7671 occurences en traduction 1

'Qui' dans la Bible

Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l'on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l'Inde à l'Éthiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue.

Par ces lettres, le roi donnait aux Juifs, en quelque ville qu'ils fussent, la permission de se rassembler et de défendre leur vie, de détruire, de tuer et de faire périr, avec leurs petits enfants et leurs femmes, tous ceux de chaque peuple et de chaque province qui prendraient les armes pour les attaquer, et de livrer leurs biens au pillage,

et cela en un seul jour, dans toutes les provinces du roi Assuérus, le treizième du douzième mois, qui est le mois d'Adar.

Ces lettres renfermaient une copie de l'édit qui devait être publié dans chaque province, et informaient tous les peuples que les Juifs se tiendraient prêts pour ce jour-là à se venger de leurs ennemis.

Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s'exécuter l'ordre et l'édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis.

Les Juifs se rassemblèrent dans leurs villes, dans toutes les provinces du roi Assuérus, pour mettre la main sur ceux qui cherchaient leur perte; et personne ne put leur résister, car la crainte qu'on avait d'eux s'était emparée de tous les peuples.

Les Juifs frappèrent à coups d'épée tous leurs ennemis, ils les tuèrent et les firent périr; ils traitèrent comme il leur plut ceux qui leur étaient hostiles.

Ce jour-là, le nombre de ceux qui avaient été tués dans Suse, la capitale, parvint à la connaissance du roi.

Esther répondit: Si le roi le trouve bon, qu'il soit permis aux Juifs qui sont à Suse d'agir encore demain selon le décret d'aujourd'hui, et que l'on pende au bois les dix fils d'Haman.

et les Juifs qui se trouvaient à Suse se rassemblèrent de nouveau le quatorzième jour du mois d'Adar et tuèrent dans Suse trois cents hommes. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

Les autres Juifs qui étaient dans les provinces du roi se rassemblèrent et défendirent leur vie; ils se procurèrent du repos en se délivrant de leurs ennemis, et ils tuèrent soixante-quinze mille de ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

Ceux qui se trouvaient à Suse, s'étant rassemblés le treizième jour et le quatorzième jour, se reposèrent le quinzième, et ils en firent un jour de festin et de joie.

C'est pourquoi les Juifs de la campagne, qui habitent des villes sans murailles, font du quatorzième jour du mois d'Adar un jour de joie, de festin et de fête, où l'on s'envoie des portions les uns aux autres.

Mardochée écrivit ces choses, et il envoya des lettres à tous les Juifs qui étaient dans toutes les provinces du roi Assuérus, auprès et au loin.

C'est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom de pur. D'après tout le contenu de cette lettre, d'après ce qu'ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé,

les Juifs prirent pour eux, pour leur postérité, et pour tous ceux qui s'attacheraient à eux, la résolution et l'engagement irrévocables de célébrer chaque année ces deux jours, selon le mode prescrit et au temps fixé.

Il y avait dans le pays d'Uts un homme qui s'appelait Job. Et cet homme était intègre et droit; il craignait Dieu, et se détournait du mal.

Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui? Tu as béni l'oeuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays.

Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face.

L'Éternel dit à Satan: Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre; seulement, ne porte pas la main sur lui. Et Satan se retira de devant la face de l'Éternel.

il arriva auprès de Job un messager qui dit: Les boeufs labouraient et les ânesses paissaient à côté d'eux;

Trois amis de Job, Éliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler!

Périsse le jour où je suis né, Et la nuit qui dit: Un enfant mâle est conçu!

Qu'elle soit maudite par ceux qui maudissent les jours, Par ceux qui savent exciter le léviathan!

Car elle n'a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards.

Avec les princes qui avaient de l'or, Et qui remplirent d'argent leurs demeures.

Ou je n'existerais pas, je serais comme un avorton caché, Comme des enfants qui n'ont pas vu la lumière.

Pourquoi donne-t-il la lumière à celui qui souffre, Et la vie à ceux qui ont l'amertume dans l'âme,

Qui seraient transportés de joie Et saisis d'allégresse, s'ils trouvaient le tombeau?

A l'homme qui ne sait où aller, Et que Dieu cerne de toutes parts?

Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; Ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint.

Si nous osons ouvrir la bouche, en seras-tu peiné? Mais qui pourrait garder le silence?

Tes paroles ont relevé ceux qui chancelaient, Tu as affermi les genoux qui pliaient.

Cherche dans ton souvenir: quel est l'innocent qui a péri? Quels sont les justes qui ont été exterminés?

Une figure d'un aspect inconnu était devant mes yeux, Et j'entendis une voix qui murmurait doucement:

Combien plus chez ceux qui habitent des maisons d'argile, Qui tirent leur origine de la poussière, Et qui peuvent être écrasés comme un vermisseau!

Crie maintenant! Qui te répondra? Auquel des saints t'adresseras-tu?

Plus de prospérité pour ses fils; Ils sont foulés à la porte, et personne qui les délivre!

Sa moisson est dévorée par des affamés, Qui viennent l'enlever jusque dans les épines, Et ses biens sont engloutis par des hommes altérés.

Voilà ce que nous avons reconnu, voilà ce qui est; A toi d'entendre et de mettre à profit.

Peut-on manger ce qui est fade et sans sel? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un oeuf?

Celui qui souffre a droit à la compassion de son ami, Même quand il abandonnerait la crainte du Tout Puissant.

Mes frères sont perfides comme un torrent, Comme le lit des torrents qui disparaissent.

L'oeil qui me regarde ne me regardera plus; Ton oeil me cherchera, et je ne serai plus.

Ainsi arrive-t-il à tous ceux qui oublient Dieu, Et l'espérance de l'impie périra.

Lui qui m'assaille comme par une tempête, Qui multiplie sans raison mes blessures,

Recourir à la force? Il est Tout Puissant. A la justice? Qui me fera comparaître?

La terre est livrée aux mains de l'impie; Il voile la face des juges. Si ce n'est pas lui, qui est-ce donc?

Ils passent comme les navires de jonc, Comme l'aigle qui fond sur sa proie.

Il n'y a pas entre nous d'arbitre, Qui pose sa main sur nous deux.

S'il passe, s'il saisit, S'il traîne à son tribunal, qui s'y opposera?

J'ai tout aussi bien que vous de l'intelligence, moi, Je ne vous suis point inférieur; Et qui ne sait les choses que vous dites?

Il y a paix sous la tente des pillards, Sécurité pour ceux qui offensent Dieu, Pour quiconque se fait un dieu de sa force.

Qui ne reconnaît chez eux la preuve Que la main de l'Éternel a fait toutes choses?

Il possède la force et la prudence; Il maîtrise celui qui s'égare ou fait égarer les autres.

Il met à découvert ce qui est caché dans les ténèbres, Il produit à la lumière l'ombre de la mort.

Direz-vous en faveur de Dieu ce qui est injuste, Et pour le soutenir alléguerez-vous des faussetés?

Est-ce par d'inutiles propos qu'il se défend? Est-ce par des discours qui ne servent à rien?

Ce n'est pas moi, c'est ta bouche qui te condamne. Ce sont tes lèvres qui déposent contre toi.

Tiens-tu pour peu de chose les consolations de Dieu, Et les paroles qui doucement se font entendre à toi?...

Le méchant passe dans l'angoisse tous les jours de sa vie, Toutes les années qui sont le partage de l'impie.

Il n'espère pas échapper aux ténèbres, Il voit l'épée qui le menace;

Il conçoit le mal et il enfante le mal, Il mûrit dans son sein des fruits qui le trompent.

Sois auprès de toi-même ma caution; Autrement, qui répondrait pour moi?

Le juste néanmoins demeure ferme dans sa voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus.

Mon espérance, où donc est-elle? Mon espérance, qui peut la voir?

O toi qui te déchires dans ta fureur, Faut-il, à cause de toi, que la terre devienne déserte? Faut-il que les rochers disparaissent de leur place?

La lumière du méchant s'éteindra, Et la flamme qui en jaillit cessera de briller.

Point d'autre destinée pour le méchant, Point d'autre sort pour qui ne connaît pas Dieu!

Sachez alors que c'est Dieu qui me poursuit, Et qui m'enveloppe de son filet.

J'ai entendu des reproches qui m'outragent; Le souffle de mon intelligence donnera la réplique.

Il périra pour toujours comme son ordure, Et ceux qui le voyaient diront: Où est-il?

L'oeil qui le regardait ne le regardera plus, Le lieu qu'il habitait ne l'apercevra plus.

La vigueur de la jeunesse, qui remplissait ses membres, Aura sa couche avec lui dans la poussière.

Il arrache de son corps le trait, Qui étincelle au sortir de ses entrailles, Et il est en proie aux terreurs de la mort.

Toutes les calamités sont réservées à ses trésors; Il sera consumé par un feu que n'allumera point l'homme, Et ce qui restera dans sa tente en deviendra la pâture.

C'est lui qui devrait contempler sa propre ruine, C'est lui qui devrait boire la colère du Tout Puissant.

Est-ce à Dieu qu'on donnera de la science, A lui qui gouverne les esprits célestes?

Qui lui reproche en face sa conduite? Qui lui rend ce qu'il a fait?

Pourquoi donc m'offrir de vaines consolations? Ce qui reste de vos réponses n'est que perfidie.

Tu enlevais sans motif des gages à tes frères, Tu privais de leurs vêtements ceux qui étaient nus;

Ne vois-tu donc pas ces ténèbres, Ces eaux débordées qui t'envahissent?

Ils ont été emportés avant le temps, Ils ont eu la durée d'un torrent qui s'écoule.

Il délivrera même le coupable, Qui devra son salut à la pureté de tes mains.

Ce serait un homme droit qui plaiderait avec lui, Et je serais pour toujours absous par mon juge.

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