'Moí' dans la Bible
des Sabéens se sont jetés dessus, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Le feu de Dieu est tombé du ciel, a embrasé les brebis et les serviteurs, et les a consumés. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
Il parlait encore, lorsqu'un autre vint et dit: Des Chaldéens, formés en trois bandes, se sont jetés sur les chameaux, les ont enlevés, et ont passé les serviteurs au fil de l'épée. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
et voici, un grand vent est venu de l'autre côté du désert, et a frappé contre les quatre coins de la maison; elle s'est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts. Et je me suis échappé moi seul, pour t'en apporter la nouvelle.
Je n'ai ni tranquillité, ni paix, ni repos, Et le trouble s'est emparé de moi.
Pour moi, je l'ai vu, ceux qui labourent l'iniquité Et qui sèment l'injustice en moissonnent les fruits;
Une parole est arrivée furtivement jusqu'à moi, Et mon oreille en a recueilli les sons légers.
Un esprit passa près de moi... Tous mes cheveux se hérissèrent...
Pour moi, j'aurais recours à Dieu, Et c'est à Dieu que j'exposerais ma cause.
Car les flèches du Tout Puissant m'ont percé, Et mon âme en suce le venin; Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
Ne suis-je pas sans ressource, Et le salut n'est-il pas loin de moi?
Vous ai-je dit: Donnez-moi quelque chose, Faites en ma faveur des présents avec vos biens,
Délivrez-moi de la main de l'ennemi, Rachetez-moi de la main des méchants?
Instruisez-moi, et je me tairai; Faites-moi comprendre en quoi j'ai péché.
Regardez-moi, je vous prie! Vous mentirais-je en face?
Suis-je une mer, ou un monstre marin, Pour que tu établisses des gardes autour de moi?
Je les méprise!... je ne vivrai pas toujours... Laisse-moi, car ma vie n'est qu'un souffle.
Quand cesseras-tu d'avoir le regard sur moi? Quand me laisseras-tu le temps d'avaler ma salive?
Si j'ai péché, qu'ai-je pu te faire, gardien des hommes? Pourquoi me mettre en butte à tes traits? Pourquoi me rendre à charge à moi-même?
Voici, il passe près de moi, et je ne le vois pas, Il s'en va, et je ne l'aperçois pas.
Et moi, comment lui répondre? Quelles paroles choisir?
Il n'est pas un homme comme moi, pour que je lui réponde, Pour que nous allions ensemble en justice.
Qu'il retire sa verge de dessus moi, Que ses terreurs ne me troublent plus;
Alors je parlerai et je ne le craindrai pas. Autrement, je ne suis point à moi-même.
Je dis à Dieu: Ne me condamne pas! Fais-moi savoir pourquoi tu me prends à partie!
Suis-je coupable, malheur à moi! Suis-je innocent, je n'ose lever la tête, Rassasié de honte et absorbé dans ma misère.
Tu m'opposes de nouveaux témoins, Tu multiplies tes fureurs contre moi, Tu m'assailles d'une succession de calamités.
Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre? Qu'il me laisse, Qu'il se retire de moi, et que je respire un peu,
J'ai tout aussi bien que vous de l'intelligence, moi, Je ne vous suis point inférieur; Et qui ne sait les choses que vous dites?
Taisez-vous, laissez-moi, je veux parler! Il m'en arrivera ce qu'il pourra.
Quelqu'un disputera-t-il contre moi? Alors je me tais, et je veux mourir.
Seulement, accorde-moi deux choses Et je ne me cacherai pas de loin de ta face:
Retire ta main de dessus moi, Et que tes terreurs ne me troublent plus.
Quel est le nombre de mes iniquités et de mes péchés? Fais-moi connaître mes transgressions et mes péchés.
Oh! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi!
Ce n'est pas moi, c'est ta bouche qui te condamne. Ce sont tes lèvres qui déposent contre toi.
Je vais te parler, écoute-moi! Je raconterai ce que j'ai vu,
Moi aussi, je pourrais parler comme vous, Si vous étiez à ma place: Je vous accablerais de paroles, Je secouerais sur vous la tête,
Tu m'as saisi, pour témoigner contre moi; Ma maigreur se lève, et m'accuse en face.
Il me déchire et me poursuit dans sa fureur, Il grince des dents contre moi, Il m'attaque et me perce de son regard.
Ils ouvrent la bouche pour me dévorer, Ils m'insultent et me frappent les joues, Ils s'acharnent tous après moi.
J'étais tranquille, et il m'a secoué, Il m'a saisi par la nuque et m'a brisé, Il a tiré sur moi comme à un but.
Il me fait brèche sur brèche, Il fond sur moi comme un guerrier.
Sois auprès de toi-même ma caution; Autrement, qui répondrait pour moi?
Il s'est enflammé de colère contre moi, Il m'a traité comme l'un de ses ennemis.
Ses troupes se sont de concert mises en marche, Elles se sont frayé leur chemin jusqu'à moi, Elles ont campées autour de ma tente.
Il a éloigné de moi mes frères, Et mes amis se sont détournés de moi;
Ceux que j'avais pour confidents m'ont en horreur, Ceux que j'aimais se sont tournés contre moi.
Ayez pitié, ayez pitié de moi, vous, mes amis! Car la main de Dieu m'a frappé.
Je le verrai, et il me sera favorable; Mes yeux le verront, et non ceux d'un autre; Mon âme languit d'attente au dedans de moi.
Écoutez, écoutez mes paroles, Donnez-moi seulement cette consolation.
Laissez-moi parler, je vous prie; Et, quand j'aurai parlé, tu pourras te moquer.
Regardez-moi, soyez étonnés, Et mettez la main sur la bouche.
Quoi donc! ne sont-ils pas en possession du bonheur? -Loin de moi le conseil des méchants!
Je sais bien quelles sont vos pensées, Quels jugements iniques vous portez sur moi.
Dieu cependant avait rempli de biens leurs maisons. -Loin de moi le conseil des méchants!
Loin de moi la pensée de vous donner raison! Jusqu'à mon dernier soupir je défendrai mon innocence;
L'abîme dit: Elle n'est point en moi; Et la mer dit: Elle n'est point avec moi.
Quand le Tout Puissant était encore avec moi, Et que mes enfants m'entouraient;
Quand mes pieds se baignaient dans la crème Et que le rocher répandait près de moi des ruisseaux d'huile!
La bénédiction du malheureux venait sur moi; Je remplissais de joie le coeur de la veuve.
Ils comptaient sur moi comme sur la pluie, Ils ouvraient la bouche comme pour une pluie du printemps.
Et maintenant!... je suis la risée de plus jeunes que moi, De ceux dont je dédaignais de mettre les pères Parmi les chiens de mon troupeau.
Ils ont horreur de moi, ils se détournent, Ils me crachent au visage.
Ils n'ont plus de retenue et ils m'humilient, Ils rejettent tout frein devant moi.
Ces misérables se lèvent à ma droite et me poussent les pieds, Ils se fraient contre moi des sentiers pour ma ruine;
Tu deviens cruel contre moi, Tu me combats avec la force de ta main.
Si j'ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante Lorsqu'ils étaient en contestation avec moi,
Moi qui l'ai dès ma jeunesse élevé comme un père, Moi qui dès ma naissance ai soutenu la veuve;
Moi qui n'ai pas permis à ma langue de pécher, De demander sa mort avec imprécation;
Si ma terre crie contre moi, Et que ses sillons versent des larmes;
Je disais en moi-même: Les jours parleront, Le grand nombre des années enseignera la sagesse.
Voilà pourquoi je dis: Écoute! Moi aussi, j'exposerai ma pensée.
Il ne s'est pas adressé directement à moi: Aussi lui répondrai-je tout autrement que vous.
Car je suis plein de paroles, L'esprit me presse au dedans de moi;
Si tu le peux, réponds-moi, Défends ta cause, tiens-toi prêt!
Je suis pur, je suis sans péché, Je suis net, il n'y a point en moi d'iniquité.
Et Dieu trouve contre moi des motifs de haine, Il me traite comme son ennemi;
Sois attentif, Job, écoute-moi! Tais-toi, et je parlerai!
Si tu as quelque chose à dire, réponds-moi! Parle, car je voudrais te donner raison.
Si tu n'as rien à dire, écoute-moi! Tais-toi, et je t'enseignerai la sagesse.
Sages, écoutez mes discours! Vous qui êtes intelligents, prêtez-moi l'oreille!
Écoutez-moi donc, hommes de sens! Loin de Dieu l'injustice, Loin du Tout Puissant l'iniquité!
Montre-moi ce que je ne vois pas; Si j'ai commis des injustices, je n'en commettrai plus?
Est-ce d'après toi que Dieu rendra la justice? C'est toi qui rejettes, qui choisis, mais non pas moi; Ce que tu sais, dis-le donc!
Les hommes de sens seront de mon avis, Le sage qui m'écoute pensera comme moi.
Écoute-moi, et je parlerai; Je t'interrogerai, et tu m'instruiras.
Après que l'Éternel eut adressé ces paroles à Job, il dit à Éliphaz de Théman: Ma colère est enflammée contre toi et contre tes deux amis, parce que vous n'avez pas parlé de moi avec droiture comme l'a fait mon serviteur Job.
Prenez maintenant sept taureaux et sept béliers, allez auprès de mon serviteur Job, et offrez pour vous un holocauste. Job, mon serviteur, priera pour vous, et c'est par égard pour lui seul que je ne vous traiterai pas selon votre folie; car vous n'avez pas parlé de moi avec droiture, comme l'a fait mon serviteur Job.
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