Versets bibliques les plus populaires dans Psaumes
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Classement Psaumes :
Ils célébreront les voies de l'Éternel, Car la gloire de l'Éternel est grande.
Je revêtirai de salut ses sacrificateurs, Et ses fidèles pousseront des cris de joie.
Il jura à l'Éternel, Il fit ce voeu au puissant de Jacob:
Car voici, ceux qui s'éloignent de toi périssent; Tu anéantis tous ceux qui te sont infidèles.
Car Dieu sauvera Sion, et bâtira les villes de Juda; On s'y établira, et l'on en prendra possession;
A cause de la voix de l'ennemi et de l'oppression du méchant; Car ils font tomber sur moi le malheur, Et me poursuivent avec colère.
Les fils de l'étranger sont en défaillance, Ils tremblent hors de leurs forteresses.
Car il affermit les barres de tes portes, Il bénit tes fils au milieu de toi;
L'homme dont la langue est fausse ne s'affermit pas sur la terre; Et l'homme violent, le malheur l'entraîne à sa perte.
Tous tes commandements ne sont que fidélité; Ils me persécutent sans cause: secours-moi!
Parce qu'ils s'étaient révoltés contre les paroles de Dieu, Parce qu'ils avaient méprisé le conseil du Très Haut.
Mais nous, nous bénirons l'Éternel, Dès maintenant et à jamais. Louez l'Éternel!
Il ouvrit le rocher, et des eaux coulèrent; Elles se répandirent comme un fleuve dans les lieux arides.
Je louerai de ma bouche hautement l'Éternel, Je le célébrerai au milieu de la multitude;
Pourquoi as-tu rompu ses clôtures, En sorte que tous les passants la dépouillent?
Il les amena vers sa frontière sainte, Vers cette montagne que sa droite a acquise.
Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé; Ils prennent plaisir au mensonge; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur coeur. -Pause.
Dans ta justice, sauve-moi et délivre-moi! Incline vers moi ton oreille, et secours-moi!
Bénissez Dieu dans les assemblées, Bénissez le Seigneur, descendants d'Israël!
Délivre-moi de toutes mes transgressions! Ne me rends pas l'opprobre de l'insensé!
Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Édom; Je pousse des cris de joie sur le pays des Philistins!
Par ton bras tu as délivré ton peuple, Les fils de Jacob et de Joseph. -Pause.
Ceux qui haïssent l'Éternel le flatteraient, Et le bonheur d'Israël durerait toujours;
Sion l'entend et se réjouit, Les filles de Juda sont dans l'allégresse, A cause de tes jugements, ô Éternel!
Éternel, Dieu des armées, relève-nous! Fais briller ta face, et nous serons sauvés!
Afin d'arracher leur âme à la mort Et de les faire vivre au milieu de la famine.
Il chassa devant eux les nations, Leur distribua le pays en héritage, Et fit habiter dans leurs tentes les tribus d'Israël.
Car ils ne sont pas attentifs aux oeuvres de l'Éternel, A l'ouvrage de ses mains. Qu'il les renverse et ne les relève point!
Car des étrangers se sont levés contre moi, Des hommes violents en veulent à ma vie; Ils ne portent pas leurs pensées sur Dieu. -Pause.
Tu as fait jaillir des sources et des torrents. Tu as mis à sec des fleuves qui ne tarissent point.
Afin que tes bien-aimés soient délivrés, Sauve par ta droite, et exauce-nous!
Loin de là! Dans le coeur, vous consommez des iniquités; Dans le pays, c'est la violence de vos mains que vous placez sur la balance.
Tu as dédaigné l'alliance avec ton serviteur; Tu as abattu, profané sa couronne.
Elles ont une bouche et ne parlent point, Elles ont des yeux et ne voient point,
Étends tes mains d'en haut; Délivre-moi et sauve-moi des grandes eaux, De la main des fils de l'étranger,
Que des charbons ardents soient jetés sur eux! Qu'il les précipite dans le feu, Dans des abîmes, d'où ils ne se relèvent plus!
Voici la porte de l'Éternel: C'est par elle qu'entrent les justes.
Pour écouter les gémissements des captifs, Pour délivrer ceux qui vont périr,
Mes genoux sont affaiblis par le jeûne, Et mon corps est épuisé de maigreur.
L'Éternel entendit, et il fut irrité; Un feu s'alluma contre Jacob, Et la colère s'éleva contre Israël,
Qu'ils soient confus et épouvantés pour toujours, Qu'ils soient honteux et qu'ils périssent!
Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés, Autant d'années que nous avons vu le malheur.
Les montagnes étaient couvertes de son ombre, Et ses rameaux étaient comme des cèdres de Dieu;
Ils ont mis le feu à ton sanctuaire; Ils ont abattu, profané la demeure de ton nom.
Tous les hommes sont saisis de crainte, Ils publient ce que Dieu fait, Et prennent garde à son oeuvre.
Car voici, ils sont aux aguets pour m'ôter la vie; Des hommes violents complotent contre moi, Sans que je sois coupable, sans que j'aie péché, ô Éternel!
Observez son rempart, Examinez ses palais, Pour le raconter à la génération future.
Il envoie sa parole, et il les fond; Il fait souffler son vent, et les eaux coulent.
C'est d'après tes lois que tout subsiste aujourd'hui, Car toutes choses te sont assujetties.
Ils accomplirent par son pouvoir des prodiges au milieu d'eux, Ils firent des miracles dans le pays de Cham.
Mon esprit est abattu au dedans de moi, Mon coeur est troublé dans mon sein.
Des orgueilleux imaginent contre moi des faussetés; Moi, je garde de tout mon coeur tes ordonnances.
Que tes compassions viennent sur moi, pour que je vive! Car ta loi fait mes délices.
Garantis-moi des complots des méchants, De la troupe bruyante des hommes iniques!
Que mes adversaires revêtent l'ignominie, Qu'ils se couvrent de leur honte comme d'un manteau!
Afin qu'ils publient dans Sion le nom de l'Éternel, Et ses louanges dans Jérusalem,
Il leur parla dans la colonne de nuée; Ils observèrent ses commandements Et la loi qu'il leur donna.
C'est là qu'il a brisé les flèches, Le bouclier, l'épée et les armes de guerre. -Pause.
Que leur route soit ténébreuse et glissante, Et que l'ange de l'Éternel les poursuive!
Tu iras néanmoins au séjour de tes pères, Qui jamais ne reverront la lumière.
Que le pied de l'orgueil ne m'atteigne pas, Et que la main des méchants ne me fasse pas fuir!
Mon coeur est frappé et se dessèche comme l'herbe; J'oublie même de manger mon pain.
Il frappa les premiers-nés de l'Égypte, Depuis les hommes jusqu'aux animaux.
Il le prit derrière les brebis qui allaitent, Pour lui faire paître Jacob, son peuple, Et Israël, son héritage.
Que de Sion l'on bénisse l'Éternel, Qui habite à Jérusalem! Louez l'Éternel!
Les plaines du désert sont abreuvées, Et les collines sont ceintes d'allégresse;
Il envoya contre eux des mouches venimeuses qui les dévorèrent, Et des grenouilles qui les détruisirent.
Mon oeil se plaît à contempler mes ennemis, Et mon oreille à entendre mes méchants adversaires.
Porte tes pas vers ces lieux constamment dévastés! L'ennemi a tout ravagé dans le sanctuaire.
Cela est agréable à l'Éternel, plus qu'un taureau Avec des cornes et des sabots.
Tous mes ennemis chuchotent entre eux contre moi; Ils pensent que mon malheur causera ma ruine:
Les justes le verront, et auront de la crainte, Et ils feront de lui le sujet de leurs moqueries:
Pour ceux qui gardent son alliance, Et se souviennent de ses commandements afin de les accomplir.
Les hommes droits le voient et se réjouissent, Mais toute iniquité ferme la bouche.
Chaque jour mes ennemis m'outragent, Et c'est par moi que jurent mes adversaires en fureur.
Le sanglier de la forêt la ronge, Et les bêtes des champs en font leur pâture.
T'irriteras-tu contre nous à jamais? Prolongeras-tu ta colère éternellement?
Il les dirigea sûrement, pour qu'ils fussent sans crainte, Et la mer couvrit leurs ennemis.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
La montagne de Sion se réjouit, Les filles de Juda sont dans l'allégresse, A cause de tes jugements.
Car je dis: Ne permets pas qu'ils se réjouissent à mon sujet, Qu'ils s'élèvent contre moi, si mon pied chancelle!
Je les broie comme la poussière qu'emporte le vent, Je les foule comme la boue des rues.
Rois de la terre et tous les peuples, Princes et tous les juges de la terre,
Il les sauva de la main de celui qui les haïssait, Il les délivra de la main de l'ennemi.
A cause de ton nom, Éternel, rends-moi la vie! Dans ta justice, retire mon âme de la détresse!
Tes prodiges sont-ils connus dans les ténèbres, Et ta justice dans la terre de l'oubli?
Ils n'ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.
Sa bonté est-elle à jamais épuisée? Sa parole est-elle anéantie pour l'éternité?
Que les gémissements des captifs parviennent jusqu'à toi! Par ton bras puissant sauve ceux qui vont périr!
Ne livre pas aux bêtes l'âme de ta tourterelle, N'oublie pas à toujours la vie de tes malheureux!
Il livra sa gloire à la captivité, Et sa majesté entre les mains de l'ennemi.
Il changea la mer en une terre sèche, On traversa le fleuve à pied: Alors nous nous réjouîmes en lui.
Ceux qui commettent l'iniquité ont-ils perdu le sens? Ils dévorent mon peuple, ils le prennent pour nourriture; Ils n'invoquent point Dieu.
Car il n'emporte rien en mourant, Ses trésors ne descendent point après lui.
Contre les méchants qui me persécutent, Contre mes ennemis acharnés qui m'enveloppent.
Pour exécuter contre eux le jugement qui est écrit! C'est une gloire pour tous ses fidèles. Louez l'Éternel!
Dont la bouche profère la fausseté, Et dont la droite est une droite mensongère.
Il les fit sortir des ténèbres et de l'ombre de la mort, Et il rompit leurs liens.
Elles ont livré les cadavres de tes serviteurs En pâture aux oiseaux du ciel, La chair de tes fidèles aux bêtes de la terre;
Souviens-toi des outrages de tes ennemis, ô Éternel! De leurs outrages contre les pas de ton oint.
Dieu a-t-il oublié d'avoir compassion? A-t-il, dans sa colère, retiré sa miséricorde? -Pause.
Car sans cause ils m'ont tendu leur filet sur une fosse, Sans cause ils l'ont creusée pour m'ôter la vie.
Ils ont projeté du mal contre toi, Ils ont conçu de mauvais desseins, mais ils seront impuissants.
Qu'ils se dissipent comme des eaux qui s'écoulent! Qu'ils ne lancent que des traits émoussés!
Nos génisses sont fécondes; Point de désastre, point de captivité, Point de cris dans nos rues!
Parce qu'ils ne crurent pas en Dieu, Parce qu'ils n'eurent pas confiance dans son secours.
Agrée, ô Éternel! les sentiments que ma bouche exprime, Et enseigne-moi tes lois!
Il fit souffler dans les cieux le vent d'orient, Et il amena par sa puissance le vent du midi;
Il fera retomber sur eux leur iniquité, Il les anéantira par leur méchanceté; L'Éternel, notre Dieu, les anéantira.
Et ne cache pas ta face à ton serviteur! Puisque je suis dans la détresse, hâte-toi de m'exaucer!
Lorsque Dieu s'est levé pour faire justice, Pour sauver tous les malheureux de la terre. -Pause.
Je suis pour plusieurs comme un prodige, Et toi, tu es mon puissant refuge.
Tout cela nous arrive, sans que nous t'ayons oublié, Sans que nous ayons violé ton alliance:
Que ses enfants soient vagabonds et qu'ils mendient, Qu'ils cherchent du pain loin de leur demeure en ruines!
Tes préceptes sont éternellement justes: Donne-moi l'intelligence, pour que je vive!
Ils ne se souvinrent pas de sa puissance, Du jour où il les délivra de l'ennemi,
Et mes ennemis sont pleins de vie, pleins de force; Ceux qui me haïssent sans cause sont nombreux.
La lune et les étoiles pour présider à la nuit, Car sa miséricorde dure à toujours!
Ils s'éloignèrent et furent infidèles, comme leurs pères, Ils tournèrent, comme un arc trompeur.
Voici, il a frappé le rocher, et des eaux ont coulé, Et des torrents se sont répandus; Pourra-t-il aussi donner du pain, Ou fournir de la viande à son peuple?
Éternel, répands tes bienfaits sur les bons Et sur ceux dont le coeur est droit!
Tu la leur donnes, et ils la recueillent; Tu ouvres ta main, et ils se rassasient de biens.
Lorsque la colère de Dieu s'éleva contre eux; Il frappa de mort les plus vigoureux, Il abattit les jeunes hommes d'Israël.
Ajoute des iniquités à leurs iniquités, Et qu'ils n'aient point part à ta miséricorde!
La méchanceté est au milieu d'elle, Et la fraude et la tromperie ne quittent point ses places.
Eux, ils plient, et ils tombent; Nous, nous tenons ferme, et restons debout.
Le Seigneur dit: Je les ramènerai de Basan, Je les ramènerai du fond de la mer,
Notre coeur ne s'est point détourné, Nos pas ne se sont point éloignés de ton sentier,
Détruis-les, dans ta fureur, détruis-les, et qu'ils ne soient plus! Qu'ils sachent que Dieu règne sur Jacob, Jusqu'aux extrémités de la terre! -Pause.
Fais briller les éclairs, et disperse mes ennemis! Lance tes flèches, et mets-les en déroute!
Leur âme avait en horreur toute nourriture, Et ils touchaient aux portes de la mort.
Il les bénit, et ils deviennent très nombreux, Et il ne diminue point leur bétail.
Plusieurs fois il les délivra; Mais ils se montrèrent rebelles dans leurs desseins, Et ils devinrent malheureux par leur iniquité.
Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, Il avale l'eau abondamment,
Je publierai ces choses à jamais; Je chanterai en l'honneur du Dieu de Jacob. -
Mais c'est toi qui nous délivres de nos ennemis, Et qui confonds ceux qui nous haïssent.
Car notre âme est abattue dans la poussière, Notre corps est attaché à la terre.
Qu'ils soient dans la stupeur par l'effet de leur honte, Ceux qui me disent: Ah! ah!
Que tous ensemble ils soient honteux et confus, Ceux qui se réjouissent de mon malheur! Qu'ils revêtent l'ignominie et l'opprobre, Ceux qui s'élèvent contre moi!
Je n'entrerai pas dans la tente où j'habite, Je ne monterai pas sur le lit où je repose,
Ils complotent, ils épient, ils observent mes traces, Parce qu'ils en veulent à ma vie.
Considère que j'aime tes ordonnances: Éternel, rends-moi la vie selon ta bonté!
Je m'échapperais en toute hâte, Plus rapide que le vent impétueux, que la tempête.
Qu'ils soient confus, anéantis, ceux qui en veulent à ma vie! Qu'ils soient couverts de honte et d'opprobre, ceux qui cherchent ma perte!
A la voix de celui qui m'insulte et m'outrage, A la vue de l'ennemi et du vindicatif.
Tu nous fais reculer devant l'ennemi, Et ceux qui nous haïssent enlèvent nos dépouilles.
Nos greniers sont pleins, Regorgeant de tout espèce de provisions; Nos troupeaux se multiplient par milliers, par dix milliers, Dans nos campagnes;
Lève-toi, ô Dieu! défends ta cause! Souviens-toi des outrages que te fait chaque jour l'insensé!
La postérité de ses serviteurs en fera son héritage, Et ceux qui aiment son nom y auront leur demeure.
Rends à nos voisins sept fois dans leur sein Les outrages qu'ils t'ont faits, Seigneur!
Ils seront livrés au glaive, Ils seront la proie des chacals.
Voici, de leur bouche ils font jaillir le mal, Des glaives sont sur leurs lèvres; Car, qui est-ce qui entend?
C'est par l'iniquité qu'ils espèrent échapper: Dans ta colère, ô Dieu, précipite les peuples!
Réveille-toi, réveille-toi pour me faire justice! Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause!
Lorsqu'un vent passe sur elle, elle n'est plus, Et le lieu qu'elle occupait ne la reconnaît plus.
Le moissonneur n'en remplit point sa main, Celui qui lie les gerbes n'en charge point son bras,
Dans ta bonté, anéantis mes ennemis, Et fais périr tous les oppresseurs de mon âme! Car je suis ton serviteur.
C'est là que montent les tribus, les tribus de l'Éternel, Selon la loi d'Israël, Pour louer le nom de l'Éternel.
Prends sous ta garantie le bien de ton serviteur, Ne me laisse pas opprimer par des orgueilleux!
Rends-moi la vie selon ta bonté, Afin que j'observe les préceptes de ta bouche!
Éloigne de moi l'opprobre que je redoute! Car tes jugements sont pleins de bonté.
Ils irritèrent l'Éternel par leurs actions, Et une plaie fit irruption parmi eux.
Il fit pleuvoir sur eux la viande comme de la poussière, Et comme le sable des mers les oiseaux ailés;
Aie égard à l'alliance! Car les lieux sombres du pays sont pleins de repaires de brigands.
Ils errent çà et là, cherchant leur nourriture, Et ils passent la nuit sans être rassasiés.
Elles en font jour et nuit le tour sur les murs; L'iniquité et la malice sont dans son sein;
Je suis comme un homme qui n'entend pas, Et dans la bouche duquel il n'y a point de réplique.
Elle est brûlée par le feu, elle est coupée! Ils périssent devant ta face menaçante.
Jusqu'à ce que j'aie trouvé un lieu pour l'Éternel, Une demeure pour le puissant de Jacob.
Il livra leurs récoltes aux sauterelles, Le produit de leur travail aux sauterelles.
Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais lentement; Comme pour le deuil d'une mère, je me courbais avec tristesse.
Que l'iniquité de ses pères reste en souvenir devant l'Éternel, Et que le péché de sa mère ne soit point effacé!
Afin que tu plonges ton pied dans le sang, Et que la langue de tes chiens ait sa part des ennemis.
Pour faire connaître aux fils de l'homme ta puissance Et la splendeur glorieuse de ton règne.
Des orgueilleux creusent des fosses devant moi; Ils n'agissent point selon ta loi.
Son coeur est affermi; il n'a point de crainte, Jusqu'à ce qu'il mette son plaisir à regarder ses adversaires.
Éternel, n'accomplis pas les désirs du méchant, Ne laisse pas réussir ses projets, de peur qu'il ne s'en glorifie! Pause.
Leur coeur est insensible comme la graisse; Moi, je fais mes délices de ta loi.
Chaque matin j'anéantirai tous les méchants du pays, Afin d'exterminer de la ville de l'Éternel Tous ceux qui commettent l'iniquité.
Car ils tiennent un langage qui n'est point celui de la paix, Ils méditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays.
Car le jugement sera conforme à la justice, Et tous ceux dont le coeur est droit l'approuveront.
Il aura beau s'estimer heureux pendant sa vie, On aura beau te louer des jouissances que tu te donnes,
Ils ouvrent contre moi leur bouche, Ils disent: Ah! ah! nos yeux regardent! -
Elles abreuvent tous les animaux des champs; Les ânes sauvages y étanchent leur soif.
Ils méditent des crimes: Nous voici prêts, le plan est conçu! La pensée intime, le coeur de chacun est un abîme.
Sont-ils amoindris et humiliés Par l'oppression, le malheur et la souffrance;
Disant: Je te donnerai le pays de Canaan Comme héritage qui vous est échu.
Ils se rassemblent contre la vie du juste, Et ils condamnent le sang innocent.
Pour le calmer aux jours du malheur, Jusqu'à ce que la fosse soit creusée pour le méchant!
Du haut des cieux tu as proclamé la sentence; La terre effrayée s'est tenue tranquille,
En un instant je confondrais leurs ennemis, Je tournerais ma main contre leurs adversaires;
Que l'opprimé ne retourne pas confus! Que le malheureux et le pauvre célèbrent ton nom!
Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!
Qu'ils retournent en arrière par l'effet de leur honte, Ceux qui disent: Ah! ah!
On les introduit au milieu des réjouissances et de l'allégresse, Elles entrent dans le palais du roi.
Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l'abîme; Leur âme était éperdue en face du danger;
Que sur la tête de ceux qui m'environnent Retombe l'iniquité de leurs lèvres!
Il frappa tous les premiers-nés dans leur pays, Toutes les prémices de leur force.
Tel soit, de la part de l'Éternel, le salaire de mes ennemis, Et de ceux qui parlent méchamment de moi!
Il dit, et parurent les mouches venimeuses, Les poux sur tout leur territoire.
La terre s'ouvrit et engloutit Dathan, Et elle se referma sur la troupe d'Abiram;
Car mes ennemis parlent de moi, Et ceux qui guettent ma vie se consultent entre eux,
Car ils persécutent celui que tu frappes, Ils racontent les souffrances de ceux que tu blesses.
Juge-moi selon ta justice, Éternel, mon Dieu! Et qu'ils ne se réjouissent pas à mon sujet!
N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?
A cause de la maison de l'Éternel, notre Dieu, Je fais des voeux pour ton bonheur.
Sois mon appui, pour que je sois sauvé, Et que je m'occupe sans cesse de tes statuts!
Parce qu'il ne s'est pas souvenu d'exercer la miséricorde, Parce qu'il a persécuté le malheureux et l'indigent, Jusqu'à faire mourir l'homme au coeur brisé!
Que ses descendants soient exterminés, Et que leur nom s'éteigne dans la génération suivante!
Dans les parvis de la maison de l'Éternel, Au milieu de toi, Jérusalem! Louez l'Éternel!
Que le créancier s'empare de tout ce qui est à lui, Et que les étrangers pillent le fruit de son travail!
N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?
Quand tous les peuples s'assembleront, Et tous les royaumes, pour servir l'Éternel.
Que ceux qui craignent l'Éternel disent: Car sa miséricorde dure à toujours!
Tu fais de nous un objet de discorde pour nos voisins, Et nos ennemis se raillent de nous.
Tes adversaires ont rugi au milieu de ton temple; Ils ont établi pour signes leurs signes.
Ma langue chaque jour publiera ta justice, Car ceux qui cherchent ma perte sont honteux et confus.
Qui vous tenez dans la maison de l'Éternel, Dans les parvis de la maison de notre Dieu!
Notre âme est assez rassasiée Des moqueries des orgueilleux, du mépris des hautains.
Mes persécuteurs et mes adversaires sont nombreux; Je ne m'écarte point de tes préceptes,
Et ils allaient d'une nation à l'autre Et d'un royaume vers un autre peuple;
Il a passé, et voici, il n'est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Il envoya des ténèbres et amena l'obscurité, Et ils ne furent pas rebelles à sa parole.
Montagnes et toutes les collines, Arbres fruitiers et tous les cèdres,
J'écraserai devant lui ses adversaires, Et je frapperai ceux qui le haïssent.
Elles m'environnaient, m'enveloppaient: Au nom de l'Éternel, je les taille en pièces.
Disant: Dieu l'abandonne; Poursuivez, saisissez-le; il n'y a personne pour le délivrer.
Sihon, roi des Amoréens, Car sa miséricorde dure à toujours!
Des méchants me tendent des pièges, Et je ne m'égare pas loin de tes ordonnances.
Alors les eaux nous auraient submergés, Les torrents auraient passé sur notre âme;
Il envoya des signes et des miracles au milieu de toi, Égypte! Contre Pharaon et contre tous ses serviteurs.
Afin que je voie le bonheur de tes élus, Que je me réjouisse de la joie de ton peuple, Et que je me glorifie avec ton héritage!
Il leur donna les terres des nations, Et ils possédèrent le fruit du travail des peuples,
Que la ruine les atteigne à l'improviste, Qu'ils soient pris dans le filet qu'ils ont tendu, Qu'ils y tombent et périssent!
Garantis-moi du piège qu'ils me tendent, Et des embûches de ceux qui font le mal!
Ils nous auraient engloutis tout vivants, Quand leur colère s'enflamma contre nous;
Afin qu'il pût à son gré enchaîner ses princes, Et qu'il enseignât la sagesse à ses anciens.
Je m'en vais comme l'ombre à son déclin, Je suis chassé comme la sauterelle.
Malgré mon innocence, ils courent, ils se préparent: Réveille-toi, viens à ma rencontre, et regarde!
Toi, qui donnes le salut aux rois, Qui sauvas du glaive meurtrier David, ton serviteur,
Tes compassions sont grandes, ô Éternel! Rends-moi la vie selon tes jugements!
Elles ont versé leur sang comme de l'eau Tout autour de Jérusalem, Et il n'y a eu personne pour les enterrer.
Elles ont des mains et ne touchent point, Des pieds et ne marchent point, Elles ne produisent aucun son dans leur gosier.
S'ils maudissent, toi tu béniras; S'ils se lèvent, ils seront confus, Et ton serviteur se réjouira.
Ils mangèrent et se rassasièrent abondamment: Dieu leur donna ce qu'ils avaient désiré.
Il eut pitié selon sa grande bonté, Et il excita pour eux la compassion De tous ceux qui les retenaient captifs.
Quel est le nombre des jours de ton serviteur? Quand feras-tu justice de ceux qui me persécutent?
Ils ensemencent des champs, plantent des vignes, Et ils en recueillent les produits.
Il a manifesté à son peuple la puissance de ses oeuvres, En lui livrant l'héritage des nations.
De faire tomber leur postérité parmi les nations, Et de les disperser au milieu des pays.
Elles m'environnent tout le jour comme des eaux, Elles m'enveloppent toutes à la fois.
Les Égyptiens se réjouirent de leur départ, Car la terreur qu'ils avaient d'eux les saisissait.
Ils n'avaient pas satisfait leur désir, Ils avaient encore leur nourriture dans la bouche,
Maison d'Aaron, confie-toi en l'Éternel! Il est leur secours et leur bouclier.
Éternel, tu le vois! ne reste pas en silence! Seigneur, ne t'éloigne pas de moi!
Qu'elle lui serve de vêtement pour se couvrir, De ceinture dont il soit toujours ceint!
Je t'offrirai des brebis grasses en holocauste, Avec la graisse des béliers; Je sacrifierai des brebis avec des boucs. -Pause.
Nous sommes devenus un objet d'opprobre pour nos voisins, De moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent.
L'Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement.
Il les livra entre les mains des nations; Ceux qui les haïssaient dominèrent sur eux;
Que la maison d'Aaron dise: Car sa miséricorde dure à toujours!
Des méchants m'attendent pour me faire périr; Je suis attentif à tes préceptes.
Maison d'Israël, bénissez l'Éternel! Maison d'Aaron, bénissez l'Éternel!
Il humilia leur coeur par la souffrance; Ils succombèrent, et personne ne les secourut.
Pour tirer en cachette sur l'innocent; Ils tirent sur lui à l'improviste, et n'ont aucune crainte.
Et qu'ils sachent que c'est ta main, Que c'est toi, Éternel, qui l'as fait!
Tous les passants le dépouillent; Il est un objet d'opprobre pour ses voisins.
Et Og, roi de Basan, Car sa miséricorde dure à toujours!
Celui qui conduisit son peuple dans le désert, Car sa miséricorde dure à toujours!
Ils leur ressemblent, ceux qui les fabriquent, Tous ceux qui se confient en elles.
Elles ont une bouche et ne parlent point, Elles ont des yeux et ne voient point,
Maison de Lévi, bénissez l'Éternel! Vous qui craignez l'Éternel, bénissez l'Éternel!
Il frappa leurs vignes et leurs figuiers, Et brisa les arbres de leur contrée.
Et il y établit ceux qui sont affamés. Ils fondent une ville pour l'habiter;
Elles ont des oreilles et n'entendent point, Elles n'ont point de souffle dans leur bouche.
Que leurs juges soient précipités le long des rochers, Et l'on écoutera mes paroles, car elles sont agréables.
Ils ont failli me terrasser et m'anéantir; Et moi, je n'abandonne point tes ordonnances.
Ceux-là virent les oeuvres de l'Éternel Et ses merveilles au milieu de l'abîme.
Qui dévorèrent toute l'herbe du pays, Qui dévorèrent les fruits de leurs champs.
Tu as fait reculer le tranchant de son glaive, Et tu ne l'as pas soutenu dans le combat.
Et bientôt ils ont brisé toutes les sculptures, A coups de haches et de marteaux.
Qu'ils ne disent pas dans leur coeur: Ah! voilà ce que nous voulions! Qu'ils ne disent pas: Nous l'avons englouti!
Qu'avez-vous, montagnes, pour sauter comme des béliers, Et vous, collines, comme des agneaux?
Il mit son peuple à la merci du glaive, Et il s'indigna contre son héritage.
Qu'ils soient toujours présents devant l'Éternel, Et qu'il retranche de la terre leur mémoire,
Que nul ne conserve pour lui de l'affection, Et que personne n'ait pitié de ses orphelins!
N'oublie pas les clameurs de tes adversaires, Le tumulte sans cesse croissant de ceux qui s'élèvent contre toi!
Qu'ils reviennent à moi, ceux qui te craignent, Et ceux qui connaissent tes préceptes!
Pour eux mes lèvres se sont ouvertes, Et ma bouche les a prononcés dans ma détresse.