils allaient les uns chez les autres et donnaient tour à tour un festin, et ils invitaient leurs trois soeurs à manger et à boire avec eux.

Et quand les jours de festin étaient passés, Job appelait et sanctifiait ses fils, puis il se levait de bon matin et offrait pour chacun d'eux un holocauste; car Job disait: Peut-être mes fils ont-ils péché et ont-ils offensé Dieu dans leur coeur. C'est ainsi que Job avait coutume d'agir.

et voici, un grand vent est venu de l'autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison; elle s'est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.

Trois amis de Job, Éliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler!

Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête.

Et ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande.

Les captifs sont tous en paix, Ils n'entendent pas la voix de l'oppresseur;

Qui seraient transportés de joie Et saisis d'allégresse, s'ils trouvaient le tombeau?

Ils périssent par le souffle de Dieu, Ils sont consumés par le vent de sa colère,

Du matin au soir ils sont brisés, Ils périssent pour toujours, et nul n'y prend garde;

Le fil de leur vie est coupé, Ils meurent, et ils n'ont pas acquis la sagesse.

Plus de prospérité pour ses fils; Ils sont foulés à la porte, et personne qui les délivre!

Ils rencontrent les ténèbres au milieu du jour, Ils tâtonnent en plein midi comme dans la nuit.

Viennent les chaleurs, et ils tarissent, Les feux du soleil, et leur lit demeure à sec.

Ils sont honteux d'avoir eu confiance, Ils restent confondus quand ils arrivent.

Ils t'instruiront, ils te parleront, Ils tireront de leur coeur ces sentences:

Ils passent comme les navires de jonc, Comme l'aigle qui fond sur sa proie.

Tes jours sont-ils comme les jours de l'homme, Et tes années comme ses années,

Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre? Qu'il me laisse, Qu'il se retire de moi, et que je respire un peu,

Tes vains propos feront-ils taire les gens? Te moqueras-tu, sans que personne te confonde?

Ils tâtonnent dans les ténèbres, et ne voient pas clair; Il les fait errer comme des gens ivres.

Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.

Ce que les sages ont fait connaître, Ce qu'ils ont révélé, l'ayant appris de leurs pères.

Ils ouvrent la bouche pour me dévorer, Ils m'insultent et me frappent les joues, Ils s'acharnent tous après moi.

Et ils prétendent que la nuit c'est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là!

Les revenus de sa maison seront emportés, Ils disparaîtront au jour de la colère de Dieu.

Ils laissent courir leurs enfants comme des brebis, Et les enfants prennent leurs ébats.

Ils chantent au son du tambourin et de la harpe, Ils se réjouissent au son du chalumeau.

Ils passent leurs jours dans le bonheur, Et ils descendent en un instant au séjour des morts.

Quoi donc! ne sont-ils pas en possession du bonheur? -Loin de moi le conseil des méchants!

Qu'ils soient comme la paille emportée par le vent, Comme la balle enlevée par le tourbillon?

Mais quoi! n'avez-vous point interrogé les voyageurs, Et voulez-vous méconnaître ce qu'ils prouvent?

Ils ont été emportés avant le temps, Ils ont eu la durée d'un torrent qui s'écoule.

Ils disaient à Dieu: Retire-toi de nous; Que peut faire pour nous le Tout Puissant?

Pourquoi le Tout Puissant ne met-il pas des temps en réserve, Et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?

Et voici, comme les ânes sauvages du désert, Ils sortent le matin pour chercher de la nourriture, Ils n'ont que le désert pour trouver le pain de leurs enfants;

Ils coupent le fourrage qui reste dans les champs, Ils grappillent dans la vigne de l'impie;

Ils passent la nuit dans la nudité, sans vêtement, Sans couverture contre le froid;

Ils sont percés par la pluie des montagnes, Et ils embrassent les rochers comme unique refuge.

Ils vont tout nus, sans vêtement, Ils sont affamés, et ils portent les gerbes;

Dans les enclos de l'impie ils font de l'huile, Ils foulent le pressoir, et ils ont soif;

D'autres sont ennemis de la lumière, Ils n'en connaissent pas les voies, Ils n'en pratiquent pas les sentiers.

La nuit ils forcent les maisons, Le jour ils se tiennent enfermés; Ils ne connaissent pas la lumière.

Pour eux, le matin c'est l'ombre de la mort, Ils en éprouvent toutes les terreurs.

Non! Dieu par sa force prolonge les jours des violents, Et les voilà debout quand ils désespéraient de la vie;

Ils se sont élevés; et en un instant ils ne sont plus, Ils tombent, ils meurent comme tous les hommes, Ils sont coupés comme la tête des épis.

Ils comptaient sur moi comme sur la pluie, Ils ouvraient la bouche comme pour une pluie du printemps.

Je leur souriais quand ils perdaient courage, Et l'on ne pouvait chasser la sérénité de mon front.

Mais à quoi me servirait la force de leurs mains? Ils sont incapables d'atteindre la vieillesse.

Desséchés par la misère et la faim, Ils fuient dans les lieux arides, Depuis longtemps abandonnés et déserts;

Ils arrachent près des arbrisseaux les herbes sauvages, Et ils n'ont pour pain que la racine des genêts.

Ils habitent dans d'affreuses vallées, Dans les cavernes de la terre et dans les rochers;

Ils hurlent parmi les buissons, Ils se rassemblent sous les ronces.

Ils n'ont plus de retenue et ils m'humilient, Ils rejettent tout frein devant moi.

Ces misérables se lèvent à ma droite et me poussent les pieds, Ils se fraient contre moi des sentiers pour ma ruine;

Ils détruisent mon propre sentier et travaillent à ma perte, Eux à qui personne ne viendrait en aide;

Ils arrivent comme par une large brèche, Ils se précipitent sous les craquements.

Si j'ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante Lorsqu'ils étaient en contestation avec moi,

Et sa colère s'enflamma contre ses trois amis, parce qu'ils ne trouvaient rien à répondre et que néanmoins ils condamnaient Job.

Comme ils étaient plus âgés que lui, Élihu avait attendu jusqu'à ce moment pour parler à Job.

Ils ont peur, ils ne répondent plus! Ils ont la parole coupée!

J'ai attendu qu'ils eussent fini leurs discours, Qu'ils s'arrêtassent et ne sussent que répliquer.

Il parle par des songes, par des visions nocturnes, Quand les hommes sont livrés à un profond sommeil, Quand ils sont endormis sur leur couche.

En un instant, ils perdent la vie; Au milieu de la nuit, un peuple chancelle et périt; Le puissant disparaît, sans la main d'aucun homme.

Car il connaît leurs oeuvres. Ils les renverse de nuit, et ils sont écrasés;

Il ne détourne pas les yeux de dessus les justes, Il les place sur le trône avec les rois, Il les y fait asseoir pour toujours, afin qu'ils soient élevés.

Viennent-ils à tomber dans les chaînes, Sont-ils pris dans les liens de l'adversité,

S'ils n'écoutent pas, ils périssent par le glaive, Ils expirent dans leur aveuglement.

Ils perdent la vie dans leur jeunesse, Ils meurent comme les débauchés.

Tes cris suffiraient-ils pour te sortir d'angoisse, Et même toutes les forces que tu pourrais déployer?

Les nuages la laissent couler, Ils la répandent sur la foule des hommes.

Lances-tu les éclairs? Partent-ils? Te disent-ils: Nous voici?

Quand ils sont couchés dans leur tanière, Quand ils sont en embuscade dans leur repaire?

Leurs petits prennent de la vigueur et grandissent en plein air, Ils s'éloignent et ne reviennent plus auprès d'elles.

Elle est dure envers ses petits comme s'ils n'étaient point à elle; Elle ne s'inquiète pas de l'inutilité de son enfantement.

Les pêcheurs en trafiquent-ils? Le partagent-ils entre les marchands?

Ils se serrent l'un contre l'autre, Et l'air ne passerait pas entre eux;

Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or.

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