'En' dans la Bible
Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face.
des Sabéens se sont jetés dessus, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Le feu de Dieu est tombé du ciel, a embrasé les brebis et les serviteurs, et les a consumés. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Des Chaldéens, formés en trois bandes, se sont jetés sur les chameaux, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
et voici, un grand vent est venu de l'autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison; elle s'est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
En tout cela, Job ne pécha point et n'attribua rien d'injuste à Dieu.
Mais étends ta main, touche à ses os et à sa chair, et je suis sûr qu'il te maudit en face.
Mais Job lui répondit: Tu parles comme une femme insensée. Quoi! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal! En tout cela Job ne pécha point par ses lèvres.
Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête.
Ce jour! qu'il se change en ténèbres, Que Dieu n'en ait point souci dans le ciel, Et que la lumière ne rayonne plus sur lui!
Que l'obscurité et l'ombre de la mort s'en emparent, Que des nuées établissent leur demeure au-dessus de lui, Et que de noirs phénomènes l'épouvantent!
Cette nuit! que les ténèbres en fassent leur proie, Qu'elle disparaisse de l'année, Qu'elle ne soit plus comptée parmi les mois!
Que cette nuit devienne stérile, Que l'allégresse en soit bannie!
Que les étoiles de son crépuscule s'obscurcissent, Qu'elle attende en vain la lumière, Et qu'elle ne voie point les paupières de l'aurore!
Les captifs sont tous en paix, Ils n'entendent pas la voix de l'oppresseur;
Qui espèrent en vain la mort, Et qui la convoitent plus qu'un trésor,
Si nous osons ouvrir la bouche, en seras-tu peiné? Mais qui pourrait garder le silence?
Pour moi, je l'ai vu, ceux qui labourent l'iniquité Et qui sèment l'injustice en moissonnent les fruits;
Une parole est arrivée furtivement jusqu'à moi, Et mon oreille en a recueilli les sons légers.
Si Dieu n'a pas confiance en ses serviteurs, S'il trouve de la folie chez ses anges,
Ils rencontrent les ténèbres au milieu du jour, Ils tâtonnent en plein midi comme dans la nuit.
Car tu feras alliance avec les pierres des champs, Et les bêtes de la terre seront en paix avec toi.
Tu entreras au sépulcre dans la vieillesse, Comme on emporte une gerbe en son temps.
Car les flèches du Tout Puissant m'ont percé, Et mon âme en suce le venin; Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
Les glaçons en troublent le cours, La neige s'y précipite;
Ainsi, vous êtes comme si vous n'existiez pas; Vous voyez mon angoisse, et vous en avez horreur!
Vous ai-je dit: Donnez-moi quelque chose, Faites en ma faveur des présents avec vos biens,
Instruisez-moi, et je me tairai; Faites-moi comprendre en quoi j'ai péché.
Regardez-moi, je vous prie! Vous mentirais-je en face?
Comme la nuée se dissipe et s'en va, Celui qui descend au séjour des morts ne remontera pas;
Qu'est-ce que l'homme, pour que tu en fasses tant de cas, Pour que tu daignes prendre garde à lui,
Si j'ai péché, qu'ai-je pu te faire, gardien des hommes? Pourquoi me mettre en butte à tes traits? Pourquoi me rendre à charge à moi-même?
Dans toute sa vigueur, en plein soleil, Il étend ses rameaux sur son jardin,
Je sais bien qu'il en est ainsi; Comment l'homme serait-il juste devant Dieu?
Voici, il passe près de moi, et je ne le vois pas, Il s'en va, et je ne l'aperçois pas.
Je serai jugé coupable; Pourquoi me fatiguer en vain?
Tu me plongerais dans la fange, Et mes vêtements m'auraient en horreur.
Il n'est pas un homme comme moi, pour que je lui réponde, Pour que nous allions ensemble en justice.
Souviens-toi que tu m'as façonné comme de l'argile; Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière?
Voici néanmoins ce que tu cachais dans ton coeur, Voici, je le sais, ce que tu as résolu en toi-même.
Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre? Qu'il me laisse, Qu'il se retire de moi, et que je respire un peu,
Avant que je m'en aille, pour ne plus revenir, Dans le pays des ténèbres et de l'ombre de la mort,
La mesure en est plus longue que la terre, Elle est plus large que la mer.
Tu oublieras tes souffrances, Tu t'en souviendras comme des eaux écoulées.
Tu seras plein de confiance, et ton attente ne sera plus vaine; Tu regarderas autour de toi, et tu reposeras en sûreté.
On dirait, en vérité, que le genre humain c'est vous, Et qu'avec vous doit mourir la sagesse.
En Dieu résident la sagesse et la puissance. Le conseil et l'intelligence lui appartiennent.
Il retient les eaux et tout se dessèche; Il les lâche, et la terre en est dévastée.
Direz-vous en faveur de Dieu ce qui est injuste, Et pour le soutenir alléguerez-vous des faussetés?
Certainement il vous condamnera, Si vous n'agissez en secret que par égard pour sa personne.
Taisez-vous, laissez-moi, je veux parler! Il m'en arrivera ce qu'il pourra.
Cela même peut servir à mon salut, Car un impie n'ose paraître en sa présence.
Quand mon corps tombe en pourriture, Comme un vêtement que dévore la teigne?
Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert! Et tu me fais aller en justice avec toi!
Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur? Il n'en peut sortir aucun.
Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir,
Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge.
Tu es sans cesse à l'assaillir, et il s'en va; Tu le défigures, puis tu le renvoies.
Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.
C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur en son corps, C'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse en son âme.
Si Dieu n'a pas confiance en ses saints, Si les cieux ne sont pas purs devant lui,
Et il habite des villes détruites, Des maisons abandonnées, Sur le point de tomber en ruines.
Quand finiront ces discours en l'air? Pourquoi cette irritation dans tes réponses?
Si je parle, mes souffrances ne seront point calmées, Si je me tais, en quoi seront-elles moindres?
Tu m'as saisi, pour témoigner contre moi; Ma maigreur se lève, et m'accuse en face.
Car le nombre de mes années touche à son terme, Et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.
Les hommes droits en sont stupéfaits, Et l'innocent se soulève contre l'impie.
Le juste néanmoins demeure ferme dans sa voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus.
La lumière du méchant s'éteindra, Et la flamme qui en jaillit cessera de briller.
Il est arraché de sa tente où il se croyait en sûreté, Il se traîne vers le roi des épouvantements.
En bas, ses racines se dessèchent; En haut, ses branches sont coupées.
Si réellement j'ai péché, Seul j'en suis responsable.
Il m'a brisé de toutes parts, et je m'en vais; Il a arraché mon espérance comme un arbre.
Ses troupes se sont de concert mises en marche, Elles se sont frayé leur chemin jusqu'à moi, Elles ont campées autour de ma tente.
J'appelle mon serviteur, et il ne répond pas; Je le supplie de ma bouche, et c'est en vain.
Ceux que j'avais pour confidents m'ont en horreur, Ceux que j'aimais se sont tournés contre moi.
Il rendra ce qu'il a gagné, et n'en profitera plus; Il restituera tout ce qu'il a pris, et n'en jouira plus.
Il arrache de son corps le trait, Qui étincelle au sortir de ses entrailles, Et il est en proie aux terreurs de la mort.
Toutes les calamités sont réservées à ses trésors; Il sera consumé par un feu que n'allumera point l'homme, Et ce qui restera dans sa tente en deviendra la pâture.
Leur postérité s'affermit avec eux et en leur présence, Leurs rejetons prospèrent sous leurs yeux.
Ils passent leurs jours dans le bonheur, Et ils descendent en un instant au séjour des morts.
Quoi donc! ne sont-ils pas en possession du bonheur? -Loin de moi le conseil des méchants!
Qui lui reproche en face sa conduite? Qui lui rend ce qu'il a fait?
Est-ce par crainte de toi qu'il te châtie, Qu'il entre en jugement avec toi?
Dieu n'est-il pas en haut dans les cieux? Regarde le sommet des étoiles, comme il est élevé!
Mon pied s'est attaché à ses pas; J'ai gardé sa voie, et je ne m'en suis point détourné.
Il accomplira donc ses desseins à mon égard, Et il en concevra bien d'autres encore.
Pourquoi le Tout Puissant ne met-il pas des temps en réserve, Et pourquoi ceux qui le connaissent ne voient-ils pas ses jours?
D'autres sont ennemis de la lumière, Ils n'en connaissent pas les voies, Ils n'en pratiquent pas les sentiers.
Pour eux, le matin c'est l'ombre de la mort, Ils en éprouvent toutes les terreurs.
Quoi! le sein maternel l'oublie, Les vers en font leurs délices, On ne se souvient plus de lui! L'impie est brisé comme un arbre,
Ils se sont élevés; et en un instant ils ne sont plus, Ils tombent, ils meurent comme tous les hommes, Ils sont coupés comme la tête des épis.
S'il n'en est pas ainsi, qui me démentira, Qui réduira mes paroles à néant?
Comme tu sais bien venir en aide à la faiblesse! Comme tu prêtes secours au bras sans force!
Par sa force il soulève la mer, Par son intelligence il en brise l'orgueil.
Ce sont là les bords de ses voies, C'est le bruit léger qui nous en parvient; Mais qui entendra le tonnerre de sa puissance?
Fait-il du Tout Puissant ses délices? Adresse-t-il en tout temps ses prières à Dieu?
S'il a des fils en grand nombre, c'est pour le glaive, Et ses rejetons manquent de pain;
C'est lui qui entasse, mais c'est le juste qui se revêt, C'est l'homme intègre qui a l'argent en partage.
Le vent d'orient l'emporte, et il s'en va; Il l'arrache violemment de sa demeure.
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