1391 occurences en traduction 1

'Ai' dans la Bible

J'ai donné ordre de faire des recherches; et l'on a trouvé que dès les temps anciens cette ville s'est soulevée contre les rois, et qu'on s'y est livré à la sédition et à la révolte.

Que le Dieu qui fait résider en ce lieu son nom renverse tout roi et tout peuple qui étendraient la main pour transgresser ma parole, pour détruire cette maison de Dieu à Jérusalem! Moi, Darius, j'ai donné cet ordre. Qu'il soit ponctuellement exécuté.

J'ai donné ordre de laisser aller tous ceux du peuple d'Israël, de ses sacrificateurs et de ses Lévites, qui se trouvent dans mon royaume, et qui sont disposés à partir avec toi pour Jérusalem.

et qui m'a rendu l'objet de la bienveillance du roi, de ses conseillers, et de tous ses puissants chefs! Fortifié par la main de l'Éternel, mon Dieu, qui était sur moi, j'ai rassemblé les chefs d'Israël, afin qu'ils partissent avec moi. 

et je dis: Mon Dieu, je suis dans la confusion, et j'ai honte, ô mon Dieu, de lever ma face vers toi; car nos iniquités se sont multipliées par-dessus nos têtes, et nos fautes ont atteint jusqu'aux cieux.

mais si vous revenez à moi, et si vous observez mes commandements et les mettez en pratique, alors, quand vous seriez exilés à l'extrémité du ciel, de là je vous rassemblerai et je vous ramènerai dans le lieu que j'ai choisi pour y faire résider mon nom.

Avant moi, les premiers gouverneurs accablaient le peuple, et recevaient de lui du pain et du vin, outre quarante sicles d'argent; leurs serviteurs mêmes opprimaient le peuple. Je n'ai point agi de la sorte, par crainte de Dieu.

Bien plus, j'ai travaillé à la réparation de cette muraille, et nous n'avons acheté aucun champ, et mes serviteurs tous ensemble étaient à l'ouvrage.

On m'apprêtait chaque jour un boeuf, six moutons choisis, et des oiseaux; et tous les dix jours on préparait en abondance tout le vin nécessaire. Malgré cela, je n'ai point réclamé les revenus du gouverneur, parce que les travaux étaient à la charge de ce peuple.

Souviens-toi favorablement de moi, ô mon Dieu, à cause de tout ce que j'ai fait pour ce peuple!

Je leur envoyai des messagers avec cette réponse: J'ai un grand ouvrage à exécuter, et je ne puis descendre; le travail serait interrompu pendant que je quitterais pour aller vers vous.

Tous les serviteurs du roi et le peuple des provinces du roi savent qu'il existe une loi portant peine de mort contre quiconque, homme ou femme, entre chez le roi, dans la cour intérieure, sans avoir été appelé; celui-là seul a la vie sauve, à qui le roi tend le sceptre d'or. Et moi, je n'ai point été appelée auprès du roi depuis trente jours.

Esther répondit: Si le roi le trouve bon, que le roi vienne aujourd'hui avec Haman au festin que je lui ai préparé.

Si j'ai trouvé grâce aux yeux du roi, et s'il plaît au roi d'accorder ma demande et de satisfaire mon désir, que le roi vienne avec Haman au festin que je leur préparerai, et demain je donnerai réponse au roi selon son ordre.

La reine Esther répondit: Si j'ai trouvé grâce à tes yeux, ô roi, et si le roi le trouve bon, accorde-moi la vie, voilà ma demande, et sauve mon peuple, voilà mon désir!

Elle dit alors: Si le roi le trouve bon et si j'ai trouvé grâce devant lui, si la chose paraît convenable au roi et si je suis agréable à ses yeux, qu'on écrive pour révoquer les lettres conçues par Haman, fils d'Hammedatha, l'Agaguite, et écrites par lui dans le but de faire périr les Juifs qui sont dans toutes les provinces du roi.

Le roi Assuérus dit à la reine Esther et au Juif Mardochée: Voici, j'ai donné à Esther la maison d'Haman, et il a été pendu au bois pour avoir étendu la main contre les Juifs.

Pourquoi ne suis-je pas mort dans le ventre de ma mère? Pourquoi n'ai-je pas expiré au sortir de ses entrailles?

Pourquoi ai-je trouvé des genoux pour me recevoir, Et des mamelles pour m'allaiter?

Je n'ai ni tranquillité, ni paix, ni repos, Et le trouble s'est emparé de moi.

J'ai vu l'insensé prendre racine; Puis soudain j'ai maudit sa demeure.

Il me restera du moins une consolation, Une joie dans les maux dont il m'accable: Jamais je n'ai transgressé les ordres du Saint.

Vous ai-je dit: Donnez-moi quelque chose, Faites en ma faveur des présents avec vos biens,

Voulez-vous donc blâmer ce que j'ai dit, Et ne voir que du vent dans les discours d'un désespéré?

Ainsi j'ai pour partage des mois de douleur, J'ai pour mon lot des nuits de souffrance.

Si j'ai péché, qu'ai-je pu te faire, gardien des hommes? Pourquoi me mettre en butte à tes traits? Pourquoi me rendre à charge à moi-même?

L'arrache-t-on du lieu qu'il occupe, Ce lieu le renie: Je ne t'ai point connu!

J'ai tout aussi bien que vous de l'intelligence, moi, Je ne vous suis point inférieur; Et qui ne sait les choses que vous dites?

Me voici prêt à plaider ma cause; Je sais que j'ai raison.

Je vais te parler, écoute-moi! Je raconterai ce que j'ai vu,

J'ai souvent entendu pareilles choses; Vous êtes tous des consolateurs fâcheux.

J'ai cousu un sac sur ma peau; J'ai roulé ma tête dans la poussière.

Je n'ai pourtant commis aucune violence, Et ma prière fut toujours pure.

J'ai entendu des reproches qui m'outragent; Le souffle de mon intelligence donnera la réplique.

Mon pied s'est attaché à ses pas; J'ai gardé sa voie, et je ne m'en suis point détourné.

Voilà pourquoi sa présence m'épouvante; Quand j'y pense, j'ai peur de lui.

Si j'ai marché dans le mensonge, Si mon pied a couru vers la fraude,

Si mon coeur a été séduit par une femme, Si j'ai fait le guet à la porte de mon prochain,

Si j'ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante Lorsqu'ils étaient en contestation avec moi,

Qu'ai-je à faire, quand Dieu se lève? Qu'ai-je à répondre, quand il châtie?

Moi qui l'ai dès ma jeunesse élevé comme un père, Moi qui dès ma naissance ai soutenu la veuve;

Si j'ai vu le malheureux manquer de vêtements, L'indigent n'avoir point de couverture,

Si j'ai levé la main contre l'orphelin, Parce que je me sentais un appui dans les juges;

Si j'ai été joyeux du malheur de mon ennemi, Si j'ai sauté d'allégresse quand les revers l'ont atteint,

Moi qui n'ai pas permis à ma langue de pécher, De demander sa mort avec imprécation;

Si, comme les hommes, j'ai caché mes transgressions, Et renfermé mes iniquités dans mon sein,

Si j'en ai mangé le produit sans l'avoir payée, Et que j'aie attristé l'âme de ses anciens maîtres;

Et Élihu, fils de Barakeel de Buz, prit la parole et dit: Je suis jeune, et vous êtes des vieillards; C'est pourquoi j'ai craint, j'ai redouté De vous faire connaître mon sentiment.

J'ai attendu la fin de vos discours, J'ai suivi vos raisonnements, Votre examen des paroles de Job.

Je vous ai donné toute mon attention; Et voici, aucun de vous ne l'a convaincu, Aucun n'a réfuté ses paroles.

J'ai attendu qu'ils eussent fini leurs discours, Qu'ils s'arrêtassent et ne sussent que répliquer.

Mais tu as dit à mes oreilles, Et j'ai entendu le son de tes paroles:

Dieu a compassion de lui et dit à l'ange: Délivre-le, afin qu'il ne descende pas dans la fosse; J'ai trouvé une rançon!

Il chante devant les hommes et dit: J'ai péché, j'ai violé la justice, Et je n'ai pas été puni comme je le méritais;

J'ai raison, et je passe pour menteur; Ma plaie est douloureuse, et je suis sans péché.

Montre-moi ce que je ne vois pas; Si j'ai commis des injustices, je n'en commettrai plus?

Attends un peu, et je vais poursuivre, Car j'ai des paroles encore pour la cause de Dieu.

J'ai fait du désert son habitation, De la terre salée sa demeure.

J'ai parlé une fois, je ne répondrai plus; Deux fois, je n'ajouterai rien.

Voici l'hippopotame, à qui j'ai donné la vie comme à toi! Il mange de l'herbe comme le boeuf.

Quel est celui qui a la folie d'obscurcir mes desseins? -Oui, j'ai parlé, sans les comprendre, De merveilles qui me dépassent et que je ne conçois pas.

J'ai le visage usé par le chagrin; Tous ceux qui me persécutent le font vieillir.

Éternel, mon Dieu! si j'ai fait cela, S'il y a de l'iniquité dans mes mains,

Si j'ai rendu le mal à celui qui était paisible envers moi, Si j'ai dépouillé celui qui m'opprimait sans cause,

Moi, j'ai confiance en ta bonté, J'ai de l'allégresse dans le coeur, à cause de ton salut; Je chante à l'Éternel, car il m'a fait du bien.

Dans ma détresse, j'ai invoqué l'Éternel, J'ai crié à mon Dieu; De son palais, il a entendu ma voix, Et mon cri est parvenu devant lui à ses oreilles.

Car j'ai observé les voies de l'Éternel, Et je n'ai point été coupable envers mon Dieu.

J'ai été sans reproche envers lui, Et je me suis tenu en garde contre mon iniquité.

Mon Dieu! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos.

Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu.

Aie pitié de moi, Éternel! car je suis dans la détresse; J'ai le visage, l'âme et le corps usés par le chagrin.

Je disais dans ma précipitation: Je suis chassé loin de ton regard! Mais tu as entendu la voix de mes supplications, Quand j'ai crié vers toi.

J'ai péché contre toi seul, Et j'ai fait ce qui est mal à tes yeux, En sorte que tu seras juste dans ta sentence, Sans reproche dans ton jugement.

O Dieu! je dois accomplir les voeux que je t'ai faits; Je t'offrirai des actions de grâces.

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